Shanghai

tigres » : Thaïlande, Indonésie, Malaisie, Philippines et Vietnam. L’expansion de l’aire de puissance s’illustre également par le développement de grandes métropoles qui regroupent toutes les fonctions économiques productives. On peut citer Tokyo, Séoul, Shanghai, Singapour et Hong-Kong. B - LES FACTEURS EXLPIQUANT L'EXPANSION DE L'ASIE ORIENTALE L’Asie orientale est marquée par la civilisation chinoise. On remarque que la philosophie chinoise affecte encore les mentalités, l’individu doit respecter la

respectif (doc 3.) La distribution des fonctions au sein de l’espace urbain est souvent comparable. Centralité : immobilier plus cher et constructions nouvelles (tours et complexes commerciaux). A Mumbai comme à Singapour, Hong Kong, Pékin, Shanghai ou Tokyo, les aménagements ont verticalisé leurs quartiers centraux. Leur extension se traduit par de nouvelles relations villes-campagnes. Les densités sont fortes au sein d’espaces initialement ruraux comme l’illustre l’industrialisation rurale

avril, il est décrété dans un éditorial du « Quotidien du peuple » que toute nouvelle manifestation est interdite par le pouvoir. Cependant le 27 avril, ils sont près de 50’000 à manifester à Pékin et le mouvement se développe dans tout le pays, de Shanghai à Chongqing puis à Hong Kong, Taiwan et les communautés de la diaspora chinoise en Amérique du Nord et en Europe. Mais le mouvement gagne rapidement en ampleur, le 12 mai, commence une grève de la faim qui finira par être suivie par un millier

Pendant plus de dix ans, le pouvoir politique passa aux mains de seigneurs de la guerre, qui régnèrent localement. Le gouvernement central conserva une existence précaire et parfois fictive jusqu’en 1927. En 1921, un groupe de partisans fondent à Shanghaï, le parti communiste, influencés par les écrits de Karl Marx, philosophe allemand ayant émis une théorie scientifique du communiste. Après la mort de Sun Yat Sen en 1925, le général Tchang Kai Chek le succède. Une lutte entre nationalistes et communistes

la révolution industrielle et connaît au XIXe siècle un sous-développement économique et une mise sous tutelle politique de la part de puissances occidentales qui lui imposent des traités inégaux et s’approprient certains territoires (exemple de Shanghai) pour le commerce. La situation de ce pays au XXe siècle est donc fort différente de celle des États-Unis : la puissance ici se reconquiert plus qu’elle ne se construit.   Au début du XXe, la situation est délicate : faible pouvoir central de la

Corée en 1910. Il prit de l’ampleur au cours de l’ère Shōwa avec l’invasion de la Mandchourie en 1931 puis des provinces du nord de la Chine. En 1937, l’empire se lança dans une invasion de la Chine qui débuta avec le bombardement stratégique de Shanghai et de Canton, ce qui entraîna une résolution de blâme de la Société des Nations à l’encontre du Japon mais surtout un écrasement des forces du Guomindang. Plus de deux cent mille civils chinois furent exterminés lors du massacre de Nankin (Nanjing)

créée la « ligne Noguès » reliant la Chine à la France, à l’époque il fallait 27 jours pour joindre Paris à Shanghai. En 1933 une ligne Hanoi-Hong-Kong est ouverte. Il s’agit de l’embryon du futur réseau aérien de la Chine. Après la seconde guerre mondiale de véritables avions de lignes joignent Paris à Shanghai en 11h15 avec des escales par le biais d’un Airbus. La ligne dessert Shanghai tous les quatorze jours. Il s’agit alors du début du développement commercial des lignes aériennes entre les

années 50/60 étaient, pour l'essentiel originaires des pays du bloc communiste ( U.R.S.S., Europe orientale, Corée du Nord, Vietnam du Nord). En 1954, l'Etat a fondé l'Agence du tourisme international de Chine, et installé 14 succursales à Beijing, Shanghai, Guangzhou et d'autres villes. Quelques efforts pour ressusciter l'industrie touristique nationale durent entrepris au milieu des années 50, mais ils furent anéantis par l'instabilité politiquer du "Grand Bond en Avant" à la fin de cette décennie

télévision mobile numérique sur les réseaux de bus à Beijing, Guangzhou, Shenzhen, Suzhou, Wuxi, Chengdu, Ningbo, Nanjing, Wuhan, Dalian, Shenyang, Zhengzhou, Changchun, Changzhou, Changsha, Taiyuan et Xiamen, et fonctionne sur les métros de Pékin, Shanghai, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing, Tianjin, Chongqing et Hong Kong. Notre bus combinée et les réseaux de métro atteignent plus de 221 millions d'habitants à travers la Chine. Dans chacune des villes où nous sommes implantés, nous avons des accords contractuels

Chine n’est porteuse d’aucun message, d’aucune utopie pour évangéliser la planète vers un monde meilleur. Elle veut seulement reprendre sa place dans l’économie mondiale, toute sa place. Rien ne ressemble plus aux aspirations d’un milliardaire de Shanghai que les motivations d’un milliardaire de Los Angeles. C’est sans doute pourquoi les EtatsUnis ont longtemps sous-estimé l’ampleur du défi, ne voyant que les avantages de la globalisation. Il aura fallu l’éclatement de la bulle financière et immobilière