Shamash

jusqu’au bout le psychopompe de la classe privilégiée (la famille du souverain) et toujours très présent dans la religion. Par contre, dans l’Orient classique, on assiste à une désuétude du dieu solaire. Dans le panthéon mésopotamien par exemple, Shamash est subordonné au dieu lunaire Sin dont il est considéré comme le fils. Il est le dieu des oracles, ainsi que le patron de prophètes et des devins, fonction de tout temps en relation avec le monde des morts et les régions chtonico-funéraires. En Grèce

Complications of primary nerve sparing retroperitoneal lymph node dissection for clinical stage I nonseminomatous germ cell tumors of the testis : experience of the German Testicular Cancer Study Group. J Urol 2003;169:1710-4. Oliver RT, Ong J, Shamash J, Ravi R, Nagund V, Harper P, et al. Long-term follow-up of Anglian Germ Cell Cancer Group surveillance versus patients with Stage 1 nonseminoma treated with adjuvant chemotherapy. Urology 2004;63:556-61. Bohlen D, Burkhard FC, Mills R, Sonntag RW

d’Akkade et Sumer, administrativement. Vers 1780, Hammourabi a fusionné les usages sumériens et akkadiens dans ce code. Il a été découvert à Suse en 1902 av Jc, sous forme de stèle. On connaît de ce code, le prologue (le roi y invoque l’autorité du dieu Shamash de sa cité) puis 282 articles et l’épilogue (voir docs TD p. 3 à 5). On sait que ce code était encore appliqué 1000 ans après l’Empire d’Hammourabi. Cette première période est marquée vers 1759 av Jc par l’invasion et le pillage de Babylone par

n’arrache pas, la vase du Gange 49 . Tout se passe donc comme si après un long périple souterrain dans les ténèbres, l’« héroïne » de Peter Morgan émergeait des profondeurs pour apparaître dans la pleine lumière de l’espace diégétique. Ainsi Shamash, le soleil mésopotamien, au terme de son voyage nocturne et infernal, sort, resplendissant entre les monts Jumeaux. Voilà pourquoi la jeune Indochinoise se confond définitivement avec Anne-Marie Stretter, autre divinité lumineuse, pâle parmi les

Adapa, l’autre une fille, Titi Gardant leurs liens de parenté secrets, Enki les élève comme des enfants trouvés Adapa, extrêmement intelligent, devient le premier Homme Civilisé Adapa et Titi s’accouplent et ont deux fils, Ka-in et Abael Utu (Shamash) et Inanna (Ishtar) SEPTIÈME TABLETTE Qu’ils soient expulsés dans l’Abzu, loin de l’Edin! décréta Enlil. Adamu et Ti-Amat retournèrent donc dans l’Abzu. Enki les mit dans un enclos au milieu des arbres et les laissa faire plus ample connaissance

décrite sur des stèles dont une se trouve au musée du Louvres. Elle présente une petite scéne qui décrit symboliquement l'élaboration de ce Code. On y voit HAMMURABI (le Roi) avec la main sur la bouche en signe de respect. Face à lui se trouve le Dieu SHAMASH qui lui tend un stylet pour qu'il prenne note, qui dicte ce code, ses règles au Roi. C'est un recueil de décisions d'équité du Roi. Dans le texte lui-même, le Roi ordonne à la première personne. C'est donc une liste d'ordre, d'injonctions du Roi

puisse en prendre connaissance. LE musée du Louvre va abriter cette pierre découvert au 18e siècle, elle révèle que ce roi est un roi législateur. Sur cette pierre HAMMOURABI est représenté comme écrivant le droit sous la dictée du dieux SHAMASH. Le dieux SHAMASH est le principale dieux mésopotamiens est le dieux suprême. D'après cette religions les dieux ont crée les hommes pour en faire des serviteurs. Les Hommes doivent donc respecter les dieux et pour marquer leurs respects ils doivent les honorer

des hommes est donc de retranscrire les règles de droit dictées, révélées par Dieu. * En Mésopotamie : Un Dieu transmet la règle au droit. Par exemple, Shamash (Dieu de la justice), donne le droit a Hammourabi (on peut voire une gravure ou le dieu tend un stylet au roi pour qu’il retranscrive les règles de droit) : « c’est moi auquel Shamash a fait présent du droit ». En effet, Dieu donne le pouvoir au roi, lui révèle la règle de droit. Le roi ne fait donc qu’écrire la règle transmise par Dieu

avant JC, le code de la ville de Lagash ou encore celui de -1750 qui se nomme le code d’Hammurabi qui fut retrouvé entier en 1902 et se trouve aujourd’hui au Louvres. On y trouve des lois et un bas relief sur lequel est représenté le dieu soleil (Shamash) qui dicte les lois a Hammurabi qui indique que ce sont des droits religieux, ce n’est pas la volonté du peuple ni du roi mais d’un dieu. Ces droits sont donc immuables, on ne peut y toucher. Mais les droits mésopotamiens sont un droit religieux

plusieurs stèles, placées dans les villes principales. L’une d’entre elle fut découverte en 1901. Sur cette stèle on voit le Roi debout, devant une divinité assise : SHAMASH, Dieu solaire et de la Justice. Après, on y trouve le prologue du code. Il souligne à fonction religieuse du Roi. La loi est d’origine divine puisque Shamash en fait don au Roi. Mais ce droit n’est qu’un droit inspiré par Dieu, et les prescriptions religieuses y tiennent moins de place que dans d’autres droits anciens. Ce