Sganarelle Libertinage

Malade Imaginaire. Les personnages Don Juan : Il est le fils de Don Louis et le maître de Sganarelle. Il est hypocrite, cynique, séducteur, libertin et égoïste. Il manipule hommes et femmes pour arriver à ses fins : il séduit par le discours. Il veut affirmer sa supériorité sur tout, y compris la morale et la religion. Mais il est aussi un homme très intelligent et d’un courage sans faille. Sganarelle : Il est le valet de Dom Juan. Il n’est pas courageux. Il croit au Ciel et à l’Enfer, au contraire

Le libertinage chez Dom Juan Don Juan représente, au fil des temps et des réécritures successives de son histoire, le personnage littéraire qui incarne le mieux le libertinage, dans son sens le plus large, qu'il s'agisse du libertinage d'idées ou de mœurs.
Le qualificatif de “ libertin ” ne fait son apparition en France qu'au XVIe siècle. Il est alors utilisé pour désigner une secte qui développe des croyances liées à la nature et au matérialisme. Par association d'idées et glissement d'interprétation

Libertinage religieux L’adjectif « libertin » renvoie essentiellement à une attitude de refus devant les lois, à commencer par celles de la religion. Le libertinage de Dom Juan est traité par Sganarelle, qui traite à deux reprises son maître de « libertin ». Sganarelle s’adresse à son maitre à propos des paroles que celui-ci fait du mariage, il identifie libertinage et athéisme. Pour Sganarelle, Dom Juan fait partie des libertins par son mépris du Ciel. « Vous savez ce que vous faites, vous, et

d’exposition du théâtre classique, puis, nous analyserons le portrait de Don Juan, et enfin celui en creux de Sganarelle par lui-même à travers les traits de caractère qu’il laisse transparaître dans son discours. I- Une scène d’exposition traditionnelle. a) Présentation des personnages principaux. le texte est un portrait de Don Juan, héros éponyme de la pièce. A la fin du monologue de Sganarelle, il va faire son entrée sur scène. Procédé traditionnel du théâtre classique de présenter le personnage principal

Commentaire de texte Dom Juan, Acte I scène 1 : La tirade de Sganarelle Ce texte est la scène d’exposition de Dom Juan de Molière. Molière, auteur de nombreuses pièces de théâtre au XVII° siècle, est classé parmi les représentants du classicisme. Le classicisme se caractérise par l’importance donnée à la clarté, la raison, la mesure, les codes et la morale, ainsi que l’imitation des Anciens et la fréquente référence à l’Antiquité. Molière choisit de représenter la morale sur scène mais préfère

premier traitant du côté comique de Dom Juan et le deuxième d’un comique proche de la tragédie. I – Dom Juan : une pièce comique 1 – Sganarelle : un personnage comique Dans Dom Juan, Sganarelle est le personnage qui apporte une part de comédie. Durant des scènes plutôt tragiques, Sganarelle est présent pour apporter de l’humour et rendre la scène moins sérieuse. Sganarelle use de différents procédés pour faire rire, dans la scène 1 de l’acte 3, celui-ci débat sur la médecine soutenant que celle-ci est

disparaître. Nous verrons comment Sganarelle qui réprouve cette conduite décrit son maître (accroissement ainsi que la tension dramatique autour de l’apparition du personnage éponyme) et comment indirectement il se décrit lui-même, tout en annonçant le dénouement de l’intrigue. I- Le portrait de Dom Juan A- L’impiété B- Le mariage, l’illustration C- Dom Juan, le libertin II- Un portrait indirect A- Les traits de Sganarelle B- Sganarelle avoue une obscure fascination pour

la tirade par laquelle il répond aux remontrances de Sganarelle. Nous pourrons donc nous demander ce que cette tirade nous révèle sur le personnage de Dom Juan. Nous verrons d’abord comment y transparait sa personnalité ; puis nous étudierons comment il y fait l’apologie du libertinage Dom Juan a d’abord les attitudes et le discours d’un grand seigneur. On sent le pouvoir qu’il a sur son valet puisque c’est lui qui accorde ou non à Sganarelle de s’exprimer (« je te donne la liberté de me parler

l’hypocrisie des dévots ainsi que le libertinage de mœurs et de religion de la société de l’époque. D’après Molière, il faut « plaire pour instruire, corriger par le rire » c’est pourquoi la pièce est principalement comique notamment avec la présence du valet Sganarelle, personnage typique issu de la commedia dell’arte. SCENE 1 ACTE I Pb1 : En quoi l’éloge du tabac nous introduit-il dans une scène d’exposition originale ? Introduction de la tirade de Sganarelle sur l’éloge du tabac : Dans cette

Sganarelle, Gusman. Sganarelle, tenant une tabatière.Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l’on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use avec tout le monde, et comme on est ravi