Signe

ATTIA TES1 Ruben DM de philosophie 1) Comprendre un mot, c’est tout autre chose : un mot est un signe linguistique qui est, selon Ferdinand de Saussurre, composé d’un signifiant (image acoustique d’un son) et d’un signifié (concept défini à la  fois positivement comme dans une définition et négativement par rapport aux autres concepts. Par ex. une table, c’est un plan horizontal avec pieds permettant de poser quelque chose ; voilà la

cultures, on se placera à une place différente. • mimétisme, s’appuyer contre le mur. ( modèle de l'orchestre. Il existe d'autres signes que le langage qui sont souvent négligés. On assiste à la métaphore d'un orchestre où chaque signe serait un instrument différent de l'orchestre. Il faut tenir compte du langage du corps (mimétisme): on fait la même chose que celui qui nous fait face car il y a sans cesse des interactions verbales et non verbales. Il y a immitation, action

LINGUISTIQUES – DU SIGNE AU LEXEME Sémiologie : 2 types d’instruments de communication: - outils de communication involontaires non intentionnels > indices (ex : la fumée, la fièvre). - des moyens de communiquer volontaires > signaux * signaux iconiques (relation d’analogie entre signifiant Sa et sens transmis. * signaux symboliques : relation arbitraire, conventionnelle entre le signifiant Sa et le signifié Sé. > Linguistiques ou non linguistiques. Propriété du signe linguistique: -arbitraire :

d’une personne Plan du cours  L’état clinique  généralités  L'état clinique d’une personne  La démarche d’observation  Les changements de l’état clinique  Définitions      Affection Appareil Symptôme Signe Syndrome L’état clinique- généralités  C’est l’état de santé d’une personne observable à un moment donné La clinique concerne l’observation du patient  Qui observe?  C’est au cours d’un examen clinique que le médecin observe son

SEMIOLOGIE Les fondamentaux de la communication professionnelle > Les signes Qu’est-ce qu’un signe ? Une marque, un langage est un signe donc tout ce qu’on interprète est un signe. F. de Saussure et C.S Peirce ont fondé la même discipline mais leur point de vue n’est pas le même : ⇨ Sémiologie : F. de Saussure (images professionnelles) ⇨ Sémiotique : C.S Peirce (texte universitaire) Barthes : Il décode les images de la vie quotidienne. La différence entre la connotation et la dénotation

conventionnel et prtant, ils st traversés / exig de sens. Ce n'est dc pas sur le mot, ms sur le sens que doit porter la rech. II _ 1 _ Saussure (CLG, 1964) : les mots ne désignent pas les choses (et le langage n'est pas conformité à l'être : il est signe). Note : déf linguistique : Prob posé / th "nomenclaturiste" ou "naturaliste" : elle conformise lang et ê, mots et choses (cf. Socrate : mais als, lang est superflu, car il redouble inutilemt le réel; on pourrait s'en passer) Socrate corrige

voyons pas les choses mêmes, nous nous bornons le plus souvent à lire des étiquettes collées sur elles". Pour débuter le texte, cette ouverture explique clairement que ce qui traduit le "nous" et la "chose" se limite à une simple interpretation d'un signe, comme l'exemple que Bergson évoque, qui sont ici " les étiquettes". Le langage à partir de la mise en oeuvre de la langue contribue à fasconner le réel. On reconnait et on identifie la réalité à travers ' les signes' que le langage déploie. Par la

CHRETIEN DE TROYES L’auteur : Tout d’abord, il signe ses œuvres contrairement aux auteurs inconnus de l’époque (cfr ; La chanson de Roland, Tristan et Iseult…) Pour les dates, il n’y a rien de précis… +/-1135-1190 (1190, on suppose que c’est la date de sa mort parce que sa dernière œuvre, Le graal, s’est inachevée en 1190.). Il écrit des romans (ce qui signifie pour l’époque qu’il écrit en roman) avec comme thème la matière de Bretagne (essentiellement la légende d’Arthur) Dans chacun de

les questionne sur l’un d’eux, ce qui va dans le sens d’une existence psychologique 1 relative et relationnelle des unités lexicales. Ramené à la dichotomie saussurienne langue – parole, cela pose le problème délicat de la place à accorder au signe linguistique. En clair, habite-t-il seulement la langue, comme certains auteurs plus ou moins influencés par le structuralisme, comme C. TOURATIER, le pensent, ou doit-on admettre, avec F. RASTIER (1987 : 62) par exemple, que « rien ne peut être représenté

associée à l'image accoustique "chat". Le mot "chat" (un signe) vient d'être créé. On est passé de la sphère de la pensée à la sphère du langage. Le schéma ci-dessous peut aider à "visualiser" ces "sauts" métaphoriques d'une "sphère" dans une autre : Le premier saut est opéré par la perception Le deuxième saut est opéré par la création du signe linguistique (qui associe un son (ou plus exactement une image acoustique) qui est le signifiant du signe, à une autre image mentale, qui en est le signifié)