Sidney Bechet

côté de la Nouvelle-Orléans. Revendiquant cet héritage musical, et s’attachant à respecter son originalité, ils reprennent pour vous, sur des instruments typiques et des arrangements personnalisés, les meilleurs standards de leurs maîtres : Sidney BECHET; Louis ARMSTRONG; King OLIVER ; Kid ORY; Duke ELLINGTON ; et...Georges BRASSENS. Regardez-les; Ecoutez-les; vous comprendrez pourquoi ils s’appellent : | Parades…[pic] | Jazz

une basse. Sidney Bechet SidneyBechet est née le 14 Mai 1987 à la Nouvelle-Orléans et il est né le 14 Mai 1959à Garches, c'est un clarinettiste, saxophoniste et compositeur américain de jazz. Musicien cosmopolite dès sa jeunesse, Sidney Bechet est à l'origine de la première critique de jazz. En 1919, c'est le clarinettiste du Southern Syncopated Orchestra dirigé par le compositeur Will MarionCook, qui refusait d'employait le mot « jazz » mais tenait beaucoup a avoir Bechet en vedette. Prodige

Edward Kennedy est né le 29 avril 1899 à New York. Il était pianiste et chef d’orchestre majeur noir du XXème siècle, il a gardé son orchestre pendant 50 ans. Au sein de celui-ci, comptaient de nombreux musiciens de renommée internationale tels que Sidney Bechet (qui a eu beaucoup de succès en France), Ben Webster, Johnny Hodges, etc. Duke a été aussi pianiste en trio jazz où il a enregistré en petite formation des disques d’anthologies. Il a influencé toute une génération de grands musiciens (Theolonius

mais dans les premiers temps les races n’étaient pas mélangées, leurs différents statuts sociaux étant d’ailleurs très hiérarchisés. Parmi les créoles citons Ferdinand La Menthe (dit Jelly Roll Morton), Alcide Pavageau, Alphonse Picou, Kid Ory, Sidney Bechet (on remarquera les consonances françaises) qui parlaient un patois voisin de celui de nos Antilles. Parmi les Blancs de la Nouvelle Orléans, on retiendra par exemple Nick La Rocca. Bien entendu, nous n’avons des premiers orchestres que des

tout à coup, la pièce dans laquelle ils se trouvent change de forme, et devient sphérique: "Les coins de la chambre se modifiaient et s'arrondissaient sous l'effet de la musique". En plus: on note quelques petites références "Ils tournaient rue Sidney Bechet" ou : "allo ? La maison Gershwin ?", par exemple, ou encore de nombreux morceaux de musique sont cités tout au long du roman. Il y a également et surtout le personnage de Chloé dont le prénom fait référence au morceau de musique « Chloé » arrangée

guitare, batterie, on isntaure par la suite le piano, ce style va ce faire connaitre par Jelly Roll Morton, Red Hit Peppers, les Hot Five renplacer par les Hot seven. Louis Amstrong remplace le cornet par la trompette, il est embassadeur du Jazz. Sidney Bechet, il a un orchestre il se distingue des autres, il a lancer sa carriére de Jazzman européens, produit a paris, a londres. Josephine Baker femme chanteuse.La revue des feuille musical de la nouvelle air consacre un numero entier de jazz, «c’est la

Vagabond". En fait, le blues du vagabond s'apparent à Colin qui recherche désespérément de l'argent pour Chloé, et qui néglige donc Chloé elle-même. Mais dans L'Ecume des Jours, d'autres musiciens sont évoqués tels que Louis Armstrong (ch. I), Sydney Bechet (ch. XXX), Jimmy Noone (ch. XLII), qui sont des grands noms du jazz style New Orleans. Ces noms sont associés à des rues. Les autres références au jazz sont liées au pianocktail. On retrouve en effet au chapitre I: " J'ai obtenu à partir de la

Métropolis (La grande ville). Retable triptyque (1927/28). Les années 20, ce sont les années folles. Une vision mythique des années 20 en retient surtout l’époque de la beauté et du plaisir. C’est le jazz, la revue nègre, les cabarets, Sydney Bechet, le strip-tease, le strass, les paillettes. Mais celà n'est qu'une façade. L'envers du décors, c'est la réalité cruelle et sordide d'une époque contre laquelle vont s'engager les artistes. Cette réalité, Otto Dix va la peintre en 1928 à travers un triptyque

Métropolis (La grande ville). Retable triptyque (1927/28). Les années 20, ce sont les années folles. Une vision mythique des années 20 en retient surtout l’époque de la beauté et du plaisir. C’est le jazz, la revue nègre, les cabarets, Sydney Bechet, le strip-tease, le strass, les paillettes. Mais celà n'est qu'une façade. L'envers du décors, c'est la réalité cruelle et sordide d'une époque contre laquelle vont s'engager les artistes. Cette réalité, Otto Dix va la peintre en 1928 à travers un triptyque

Pour un premier film, c'est un premier film ! Sidney Lumet, en 1957, n'avait pas d'expérience de la caméra de cinéma, mais il se lança dans le projet, adaptant une histoire en noir et blanc et avec l'aide de Reginald Rose, l'auteur la pièce, et s'adjoignant comme co-producteur les services d'Henri Fonda dont ce sera d'ailleurs la seule excursion dans le domaine de la production. Malgré son succès mitigé aux USA à l'époque de sa sortie, le film a depuis longtemps gagné ses galons de film culte.