Section française de l'Internationale ouvrière

Gaulle : a) Le 13 mai 1958, les généraux parachutistes prennent le pouvoir en Algérie par un coup d’état militaire soutenu par les Pieds noirs. b) Les généraux d’Algérie réclament le retour du général de Gaulle au pouvoir pour sauver l’Algérie française et préparent une attaque parachutiste sur Paris après avoir pris le contrôle de la Corse : la France est au bord de la guerre civile… c) Le Président de la République René Coty charge le général de Gaulle de former un gouvernement et lui confie

fondent un parti communiste dans leur propre pays. D'autres se méfient de Lénine et de ses manières dictatoriales et brutales. En France, le jeune leader Léon Blum fait le choix de rester fidèle à la «vieille maison» : la SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière) et à ses choix respectueux de la démocratie. I] Le socialisme dans un seul pays En mars 1921, les marins de la base de Cronstadt, dupés par les promesses des bolcheviques, se révoltent et réclament une véritable démocratie

Soustelle. Dans le contexte de la guerre d'Algérie et d'une lutte pour le pouvoir, il avait pour but d'empêcher la constitution du Gouvernement Pierre Pflimlin et d'imposer un changement de politique allant dans le sens du maintien de l'Algérie française au sein de la République. Il se solda par la fin de la « traversée du désert » pour le général en retraite, Charles de Gaulle, et son retour aux affaires. En outre, il marque la fin de la Quatrième République et le début de la Cinquième République

REVISIONS IEP : Partie 1 : A la recherche de la stabilité et de la modernité * 25 Aout 1944 : Paris se libère après 8 jours de combat. Lendemain : de Gaulle président du gouvernement provisoire de la République française, descend triomphalement les Champs-Élysées. Janvier 46 : De G. s’écarte scène politique car n’arrive pas à installer sa République. IVème République ne dure que 12 ans et 58 de G. rappelé au pouvoir. De 1958 à 1974 : Vème République dirigée par le Général puis son héritier

Félix Éboué De Gaulle et le gouverneur-général Félix Éboué au Tchad vers octobre 1940. Adolphe Sylvestre Félix Eboué (26 décembre 1884, Cayenne, Guyane française - 17 mai 1944, Le Caire, Égypte) était un administrateur colonial, résistant et homme politique français. Il est membre de la Section française de l'Internationale ouvrière (SFIO) jusqu'en septembre 1939 et franc-maçon. Il fut en son temps un grand humaniste. Sa fille, Ginette Eboué, a été mariée de 1946 à 1956 au président sénégalais

Sénégalo-mauritanien à l'Assemblée nationale française où les colonies viennent d'obtenir le droit d'être représentées. Il se démarqua de Lamine Guèye au sujet de la grève des cheminots de la ligne Dakar-Niger. Ce dernier vote contre car le mouvement social paralysait la colonie alors que Senghor soutient le mouvement, ce qui lui valut une grande popularité. En 1946, Senghor se marie avec Ginette Éboué, la fille de Félix Éboué, gouverneur général de l'Afrique-Équatoriale française avec qui il eut deux fils, Francis-Arphang

liberté d’expression, gratuité de l’école… A cette époque ces idées sont perçues comme radicale. Le parti radical va être repoussé d’avantage vers la droite suite à la création de la SFIO puis plus tard du PCF. Création de la SFIO (Section française de l’international ouvrière) qui est le 2ème grand parti à voir le jour en 1905. Vont se rassembler dans la SFIO tous les déçus du parti radical et ils vont prôner l’instauration d’une république socialiste. A l’origine de la SFIO on a l’idée de rassemblement

particulièrement celle qui s’étend de 1936 à 1938. Où pour la première fois en France est élu un gouvernement de gauche. On parle alors de « front populaire » : c'est-à-dire une alliance entre différents partis de gauche : la SFIO (Section française de l’internationale ouvrière), le parti communiste et les radicaux. Notre période commence en 1936 année de départ avec la victoire du front pop aux élections législatives, et se termine en 1938 par le gouvernement Daladier qui annule des réformes du F. populaire

(96% de oui). Ces élections marquent le triomphe de trois grands partis politiques ; deux d’entre eux reconstitués après la guerre, et un troisième, nouvel issu de la Résistance. Il s’agit du Parti Communiste Français (PCF), de la Section Française de l’Internationale Ouvrière (SFIO) et du Mouvement Républicain Populaire (MRP). Ces trois partis récupèrent à eux seuls 75% des suffrages sans qu’il y ait une très grande différence entre eux. Les partis de droite se sont effondrés et les radicaux qui symbolisaient

précipice, il est représenté en noir et on le reconnait à sa casquette. Il y a un point fermé derrière lui qui le pousse dans le précipice, elle est rouge symbole du communisme. Sur le point, il y a écrit « SFIO ». La SFIO était la Section Française de l’Internationale Ouvrière qui était un parti politique socialiste dirigé par Blum. Il y a également écrit CGT ce qui signifie la Confédération Générale de Travail. La SFIO et la CGT sont assimilées sans différence, ils sont normalement défenseurs de l’ouvrier