Seconde guerre de Tchétchénie

On parle de barbarie partout, et on emploie souvent l'imparfait pour la qualifier. J'avais un sujet de reflexion sur la barbarie à composer, le voici (niveau seconde ;)) Avant de pouvoir parler de barbarie, il faut d'abord rappeler la définition du mot. Le mot "barbare" vient du grec "barbaros" qui signifie d'abord "étranger". On voit donc qu'à l'origine, le mot barbare n'a pas une connotation de cruauté, seulement peut-être d'un peu de rejet. Mais au fil du temps le mot devient un élément d'exclusion

appartenu à différents États lors de son histoire. Enlevé à Byzance par les Serbes en 1170, occupé par les Ottomans en 1459, il fit de nouveau partie de la Serbie depuis le traité de Bucarest de 1913 mettant fin à la deuxième Guerre balkanique, puis devint, après la Deuxième Guerre mondiale, une province autonome de la Serbie au sein des différentes Yougoslavies, avant d'être placé sous administration de l’ONU le 10 juin 1999 en vertu de la résolution 1244 des Nations unies suite aux violents conflits

à l’URSS, s’étendant de Tallin au Caucase, de sorte que la Russie n’avait presque nulle part de frontière directe avec un Etat d’Europe centrale. Cette première enveloppe est redoublée par un second glacis d’Etats satellites, de l’Elbe à la Bulgarie, constitué délibérément au lendemain de la Seconde Guerre mondiale : comme l’illustre le coup de Prague en février 1948. Stratégie soviétique en Europe de l’Est se définit donc par liens bilatéraux noués entre Moscou et démocraties populaires. A ces relations

profondément la Russie et témoignent de l’impasse de la politique antiterroriste du Kremlin. La Russie refuse de leur accorder l’indépendance, principalement par crainte que l’émancipation de la Tchétchénie ne soit le précurseur de celle de l’ensemble des ex-républiques de l’URSS. Vladimir Poutine déclenche une guerre meurtrière au cours de laquelle de graves exactions seront commises à l’encontre de milliers de civils, aussi bien par les forces fédérales russes que par les rebelles tchétchènes. La Russie

I- L’Europe et la Guerre Guerres coloniales : Les pays européens ont commencé l’exploration et la domination du monde dès les 15e et 16e siècles avec la maîtrise progressive des routes maritimes et la découverte du continent américain. Au 19e siècle, la révolution industrielle et la croissance démographique sur le continent européen sont à l’origine d’un nouvel élan de l’expansion coloniale. Cet impérialisme est motivé par la découverte de nouveaux marchés, de nouveaux espaces propres à accueillir

L’URSS puissance mondiale La Seconde Guerre mondiale a saigné l’URSS (plus de 20 millions de victimes dont une majorité de civils) et détruit une bonne partie de ses installations industrielles et de ses villes. L’immédiat après-guerre est une période de reconstruction. Le pays retrouve son niveau de production industrielle d’avant-guerre puis le double en 1952.[réf. nécessaire]L’industrie nucléaire se développe, avec la création du complexe nucléaire Maïak. L’URSS effectue son premier essai nucléaire en

Clash of Civilizations ? » qui avait déjà fait grand bruit en son temps. Samuel Huntington est professeur à Harvard. Dans ce livre l’auteur pose et répond à la question : après la guerre froide, l’Histoire va elle être dominée par des conflits entre cultures-civilisations ? Il explique en effet que durant la Guerre Froide, les conflits reposaient sur une opposition idéologique entre libéralisme et communisme. Les relations internationales reposaient sur une lecture bipolaire du monde. Dans ce système

L’intégration politico-économique postsoviétique II. Les enjeux énergétiques III. Les relations Russie-USA : une approche pragmatique CHAPITRE III : Le retour de la puissance russe I. Le partenariat stratégique sino-russe II. La guerre de Géorgie III. Les relations diplomatiques avec la Syrie et l’Iran CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES Introduction : Depuis une quinzaine d’années, la géopolitique mondiale est d’abord caractérisée par le déclin des USA et

A l‘heure où l’Occident développe, en Irak, en Tchétchénie, en Afghanistan, en Afrique centrale et dans le Pacifique, si ce n’est dans le reste du monde, par le biais d’organisations internationales telles que l’OMC, le FMI, l’OMS ou l’Unesco, de nouvelles moutures de protectorats, moraux, sanitaires, culturels ou politiques, avec leurs panoplies aujourd’hui classiques de gouvernements fantoches, de représentativité veule, de chantages à la légitimité et d’invocations sectaires autant qu’hypocrites

ACCUEIL LE DROIT INTERNATIONAL ET LA GUERRE Evolution et problèmes actuels Daniel Iagolnitzer Sous l’égide de l’ADIF, Association pour la défense du droit international humanitaire (France) Editions L’Harmattan, Paris (2008) (2de édition) Un résumé du livre est présenté ci-après. Pour obtenir une copie du livre, deux possibilités : Commandez le livre à un libraire (coût 12,50 euros), ou adressez-vous aux éditions L’HARMATTAN (7 rue de l’École Polytechnique 75005 Paris) (il