Serveur central

avantages de Java Servlet & JSP Rappels HTTP Utilisation d'une servlet Cycle de vie d'une servlet Servlet Web : requêtes et réponses, exemple Paramètres, cookies, sessions Portée des objets, partage des ressources Applications Web : déploiement Serveurs de servlet JSP Constitution des pages Directives JSP et actions JavaBean dans les JSP Variables prédéfinies Custom tags Le paradigme MVC •Génèse •MVC appliqué au Web •Le modèle •La vue •Le contrôleur 2 exemple JavaBean exemple JSP exemple

multivaluées. Enoncé 4 On se propose de gérer un serveur Web. Pour cela, on demande la conception de sa base de sites appelée SERVEUR_WEB. Dans un serveur Web, chaque site hébergé est caractérisé par le thème auquel il appartient, son titre, son adresse URL (Uniform Resource Locator), le nombre de pages qu’il contient (mis à part la page d’accueil), son auteur, sa date de création (ou hébergement), la mémoire lui est allouée sur le serveur en octets et le tarif par mois de l’hébergement. Un site

L’intranet repose sur une architecture dite du client-serveur. Sur un réseau ainsi architecturé, des ordinateurs appelés « serveurs » sont mis en relation avec des ordinateurs du réseau local, appelés « clients ». Dans une architecture simple, les serveurs contiennent les informations que l’organisation souhaite mettre en circulation, qui sont consultables à distance grâce à un autre ordinateur, appelé le « client ». Dans le serveur sont donc stockées et indexées les informations ainsi que

Introduction à STRUTS par la pratique - déc 2003, rév août 2004 serge.tahe@istia.univ-angers.fr Mots clés : méthodologie STRUTS, programmation WEB, servlets, pages JSP, serveur web TOMCAT Struts par la pratique - Serge Tahé, université d'Angers 1/134 I - Généralités I.1 Objectifs On se propose ici de découvrir une méthode de développement appelée STRUTS. Jakarta Struts est un projet de l'Apache Software Foundation (www.apache.org) qui a pour but de fournir un cadre standard de développement

L’erreur 404 est un code d’erreur dans le protocole HTTP1. Ce code est renvoyé par un serveur HTTP pour indiquer que la ressource demandée (généralement une page web) n’existe pas. Certains navigateurs web affichent alors le message « 404 File Not Found » (de l’anglais signifiant « fichier non trouvé ») à destination de l’internaute. Ce code peut aussi être détourné de son sens et renvoyé suite à une restriction d’accès à certaines ressources web (par exemple due à une censure2). Le premier 4 indique

architecture se décompose en 3 parties distinctes. La première partie représente Internet. Elle est composée d’un serveur de routage Quagga installé sur une Linux Debian couplé à un serveur Web & DNS. La seconde partie représente le site principal. Il est composé d’un Firewall hébergé sur une Debian et s’appuyant sur Netfilter. La partie DMZ du site principal est composée d’un serveur Web & DNS local résolvant les noms de domaine locaux. Pour simuler le réseau d’entreprise un routeur Cisco 2600s

e08daa471dd2a2366553e7e soit temporairement inaccessible ou qu'elle ait été déplacée de façon permanente à une autre adresse Web. Voici quelques suggestions : Actualisez cette page Web ultérieurement. Erreur 105 (net::ERR_NAME_NOT_RESOLVED) : Serveur introuvableIl se peut que la page Web à l'adresse http://www.ff-handball.org/competitions/championnats-regionaux-mf/detail-de-la-competition.html?tx_obladyfluxgesthand_pi1%5Bstructure%5D=2000000&tx_obladyfluxgesthand_pi1%5Bsaison%5D=2010%20-%2020

Logicielle présentation application domain Duke’s Bank Les beans session  Utilisent des DTO (XxxDetails) pour passer des valuers entre l’application et le client Duke’s Bank Les entités  Uniquement accessible à l’interieur du serveur   par les sessions Duke’s Bank Les Objets de Transfert  Data Transfer Object  Utilisé pour transférer des infos entre l’application et les clients  Souvent identique à l’entité   en EJB3 on peut utiliser une instance « non attaché

utiliserons un domaine que l’on considère fictif ‘’libre.com’’. Avec un service de résolution de noms, la base de données est localisée sur un serveur. Lorsqu’un client qui souhaite adresser un hôte regarde dans son cache local, s’il connait l’adresse. S’il ne la connait pas il va interroger le serveur de noms. Normalement un service DNS nécessite au minimum deux serveur afin d’assurer un minimum de redondance Après ce bref aperçu de la définition du DNS nous allons télécharger le BIND9 et BIND9UTILIS deux

d’utiliser un privilège Par le SE (gestion locale) Lors d'une tentative de connexion avec le privilège SYSDBA, ORACLE vérifie si l'utilisateur était déjà connecté avec les droits du groupe (du système d’exploitation) sur le poste de travail du serveur. Il n'est pas nécessaire de dédoubler la vérification avec un autre mot de passe associé à un nom d’usager => VOUS ÊTES CONNECTÉ COMME SYS Ex. : CONNECT / as SYSDBA => connexion comme SYS! Ex. : CONNECT SCOTT/bidon as SYSDBA => connexion