Sionisme

favorable aux revendications sionistes qui conduisent à un plan de partage de la Palestine voté par l’ONU. Cette mesure qui engendre de nombreuses oppositions entre juifs et arabes, conduisent à la naissance de l’État d’Israël. Depuis le XIXe siècle, le sionisme qui réclame la création d’un État juif en Palestine prend tant d’essor qu’en 1917, le Royaume Unis promet la création d’un « foyer national juif » en Palestine. Cependant, les britanniques limitent l’immigration juive et acceptent la création d’un

dissimuler le racisme et la haine millénaire des Persans à l’égard des Arabes. Elle est brandie pour attiser le fanatisme et la haine et dresser les peuples de la région les uns contre les autres, servant ainsi consciemment ou non les plans mondiaux du sionisme. (…) Nous saluons chaleureusement nos frères arabes d’Ahwaz qui souffrent de la terreur et de l’oppression komeynistes, plus terribles encore qu’à l’époque du Chah. Nous saluons les militants honnêtes du Kurdistan iranien et tous les peuples amis

  de   milliers   de   juifs   de   rite   séfarade   quittent   les   pays   arabes  nouvellement   indépendants   en  raison  de  la  montée  du  nationalisme  arabe  et   du  développement  du  sionisme  qui  pousse  certains  juifs  à  d’installer  en  Israël  par  idéal   politique  ou  religieux  ou  encore  pour  des  motifs  sécuritaires  et  économiques.     De   1948   à   1967,   environ

théâtre de nombreux procès politiques contre des personnes accusés d’être « titistes » (terme qui vient de Tito, chef de la Yougoslavie), accusés de dévier de la politique de Moscou, (donc d'être « déviationnistes »), de « cosmopolitisme » ou de « sionisme », ou de travailler pour l'Occident. De très nombreuses personnes sont emprisonnées ou exécutées, l’immense majorité tout simplement car ils gênent les régimes alors en place alors que plusieurs d’entre eux sont d’authentiques communistes comme

Israélo-Palestinien : Après la dispersion des juifs à travers l’Europe lors des destructions par les Romains, ceux-ci sont persécutés et massacrés durant des années. Suite à cela, il y a eu l’apparition du projet de création d’un état juif, le sionisme, permettant aux juifs de par le monde d’immigrer en Palestine et de fonder le premier Kibboutz (ferme collective). En 1917, la déclaration de Balfour officialise cette promesse. Compte tenu de l’apparition du Troisième Reich et du génocide qui s’en

conflit de juin 1967 n'a pas seulement été marqué par la victoire de l'armée israélienne sur les forces militaires égypto-syro-jordaniennes. Il a aussi provoqué la chute de l'arabe au profit de l'islamisme au Proche-Orient; et la contestation du sionisme par un fondamentalisme biblique en Israël. Mais après La Guerre des six jours on observe de nouvelle frontières qui se dessinent, la Judée, la Samarie, la péninsule du Sinaï, la bande de Gaza et le plateau du Golan passant sous contrôle israélien

l'administration de l'Empire ottoman et habitée principalement par des Arabes. En Europe, des communautés juives victimes de discrimination commencent à exprimer le désir de fonder un État juif en Palestine. Ce mouvement nationaliste prend le nom de « sionisme ». Lors de la Première Guerre mondiale, les puissances européennes réorganisent les frontières du Moyen-Orient à la suite du démantèlement de l'Empire ottoman. Tandis que la France gère le territoire de la Syrie et du Liban actuels, la Grande-Bretagne

palestinien à l’heure du premier heurt de 1945 à 1952. Au sortir de la guerre, Roosevelt se rapproche des Etats arabes. Il est favorable à ceux-ci et non au sionisme s’engageant même auprès des états arabes à ne pas favoriser le projet sioniste. Cependant, Truman, nouveau présidant des Etats-Unis est ému par la Shoah, soutenant ainsi le sionisme. Corollaire, ce sont les Etats-Unis qui sont responsables du sort des réfugiés. Les juifs deviennent un soutien important pour le parti démocrate auquel appartient

précise. L’antisionisme tout d’abord. C’est Béria qui demanda, au printemps 1951, qu’on enquêtât sur un complot non plus seulement « titiste » ou « trostko-titiste », mais sioniste[21]. Le procès prit alors un fort caractère antisioniste. Le sionisme, c’est l’ennemi principal du communisme, c’est finalement ce qu’ont en commun tous les traitres et les espions, et ce avec quoi ils se camouflent et infiltrent le monde socialiste. Ayons à l’idée que, L’URSS souhaitant s’implanter solidement dans

changements). À cette époque l'immigration juive ne cause pas trop de problèmes, jusqu'en 1914 elle demeure négligeable. Les Arabes accueillent bien les nouveaux venus, sans doutes parce qu’ils n'ont pas encore pris conscience des objectifs véritables du sionisme. Par contre, les choses changent catégoriquement quand l’arrivée des juifs devient plus substantielle. Les organisations juives achètent systématiquement des terres aux propriétaires arabes et en chassent les paysans pauvres qui les cultivaient jusqu'à