Sentience

***** De ma vie et de mês sèrmons : “Au Lycée Molière” ***** Le Noir Ce chapite du receuil est composé de trois laps et confrontations de ma vie entre l'âge de 13 et 14 ans au contacte de ce qui m'entourait, lors des quels l'unique sentient qui me possaidait était alors une écrasante sensation d'étrainte en de noirâtre volutes d'ombres dont la simbolique -aussi mistérieuse soit-elle- peut être comprises sous divers aspects . Partie : - Les sphères corrompues - Sans autre élément

gras abattus en France Nombres d’oies : • accouvage : 710 000 oisons à gaver (France et export) chiffres 2007 Sources • Antoine Comiti, L’INRA au secours du foie gras - Enquête sur une expertise publique sous contrôle de l’industrie, Éditions Sentience, 2006 • Directive 98/58/CE du Conseil de l’Union européenne du 20 juillet 1998 concernant la protection des animaux dans les élevages • Recommandation concernant les canards de Barbarie et les hybrides de canards de Barbarie et de canards domestiques

à foutre des malentendants. Question numéro 4 : Mais les végétaux n’ont-ils pas aussi des sentiments ? La réponse intelligente : En fait, de ce qu’on en sait à ce stade, non. Mais tandis que la science a échoué à démontrer le moindre degré de sentience chez les végétaux, il est devenu de plus en plus clair que, non seulement les animaux ressentent et souffrent comme les humains, mais dans certains cas ils ressentent et souffrent encore plus. N’importe qui ayant passé un minimum de temps avec un

religion. L’antispécisme est un courant de philosophie morale qui se veut donc opposé à toutes ces conception. Les animaux ont des droits et des intérêts, au même titre que l’homme, qui doivent être reconnus et respectés. C’est le principe de sentience (capacité d’éprouver des sensations et des émotions), dont les humains et les animaux sont dotés, qui dicte ces obligations. Ainsi le principe de hiérarchie entre les espèces est inopérant. Au-delà d’une simple doctrine morale, l’antispécisme demande

elle n'a plus le moindre sens aujourd'hui, et pas un seul scientifique crédible n'accepterait encore de la défendre. Les Anglo-Saxons ont un terme pour désigner l'ensemble de ces caractéristiques – sensibilité, conscience, esprit : sentience . Sans équivalent en français, il désigne le fait d'avoir une vie mentale subjective, de ressentir des émotions, des perceptions, d'avoir des buts et des désirs. Les animaux sont sentients , on le sait désormais

L'éthique fondée sur la sensibilité et les préférences, dont le représentant le plus emblématique est Peter Singer, condamne donc absolument les pratiques décriées. Idem pour le déontologiste néo-kantien Gary Francione, qui fait également de la sentience le fondement de l'appartenance à la communauté morale. Pour les tenants d'une approche plus déontologiste et souvent abolitionniste, il va de soi que maltraiter les animaux est toujours immoral. Les animaux sont des êtres sentients, or c'est le critère

animaux selon Bentham et Singer n’ont 7 Traités de législation civile et pénale(1858) dans Bentham juriste, l’utilitarisme juridique en question par E. Dardenne, Economica, 2011. pas cette capacité ; en d’autres termes, les relations entre « sentience », « conscience de soi » et « intérêt pour la vie » sont problématiques. Il est vrai que tous les animaux humains sont égaux face à la souffrance. Mais la vie des humains a plus de valeur parce qu’ils ont plus d’intérêts. En effet, pour le philosophe

peuvent difficilement être renforcées (L. Boisseau-Sowinski, op. cit., nos 162 et s. . - Adde G. L. Francione, Prendre la sensibilité au sérieux : in H.S. Afeissa et J.B. Jeangène Vilmer, Philosophie animale : Vrin, 2010, p. 196, trad. de Taking Sentience Seriously : Journal for Animal Law and Ethics, n° 1, 2006, p. 1). D'autre part, la protection des animaux leur est mesurée à l'aune des intérêts humains (V. L. Létourneau, De l'animal-objet à l'animal-sujet ? : regard sur le droit de la protection

basis for ‘the solidarity of those who are suffering the community of men lost in the universe’ (Horkheimer 1974: 75). It could underpin ‘solidarity with life in general’ and the sympathy for all sentient creatures (Horkheimer 1993: 36). The idea of sentience serves to check the anthropocentrism of much moral and political theory. Similar themes pervade Adorno’s claim that the Holocaust required a return to an ethic that begins with the inescapable fact of the ‘injurable animal’. The purpose of a ‘new