Seconde guerre de Tchétchénie

d’agression étrangère et doublés, par conséquent, de crimes de guerre (en violation plus évidente des lois internationales). 2. La recherche des responsabilités menait directement aux États-Unis et à leurs alliés. 3. Ces crimes étaient idéologiquement inutilisables étant donné l’identité des vrais responsables. 4. Pour la même raison, y mettre un terme était particulièrement facile. Il ne s’agissait ni de la Bosnie, ni du Rwanda, ni même de la Tchétchénie. Nul besoin d’envoyer la troupe, de bombarder Djakarta

GUERRE FROIDE Grâce à la coopération des forces alliées, les forces allemandes étaient défaites, Hitler était mort et l'Europe était défendue. Mais cette coopération connu sa fin à la suite de la conférence de Yalta en février 1945. Elle remit en plan la confrontation des deux idéologies. Cette confrontation, maintenant racontée dans les pages de l'histoire sous le nom de guerre froide, transforma la scène internationale où conflits majeurs, compétition, espionnage et chambardements politiques font

LE MONDE DE 1945 A NOS JOURS CHAPITRE II L’affrontement des deux superpuissances (guerre froide 45-89) et la dissolution du communisme (89 à 2009) INTRODUCTION Définition de la guerre froide : (à retenir) c’est une période de fortes tensions qui s’échelonne entre 47 et 1989 durant laquelle 2 blocs de pays se sont formés autour d’une superpuissance :  Etats-Unis  URSS Ces deux blocs se sont affrontés mais il n’y a jamais eu de conflit déclaré et direct entre eux. Les conflits

Les années 1970 et 80 voient les derniers affrontements entre les deux blocs avec un regain de tension Est-Ouest dans les années 80 mais la chute du mur de Berlin en 1989 puis l’effondrement et la disparition de l’URSS en 1991 marquent la fin de la guerre froide et du monde bipolaire. v L’espoir surgit alors d’un nouvel ordre international capable d’assurer la paix dans le respect des droits de l’Homme sous la responsabilité de l’ONU dans un monde devenu multipolaire v Mais c’est en fait le désordre

d’extractions. II. Exploitation de pétrole : a. Utilisations variées. b. Chocs et contre-chocs. c. De quelle manière le prix du pétrole est-il fixé ? III. Un moteur de guerre : a. Apparition et utilisation du pétrole dans la guerre. b. Les enjeux géopolitiques. c. Les Guerres du pétrole IV. Peut-on se passer de pétrole ? a. La contrainte écologique. b. Economies d’énergie : la voie étroite. c. Les substituts du pétrole. I. La recherche du pétrole :

théories et modèles Un conflit géopolitique doit être abordé au 3° degré. C’est pour satisfaire à cette exigence que cette aide vous est proposée. (Il ne s’agit pas de « tout-cuit » à réchauffer !) Les conflits géopolitiques peuvent provoquer des guerres mais il peut n’y avoir qu’une simple tension entre Etats. Les deux aspects sont abordés ici. Plusieurs éléments sont d’habitude pris en considération : les données géographiques (par exemple les ressources en énergie ou en eau la répartition de la

très grande liberté d’action – politique juridique, car le Conseil Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 41.217.143.242 - 23/05/2012 00h38. © P.U.F. 104 Dossier : Guerres et menaces de guerres 1 . QUELQUES SITUATIONS RÉCENTES DE RECOURS À LA FORCE ARMÉE PAR LES ÉTATS On peut retenir quatre conflits post-guerre froide : l’Iraq après l’annexion du Koweit, en 1990-1991 ; le Kosovo, en 1999 ; le 11 Septembre et ses prolongements contre l’Afghanistan en 2001 ; Document téléchargé depuis

dans l'Inde, le géant de l'Asie ; on évoque ainsi plus volontiers la puissance, réelle ou émergente, de la Chine et l'existence d'un modèle de développement chinois (celui de Mao Zedong puis celui de Deng Xiaoping). Pourtant, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Union indienne semble davantage avoir suivi le sens de l'Histoire : celui de la démocratie puisque l'Inde est considérée traditionnellement comme la « plus grande démocratie du monde », au moins partiellement celui de l'économie de

généralement l’Etat gendarme à l’Etat providence: Nous voyons donc que le cadre de l’action de l’Etat évolue en fonction de la conception politique que l’on se fait de cette institution. - L’Etat gendarme, modèle qui prévalait jusqu’à la première guerre mondiale se limite à à des fonctions régaliennes: - La défense et la diplomatie. - La police et la justice. L’Etat n’intervient pas alors dans le libre jeu des forces économiques et sociales. - A partir du milieu du XX siècle, l’Etat

Gilles Sautter (1985) a appelé dans un article profond "l'idéologie géographique", émerge une logique culturaliste ou si l'on préfère postmoderne, que la géométrie ne permet pas de mesurer et la cartographie encore moins de représenter. Dans cette seconde perspective. l'appartenance au territoire relève de la représentation, de l'identité culturelle et non plus de la position dans un polygone. Elle suppose des réseaux multiples, elle se réfère ft des géosymboles plus qu'à des frontières, elle s'inscrit