Simonie

Grégoire VII lance la réforme grégorienne pr rétablir la discipline et corriger les mœurs des clercs. Celle-ci interdit aux personnes de l'église : le port d'arme, la fornication, le nicolaisme (incontinence des clercs et obligation au célibat), la simonie(rapport à l'argent/corruption). Les devoirs des chrétiens : d'aller au cimetère à leur mort, fonts baptistaux, distribuer les sacrements pour le prêtre, respecter les fêtes religieuses,se confesser ( à partir de 7 ans ), la charité et le pelerinage

curie pontificale qui contrôle ce qui se fait dans l'Église. Enfin, le pape multiplie les interventions pontificales. L'une des plus connues est matérialisée par le Décret de 1059 réformant l'élection pontificale et interdisant le nicolaïsme et la simonie. La garantie du travail des moines tout en contrôlant les comptes de l'église, qui fut un sujet très polémique à l'époque. Sommaire [masquer] 1 Contexte historique 1.1 L'Église aux Xe et XIe siècles 1.2 La crise de l'Église (Xe et XIe siècles)

officiel, droit canonique) Auteur : Probablement le Pape Grégoire VII, ou tout du moins initié par lui Grégoire VII (1073-1085) principal acteur de la réforme grégorienne lutte contre le nicolaïsme : célibat ecclésiastique lutte contre la simonie : achat et vente de biens spirituels en particulierles charges ecclésiastiques et le sacrement-> conflit avec Philippe 1er lutte contre l'investiture -> conflit avec Henri IV Destinataire : les personnes cultivées, noblesse + clergé, mais plus

La crise de l’Eglise au début du XIème siècle - pas d´autre moyen de s’imposer que l’excommunication (arme assez faible) - problème de définition de : péché  laics b) Les problèmes des mœurs au sein de l’Eglise  définition : nicolaïsme et simonie c) La papauté dominée - dès 961 papauté sous tutelle des empereurs germaniques - investiture laïque ex. : le procès contre Jean XII 3.) Le monachisme traditionnel – Cluny dans l’élan réformateur a) le moine comme modèle chrétien - devenir

présélecteur, notamment Grégoire VII. Le concile de Clermont avait pour but initiale de régler certain problème de discipline ecclésiastique à la suie du concile de Plaisance qui avait déjà avancé le sujet. Le fléau de l’époque en la matière était la simonie. C’était le fait de vendre ou de pouvoir donner une charge ecclésiastique par des laïcs. Ce concile intervient dans un contexte difficile de ce point de vue là. Le pape organise une voyage en France pour essayer de résoudre le problème matrimonial

Mayence), les biens de l’église doivent être indivisible, le pape interdit les messes de ce type. b. promotion d’une vie canoniale vie en groupe et pas de richesses des clercs ils doivent servir dieu et vivre comme des saints c. Dénonciation de la Simonie Simon le magicien qui demande à un apôtre d’avoir une charge en échange d’argent, monnayage des dons de dieu art6 : grégoire VII Correction : Ce texte est un recueil de décisions concillière, avec protocole qui établit le caractère solennel du

curie pontificale qui contrôle ce qui se fait dans l'Église. Enfin, le pape multiplie les interventions pontificales. L'une des plus connues est matérialisée par le Décret de 1059 réformant l'élection pontificale et interdisant le nicolaïsme et la simonie.

volantes... Au début du XIème siècle, ce type de manifestation se poursuit. 2. L’institution en crise a. Mesure de la crise du clergé On disait, autrefois, qu’avant la réforme grégorienne les deux tares principales du clergé étaient la simonie et le nicolaïsme. Simonie : le terme vient des Actes des Apôtres (Ac 8, 18-24) dans lesquels il est dit que Simon le Magicien, voyant que “l’Esprit-Saint était donné par l’imposition des mains des apôtres..., leur offrit de l’argent. ‘Donnez-moi ce pouvoir à moi

réciproquement des privilèges.! ! B. La réciprocité du pape Calixte! ! • Le Pape autorise l'empereur à avoir un droit de regard sur les élections des évêques et des abbés "Je vous accorde à mon cher Henri [...] auront lieu en votre présence sans simonie et sans aucune violence" (l.14-16)! • Il désigne l'empereur comme arbitre en cas de désaccord entre les parties "s'il élève [...] à la partie la plus digne" (l.16-18)! • Il légitime l'empereur comme détenteur des regalias, ce dernier les assignes

touchait les bénéfices d’un revenu ecclésiastique sans pour autant en être officiellement le propriétaire. Il y est aussi dit que l’abbé Tencin a une sœur religieuse qui ne tient pas de clôture, elle a donc quitté le couvent. Il est également accusé de simonie (trafic de charges ecclésiastiques). Parallèlement, l’auteur reconnait les vertus de Soanen qui est toutefois condamné à l’issue du concile provincial d’Embrun. Le contraste des deux personnalités frappe tellement que Voltaire, qui est pourtant anti