Second violon

- " ne parles pas tant"-> paradoxe, le fait que Jaroslave, un musiciens pleins de joie qui joue dans un orchestre (folklorique), donc qui possède une certaine énergie dans son corps, et qu’il a besoin de rester au calme - périphrase l.9 " le second violon"... - 4 phrases en tout et pour tout-> excitation de Ludvik + répétition, ca casse la longueur des phrases et le rythme calme, avec virgules= agitation. - anadiplose l.12..... - paradoxe l 13->montre la gravité de la situation car il meurt "moralement"

dont cinq atteindront l'âge adulte. Son père Franz Theodor (1763-1830), instituteur, lui donne ses premières leçons de violon, tandis que son frère Ignaz lui apprend le piano et le Kapellmeister de l'église de Lichtental, Michael Holzer, l'orgue, le chant et la basse générale. Dans le quatuor à cordes familial, où son père joue du violoncelle et ses frères Ignaz et Ferdinand du violon, il tiendra la partie d'alto. Dès 1808, Schubert est premier soprano de l'église de Lichtental1. En 1808 il est admis

Seul un Stradivarius permettra à votre art de s’épanouir. » Jean Diwo dans son livre « les violons du roi » rapporte cette remarque faite par un mélomane et destinée à un jeune compositeur et interprète dont le nom et le talent allaient devenir légendaires : Antonio Vivaldi. Dans ce travail, j’essayerai de répondre à la question de savoir s’il est justifié de considérer Stradivarius et ses violons comme un facteur important dans l’avènement de la musique baroque. J’analyserai en premier

roi pour la viole. Il prend des cours de composition avec Lully. En 1686, il publie une première collection d'Airs de viole, qu'il dédie à LUuly, et son Idylle dramatique est donnée à Versailles. En 1692, ses Pièces en trio pour les flûtes, violons et dessus de viole sont une première du genre. Son Alcide, en collaboration avec Louis Lully (1664-1734), sur un livret de Jean-Galbert de Campistron est créée avec succès en 1693 avec un grand succès. En 1701, il dirige un imposant ensemble

animaux par la description de leur cris. Ainsi on a pu faire des descriptions musicales de phénomènes normalement silencieux, tels que le coucher de soleil. Les Nocturnes de Debussy devaient être à l’origine une pièce pour orchestre et violon soliste, que Debussy a intitulé trois scènes aux crépuscules puis Nocturnes, Claude l’avait dédiait à son ami Eugène Ysaye, grand violoniste belge, en 1896. Celui-ci pour des raisons d’arrangements financiers dit a Debussy qu’il ne pourrait pas jouer

Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Le poème est composé de trois strophes de six vers (sizains), les deux premiers vers

sixième double de la Gavotte et 6 doubles. Cet extrait est joué au piano par Alexandre Tharaud. On entend le piano également dans le second extrait. Mais la similitude au niveau du timbre s’arrête là car dans le second il y a des instruments à corde tel que le violon et la contrebasse. Les nuances du second extrait sont douces, le piano joue piano tandis que les violons et les contrebasses jouent mezzoforte. Dans la Gavotte le piano est mezzoforte. Les deux extraits sont binaires et ils contiennent

Commentaire composé du Violon de Crémone d’E.T.A Hoffmann (1816) Le violon de Crémone, nouvelle écrite en 1816 par Ernst Theodore Amadeus Hoffmann (ETAH), fut d’abord publiée à part, puis intégrée au recueil Les Frères Sérapion. Cette nouvelle (en allemand : “Rat Krespel”) met en scène un conseiller, nommé Crespel, et sa relation ambiguë à la musique. A cela s’ajoute un narrateur dont la curiosité est piquée à vif lorsqu’il entend le chant d’Antonie, la fille de Crespel. Les deux extraits proposés

par la suite changé le nom pour une meilleure compréhension du public. Un thrène est un chant de douleur,de lamentations pratiqué par les poètes de la Grèce antique. Cette œuvre fut composée en 1961 pour un ensemble à cordes de 52 musiciens : 24 violons, 10 altos, 10 violoncelles et 8 contrebasses;l'orchestre est utilisé d'une manière peu conventionnelle. Il n'y a pas de pulsation rythmique ni de mélodie, uniquement des «atmosphères» ( le plus souvent angoissantes,oppressantes). Il s'agit d'une œuvre

voyage qui a tenu ses promesses tinté d'une pointe de déception. Comme premier concert à Tatihou , nous avons put découvrir un ensemble folk islandais suivi en seconde partit d'un groupe finlandais : un concert ou régnait un certain contraste. Autant le groupe finlandais (du nom de Frigg) m'a littéralement conquit avec son quatuor de violon accompagné de guitare contrebasse et mandoline . Jouant avec justesse bonne humeur et entrain ils ont su mettre le public dans leur poche et nous faire bouger