Sédation

d’hypoxie et d’hypercapnieNeuro : patiente insuffisamment sédatée -TOF ¼- désadaptation du respirateur avec une de la FR -Glasgow/3h-Pupilles/3h- Augmentation des sédations : Propofol + Curares -Surveillance de l’état neurologique de la patiente + état de curarisation : pupilles, adaptation au respirateur, TOF - réalisation des échelles de sédations TOF 0/4 Patiente adaptée au respirateur avec une FR à 32Pupilles en myosis réactif et symétrique Glasgow 3Altération du transit : risque d’occlusion -J12 sans

courante (coupure, brossage des dents, rasage, menstruation). Etat actuel de la maladie avec le traitement en cours et l’évaluation faite par les spécialistes. Chirurgicaux. Anesthésiques. Types : anesthésie générale, anesthésie locorégionale, sédation Accidents ou incidents personnels ou familiaux : anaphylaxie, retard de réveil, nausées et/ou vomissements postopératoires, hyperthermie maligne, porphyrie. Allergiques. Médicamenteux : antibiotiques, curares, antalgiques, héparine. Aliments

Rechercher des lésions viscérales ; - Corriger d’éventuels troubles ventilatoires. PRISE EN CHARGE : I- Sur le lieu d’accident : A- En cas de coma d’emblée : - Maintien d’une ventilation efficace ; - Maintien d’un état hémodynamique stable ; - Sédation si agitation ; - Transport rapide ; blessé immobilisé surtout le rachis++++. B- Si blessé conscient : - Surveillance clinique ; - Examen neurologique sommaire : • Existence d’une perte de connaissance initiale ; • Etat de conscience : GCS

question de l’euthanasie B) Un problème d’application signifiant une volonté de réforme II) Une législation contraint de devoir se réformer A) La nouvelle méthode plus souple des directives anticipées B) Une réforme quelque peu radicale qu’est la sédation terminale I) De par les nombreux arrêts que la CEDH a rendu elle démontre le fait qu’il n’existe, pour l’instant, aucun consensus en Europe au sujet de l’euthanasie donc elle laisse, pour la plupart de ses décisions, aux états une marge d’interprétation

L’infirmier(e) doit utiliser les outils d’évaluations . Intensité de la douleur. utilisation EVA ou EN en fonction de la préférence du patient communicant. utilisation de l’ECPA pour les personnes non communicantes . Etat de vigilance. Echelle de sédation EDS. Fonction respiratoire Mesure de la fréquence respiratoire. 3) L’infirmier(e) doit retranscrire toutes les données de son évaluation. Une feuille de surveillance spécifique dite « recueil douleur » est disponible dans les unités de soins. Elle

bien ce passé, la patiente essaie de communiquer de manière non-verbale en me serrant la main quand je lui demande si elle a mal. La sonde d’intubation semble lui gênée car elle vient de se réveiller des sédations m’explique le médecin, que pour tous les patients qui se réveillent des sédations avec une intubation mise en place cela leurs provoque dans la plupart des cas une angoisse et une envie de retirer l’intubation de leurs propres mains dû à la gêne, celui-ci nous demande de surveiller les

dans la trachée. L'extrémité distale de la sonde se trouve dans la trachée, alors que l'extrémité proximale reste à l'extérieur et est relié à un respirateur. Le but étant d'obtenir une hématose aussi parfaite que possible. Indications : coma ou sédation majeure, délabrements maxillo-faciaux, détresse respiratoire aiguë majeure de cause médicale (OAP, asthme) ne cédant pas au ttt habituel, ... a) Matériel ✗ pince de Magill ✗ sondes d'intubation de différents diamètre (sondes stériles) ✗ laryngoscope

circonstances www.ouest-france.fr/un-pretre-pres-de-ceux-qui-demandent-leuthanasie-382 « Au cœur de leurs inquiétudes, un nouveau droit à une «sédation profonde journal Libération le 27 novembre. Le parlementaire est allé jusqu'à évoque paroles de «Soulager mais pas tuer» pour qui la ligne jaune risque d'être fra contestons toute pratique de sédation ayant pour objectif de provoquer la m arrêter la vie», plaide le mouvement. «Ce n'est pas le même geste que l'euth Jean Leonetti dans le Figaro, le

boites en France en 1995) 1. Classification Les anxiolytiques sont des médicaments de structure chimique assez variable qui ont tous en commun de réduire ou de supprimer l’angoisse et de provoquer une sédation. Ils n’ont pas d’effet psychotique et n’ont pas d’action antidépressive. La classification des anxiolytiques est chimique. On distingue clairement les benzodiazépines d’une part, ils dominent la classe par leur nombre, et les « autres » : carbamates

français qui revient sur la loi de fin de vie en 2016 avec Jean Leonetti qui accorde à tout individu atteint d’une affection grave et incurable et dont la souffrance est insupportable de demander à être endormi et ensuite mourir dans son sommeil par la sédation profonde et continu. Ici, le patient dort et ne réagit plus au toucher ni à la voix mais continue la prise de son traitement en cours même si cela se traduit par une obstination déraisonnable ayant pour effet de maintenir le patient « artificiellement »