Seconde topique

des rêves ». Il privilégie une approche idiographique et procède donc par étude de cas. Tous ses travaux vont mener à la mise en évidence des forces inconscientes, avec tout d’abord, une première topique structurée en 3 entités : inconscient, préconscient, conscient. Et une seconde topique constituée du ça (besoins primaires, pulsion, instinct, gouverné par le principe de plaisir), du moi (structure autorégulatrice en lien avec la réalité) et du surmoi (conscience morale et soi idéal). La

en 3 dimensions : le ça, le moi et le sur-moi. Peut-on concevoir la conscience sans l’inconscient ? Nous répondrons à cette question tout d’abord en démontrant que la conscience et l’inconscient ne peuvent aller l’un sans l’autre, puis dans une seconde partie en observant que la conscience et l’inconscient sont séparés. 1) L’inconscient, pour Freud, n’est ni l’inaperçu (Leibniz) ne ce qui n’est pas actuellement à la conscience (Bergson). C’est une instance du psychisme dont on ignore tout et qui

en 1920 dans sa seconde topique. Le Moi correspond en effet à la conscience, dans laquelle émergent les fantasmes qui émanent du « ça » (l’inconscient) s’ils n’ont pas été refoulés et maintenus dans ce dernier par le « Surmoi » (la dimension idéalisée du sujet lui-même). L’expression : « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison » est de Freud lui-même, qui l’a employée dans l’un de ses Essais de psychanalyse pratique. Pour la comprendre, il faut connaître la seconde topique a laquelle nous

pas s’en apercevoir B) FREUD EST L’INCONSCIENT : L’IDDE D’UN APPAREIL PSYCHIQUE 1. Les lieux (topos) a. Système de l’inconscient selon la 1ère topique : il va élaborer une topique psychique, et un appareil doté de fonctions différentes et dont les éléments sont dispensés selon un ordre. 4 systèmes décrits par Freund dans sa première topique : o Le conscient o Le préconscient o L’inconscient o La censure Le conscient : Situé à la périphérie de l’appareil psychique, lieu d’accès direct

Nous ne sommes pas forcément responsable de nos désirs .En effet notre esprit est dirigé par le ça, qui correspond au concept du plaisir et qui fait partie de la seconde topique de Freud, avec le moi et le surmoi, composé de pulsions, c'est-à-dire de forces qui nous dépassent. Le ça, qui était l’inconscient dans la première topique, est individuel car on n’a pas refoulé les mêmes choses au cours de notre existence. Les pulsions, elles sont communes, à tous les individus, et peuvent être des pulsions

l'héritier du complexe d'Œdipe. Il répercute les codes de notre culture sous la catégorie de « ce qu'il convient de faire ». Il s'agit d'une instance souvent sévère et cruelle, surtout formée d'injonctions qui contraignent l'individu. Le mot topique signifie lieu (donnant toponymie, topographie...) et désigne des lieux psychiques distincts. Il sert à désigner le résultat d'un processus qui se déroule chez l'enfant et reste imprimé dans son inconscient lorsqu'il est adulte. Le processus décrit

 Freud introduit justement une faille au sein même du sujet humain. Freud a élaboré deux théories de l’inconscient : La première topique se divisait en trois parties (conscient, préconscient, inconscient) mais Freud a vite compris les limites de cette conception. Il a donc crée une seconde topique (en 1923), bâtie sur le triptyque ça, surmoi, moi. C’est cette seconde topique qui marque le plus profondément la scission avec la philosophie classique. Freud définit en effet trois instances présentes en

l’explication du concept de personnalité de base, il faut revenir la psychanalyse de Freud, et réexpliquer les concepts du « moi », du « ça » et du « surmoi ». Revenons en donc à la seconde topique freudienne. Cette « topique », qui signifie « lieu » est en quelque sorte la cartographie de l'appareil psychique. Dans cette topique, cette cartographie, Freud expliquait par ce schéma la place occupée par le surmoi, le ça et le moi dans l’inconscience, la préconscience et la conscience (ça va ? Bon).

et sa « deuxième topique »1 publiée en 1923. En effet, derrière toute réalité apparente, se cache des désirs et des actes le plus souvent inaccomplis ou ratés. Selon le père de la psychanalyse, l'activité littéraire n'est pas seulement un chef-d'œuvre chargé de symboles explicites mais c'est le résultat d'un inconscient qui ne peut être contrôlé, c’est ce qu'il a d'ailleurs expliqué dans sa « première topique »2 publiée en 1900. Avec l'apparition de ces deux topiques, la psychanalyse est

sexualité infantile, avant de proposer sa première topique – conscient, préconscient, inconscient – et le premier système des pulsions – pulsions sexuelles et pulsions du Moi – puis de distinguer principe de plaisir et principe de réalité. Avec l’étude des Mémoires du président Schreber et Pour introduire le narcissisme, il aborda certains problèmes touchant à la pathologie psychotique, paranoïaque ou schizophrénique. Par la suite, il formula une seconde topique – Moi, Surmoi, Ça – (précisant qu’une partie