Shamisen

| |2 La voix et la musique | |2.1 Le chanteur, tayu | |2.2 Le joueur de shamisen | |2.3 L'orchestre | |3 Les marionnettes du bunraku

Utagawa Kuniyasu. Cet artiste peintre à vécu entre 1794 et 1832. « La Geisha avec son Shamisen » peint en 1810, représente une Geisha de l'époque d'Edo. Dans un premier temps, nous pouvons voir que les couleurs de fond du tableau sont plutôt pâles. En effet, sur les anciennes estampes, l'arrière plan est de couleur jaunâtre et beige. Ces couleurs sont utilisées pour mettre en valeur « La Geisha et son Shamisen ». De plus, en haut à gauche, il est souvent indiqué des signes japonais comme nous pouvons

à Gion Séduire les hommes Avec le parlé elle pu séduire Nobu,docteur krab, ministre, président , baron et beaucoups de clients Divertire avec plusieurs avec des jeux ou simplement les parler a propos de leur journées Joueuse de Shamisen Bonne jouese de shamisen , l’aidais à séduire les hommes ou les divertire Rituel du thé Servait à séduire pour démontrer un peu de son corps. Relations entre personnages : Tatie : Un peu plus douce avec Sayuri, mais elle demeure stricte en raison de

créer de nouveaux genres musicaux et théâtraux en adoptant le Shamisen, luth à trois cordes, qui se joue avec un plectre et qui fut importé de Chine, en passant par les Ryukyu, vers le milieu du XVIe siècle.    L'association des marionnettes et du chant récitatif Jôruri accompagné au Shamisen donna alors naissance au Bunraku, théâtre de marionnettes. Le théâtre de Kabuki, chanté et dansé, incorpora des chants avec accompagnement de Shamisen tels que Kiyomoto, Tokiwazu et même créa un nouveau chant,

et qui provient des premiers spectacles de marionnettes appelés "ningyô-jôruri" en vogue au XVème siècle au Japon. Le terme "ningyô" signifie poupée. Le terme  "jôruri" renvoi au genre narratif accompagné par des airs de biwa (luth japonais) ou du shamisen (instrument de musique traditionnel à cordes pincées). Les histoires racontées dans le Ningyo Johruri, provenaient de deux sources principales : des drames historiques dont l'intrigue se déroulait au Moyen Âge (Jidaimono) et des pièces contemporaines

dans cet art, plutôt que dans celui du chant, du shamisen, du ” Tsutsumi “, de ” l'okawa ” ou du ” Taiko ” (tambour). Le shamisen, on l'appelle parfois la guitare japonaise, mais en fait c'est bien plus petit qu'une guitare. Cet instrument a un manche en bois, assez étroit, avec trois chevilles à l'extrémité. Le corps du shamisen est un petit coffre en bois, avec de la peau de chat tendue sur le dessus, comme un tambour. On peut démonter un shamisen, puis le glisser dans un sac, ou dans une boîte

de la couleur de l'ivoire sublimé par de longs cheveux noirs Vous n'êtes pas fou, il est arrivé,le vrai sentiment de liberté. Vous devenez essence. Il y a plusieurs corps dansant sur cette musique pourtant si méconnue La flûte vous parle, le shamisen vous implore de danser au bruit de ses cordes, le tambour vous effraye. Des frissons, voilà l'impact de cette liberté Vous êtes libéré de vous même Mais vous pleurez, vos esprits reviennent Ces instruments nettoient de leurs larmes ce rêve abandonné

les entraînaient des leur enfance . Ainsi elles devaient travailler comme bonne ou assistante afin de rembourser le coût de leur éducation, souvent élevée. Dès leur plus jeune age elle pratique un éventail d’arts : joue de plusieurs instruments ( shamisen, flûte ou tambours readitionnel ), étudie la poésie, la littérature japonnaise ou encore la cérémonie du thée ( le chanoyu) toutes suivent un enseignement traditionnel de danse mais seules les plus belles étaient encouragées à poursuivre cet art

accordé aux sumos. En effet, La geisha doit maîtriser l'art de la toilette et de la coiffure comme celui du rituel du thé « chanoyu ». Elle possède la science du chant et de la danse. Elle joue aussi d'instruments de musique traditionnels le « shamisen » (instrument à trois corde) ou le « tsutsumi » (tambour) et connaît l'arrangement floral (ikebana), la calligraphie, la comédie, la grâce sociale, la conversation et sait donc également entretenir une conversation plaisante, nourrie de réparties

plénitude qu'offre par exemple le titre Alone in Kyoto. Le duo sort l'album Pocket Symphony en mars 2007. Cet album montre que le groupe évolue dans un style influencé par la musique japonaise. Pour cela, Nicolas Godin apprit à jouer au koto et au shamisen chez un maître japonais résidant à Paris, qui apparaît dans le clip Once Upon a Time. Un nouvel album est sorti en 2009, Love 2, qui poursuit encore davantage son chemin pop. Certains adeptes du groupe ont été ainsi relativement déçu de l'évolution