Sentons Nous Le Bonheur

soit la fin des fins ! ROXANEMais l'esprit ?... CYRANOJe le hais, dans l'amour ! C'est un crimeLorsqu'on aime de trop prolonger cette escrime !Le moment vient d'ailleurs inévitablement,-Et je plains ceux pour qui ne vient pas ce moment !Où nous sentons qu'en nous un amour noble existeQue chaque joli mot que nous disons rend triste ! ROXANEEh bien ! si ce moment est venu pour nous deux,Quels mots me direz-vous ? CYRANOTous ceux, tous ceux, tous ceuxQui me viendront, je vais vous les jeter, en touffe

juger (Descartes et analyse du morceau de cire). Perception : activité intellectuelle. • La perception est une synthèse de la conscience. Permet la reconaissance et la synthèse pr Platon Kant. • Gestalt-théorie : psychologie de la forme = ns sentons et percevons d’emblée une forme. Sensation et perception se confondent, elles ne sont plus dissociées. 3. « Retourner aux choses mêmes » : • Pr Husserl et phénoménologie, il faut réintégrer le sujet et la conscience. D’abord il y a experience

une émotion authentique. Dans le cas d'une interaction humaine, on peut répondre à la tristesse d'une personne par une véritable tristesse, la personne étant l'objet de l'émotion. De même, on peut répondre à une musique qui peut exprimer le bonheur par le bonheur, ce qui semble correspondre à l'expérience habituelle.Supposons que nous éprouvons de façon répétée des émotions vraies grâce à des personnages et des situations fictives, et que les émotions auxquelles nous sommes habitués soient accompagnées

Corpus sur le bonheur… Un corpus sur le bonheur…pour les classes de Première Réalisé par Annelyse Mandon texte 1. Madame du Châtelet, Discours sur le bonheur, publié en 1779. Le Discours sur le bonheur d’Emilie du Châtelet pourrait être simplement l’exercice de grande intelligence d’une femme du XVIII° siècle éprise de connaissances, de sciences, traductrice de Newton, férue de mathématiques et de philosophie, ce qui déjà serait précieux, dès lors qu’il s’agit de l’entrée des femmes sur

éternelle infiniment heureuse (double gain : une infinité de vie + une infinité de bonheur). - Envisageons maintenant les différentes possibilités. *Soit je parie que Dieu n’existe pas. Ou je gagne. Je ne gagne pas grand-chose : une petite vie de plaisirs Ou je perds. Je perds tout : je suis passé à côté d’ l’éternité et de la béatitude. * Soit je parie que Dieu existe. Ou je gagne. Je gagne tout ; une infinité de vie et de bonheur. Ou je perds. Je ne perds pas grand-chose (une petite vie de plaisirs médiocres)

revient même deux fois. · Elle est cependant d'accord pour dire qu'un certain nombre de femmes à histoire comme elles ont « sauvé le monde de l'égoïsme ». Acte I, Scène 8 - Dans cette scène Oreste et Électre se retrouvent face à face remplis du bonheur de leurs retrouvailles mais on se rend compte assez vite qu'Électre est une personne très possessive qui emet le besoin de se recréer un frère face à sa propre image. Électre : une femme possessive qui domine son frère · Elle ne s'intéresse pas

profonde sur notre imagination. Elle devient symbole par excellence, ce qui peut expliquer Charles Mauron en ces termes : « Quand un objet nous touche sans que nous sachions pourquoi, quand nous y tenons sans trop deviner par quels liens, quand nous le sentons significatif et présent, car il faut toujours en revenir au même mot, c’est qu’il est devenu symbole. »[1] Cependant le pouvoir de l’élément aquatique est beaucoup plus vaste. Car l’eau sous tant de formes - l’océan, le fleuve, la source, la fontaine

| | | |Le bonheur est un parfum que l'on ne peut verser sur les autressans en recevoir quelques gouttes. | |

affecte aussi sa santé. Ne demi jour = idée très forte qu’il ne pourrait pas vivre lgts sans. La poésie lui est essentielle. C’est le plaisir où fault que mon ris mette". Ris = action de rire. ‘Plaisir’ vers connoté positivement. Dépend de son bonheur à lui = ‘mon’. Poésie = source de plaisir. Faut = obligation. Vient renforcer l’idée de besoin évoquée aux vers précédents. Ici la rime n’est pas construite sur le mot ‘rime’ mais ‘ris’ = change quelque peu du schéma mais continue dans la lignée

d’affirmer ou de nier, de prendre un parti ou un autre ;ce pouvoir, celui du libre-arbitre, il n’en conçoit pas de plus ample. « Pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir les choses que l’entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu’aucune force extérieure nous contraigne » Méditations métaphysiques, Quatrième Méditation. Cette liberté s’éprouve lorsque nous jugeons. Il s’agit de la liberté de penser, de reconnaître et dénoncer la vérité ; de savoir choisir le meilleur