Siegfried Bing

Baudelaire et des romans de Georges Rodenbach. Dans les années 1890, il est reconnu par Puvis de Chavannes comme un des peintres les plus importants du mouvement symboliste français. Avec Eugène Gaillard et Edouard Colonna, il a été choisi par Siegfried Bing, fondateur de la boutique « L’Art Nouveau », pour concevoir des salles dans son pavillon à l’exposition Universelle, en 1900. Il créa ensuite des meubles, tapis ainsi que de la verrerie. La conception des meubles a été basée sur le thème de la

Saint-Pierre en contrebas date aussi de cette époque, il est inauguré sept jours avant la ligne de métro. Mais l’Expo illustre également un renouveau artistique parisien déjà réactionnaire vis-à-vis du progrès technique. L’Art Nouveau de Siegfried Bing (ou Samuel Bing, allemand naturalisé français, mécène, marchand d’arts: Maison de l’Art Nouveau, à l’origine du nom du mouvement en France) témoigne de l’apport d’une sensibilité nouvelle par rapport au rationalisme d’Eiffel en 1889. L’architecture de

courbes végétales - L'expression « Art nouveau » pour la première fois par Edmond Picard en 1894 dans la revue belge L'Art moderne pour qualifier la production artistique d'Henry van de Velde. - Elle devient l’enseigne de la galerie d’art de Siegfried Bing à Paris sous le nom « maison de l’art nouveau » on y exposent de grand nom de mouvance symbolistes et art nouveau comme par exemple Munch, Rodin ou encore Toulouse-Lautrec. - développé va la même époque que le symbolisme - Ses sources d’inspirations

féminines qui ont la grâce des héroïnes. Alfons Mucha (1869-1939) d'origine slave, considéré comme le " Maître de l'Art Nouveau " et Georges de Feure  (1868-1928) peintre d'origine hollandaise avec ses compositions de symboliques.   Samuel Siegfried Bing (1838-1905) marchand spécialisé dans les arts d’Extrême-Orient est souvent considéré comme l’inventeur du terme, ayant ouvert un magasin à Paris à cette enseigne.   A Nancy  avec les fondateurs de l’école de Nancy Eugène Gaillard  (1862-1933)

d'œuvres d'art japonaises en Europe On pouvait trouver des estampes japonaises dès 1878 par miliers dans les boutiques parisiennes spécialisées dans la vente de chinoisereies et japonaiseries et lors des expositions universelles, dont celle de Siegfried Bing Et en 1890 est organisée par, gd marchand d'oeuvre chinoises et japonaises auprès des Nabis, Monet et Cernuschi, une grande expo à l'école des BA : 700 estampes pvenant de collections parisiennes privées > impressionne bcp les nabis Les nabis

pour la première fois par Edmond Picard en 1894 dans la revue belge L'Art moderne pour qualifier la production artistique d'Henry van de Velde. Elle passe en France, lorsque, le 26 décembre 1895, elle devient l'enseigne de la galerie d'art de Siegfried Bing, sise 22, rue de Provence à Paris. Y exposent de grands noms des mouvances symbolistes et Art nouveau : outre van de Velde, citons Munch, Rodin, Tiffany ou encore Toulouse-Lautrec. Empruntant une voie plus solitaire, Hector Guimard fait figure

passionnent pour les objets extrême-orientaux, dont ils apprécient la sophistication des formes et la richesse des matériaux. Le japonisme, comme les autres courants, régénère l'inspiration des créateurs. 2 Pourquoi « art nouveau » ?  1896, Paris, Siegfried Bing, collectionneur ouvre à Paris la « Galerie de l’art nouveau » où :  il expose des œuvres telles que : o Joailleries de René Lalique (1860-1945) o Verrerie d’Emile Gallé (1848-1904) o Vitraux de Tiffany (1848-1933) o Meubles de Henry Van de Velde

Le feu, La moisson ou l’Air, le Port ou l’Eau , La mine ou la Terre) donnent plus de cachet et de prestige que des paysans usés par le travail. « La Glèbe » est acheté en 1892 pour le Luxembourg. Il expose dans la galerie « l’Art Nouveau » de Siegfried Bing à Paris, pour Clémenceau , « ces œuvres célèbrent l’Epopée du travail ». C’est le seul qui verra son « Monument au travail » réalisé à Laeken en 1930. Quant à « La Semeuse » d’Oscar Roty, est une allégorie qui figure toujours aujourd’hui sur la

application de la vapeur à la navigation fluviale (1873) ; - Beurmann (de), ancien officier du génie en Prusse : offre de services en Abyssinie (1860) ; - Biaggini (A.-J.), constructeur de navires à Porticciolo (Corse) (1867) ; - Bing (Alfred), éditeur et industriel : projet d’atelier de constructions mobiles à Poissy (Seine-et-Oise, auj. Yvelines) (1870) ; - Birrell, Rotheroe et C ie , fabricants de machines en Angleterre (1867) ; - Blache (Ed.), auteur

coloniale en 1893, autant de matrices qui constituent la surface visible du parti colonial. Toutes les tendances politiques et puissances économiques ou administratives s’y retrouvent, du prince d’Arenberg à Leroy-Beaulieu, de Charles-Roux à Siegfried, d’Archinard à Binger... Par la suite, des comités plus spécialisés se constitueront : comités de l’Égypte, de l’Asie française, du Maroc, de l’Océanie française... En parallèle, le groupe colonial à la Chambre ne cesse de grossir, rassemblant plus de 200 élus