Sionisme

conséquent, on assiste à un exode massif des Juifs ou la Diaspora. Le sionisme, une cause essentielle du problème palestinien A partir du 19e siècle, les germes de la crise qui mine la Palestine commencent à pousser. En effet, face à la montée de l’antisémitisme en Europe, les Juifs organisent un mouvement mondial pour le retour en Palestine (« la Terre promise ») appelé SIONISME. Théorisé par un juif hongrois, Théodore Herzl, le sionisme est d’abord une prise de conscience des Juifs de la nécessité pour

juin 2006), Libye (7 août 2006), Syrie (6 février 2007), Palestine (28 novembre 2007) et Emirats arabes unis (15 janvier 2008).les grands traits de cette charte sont les suivants : les Etats Arabes rejetant toutes les formes de racisme et le sionisme qui constituent une violation des droits de l'homme et une menace pour la paix et la sécurité internationales, consciente du lien étroit existant entre les droits de l'homme et la paix et la sécurité internationales, réaffirmant les principes de

plus toute l’Afrique du Nord (Maghreb et Machrek), jusqu’au Pakistan. Problématiques : celles de l’Etat et de la Nation ; question du nationalisme, du nationalisme arabe, des nationalismes des différents pays arabes, du nationalisme d’Israël (sionisme) ; question des territoires ; relations entre religion et politique (présence de religions minoritaires et leurs rapports à la politique : Christianisme, Judaïsme ancien et récent) ; intérêt stratégique de cette région (Canal de Suez ; ressources

et scientifique. L’hydrographie est une science complexe, privilège de quelques savants mis au service d’une cause idéologique. « Les vrais fondateurs de l’Etat Juif d’hier et d’aujourd’hui seront les hydrologues » avait dit Theodor Herzl, père du sionisme moderne. Celui-ci incarne bien cette conjonction des justifications bibliques et des soucis pratiques. Les frontières bibliques du « grand Israël » sont aussi aquatiques. L’eau est ainsi un élément essentiel de l’idéologie sioniste. Dès l’avant-Première

naissance de l’état d’Israël 1.1. L’idée du retour à Sion (Jérusalem) § Elle est entretenue dans la prière quotidienne des communautés juives de la Diaspora et reste donc tout à fait vivace chez les juifs 1.2. Le sionisme( Sionisme : Depuis la création de l’état d’Israël, le terme de sionisme a pris un autre sens ; il signifie plutôt désormais impérialisme ou expansionnisme israélien.) § idéologie politique née à la fin du XIXème (Théodore Herzl) § objectif : offrir au peuple juif un état

d’Israël 1.1. L’idée du retour à Sion (Jérusalem) ▪ Elle est entretenue dans la prière quotidienne des communautés juives de la Diaspora et reste donc tout à fait vivace chez les juifs 1.2. Le sionisme[1] ▪ idéologie politique née à la fin du XIXème (Théodore Herzl) ▪ objectif : offrir au peuple juif un état en Palestine 1.3. La Déclaration Balfour de 1917 ▪ Pendant la

Aide des États-Unis 1.2.1.4 Échec des idéaux bolivariens 1.2.2 « Principe des nationalités » 1.2.2.1 Application en Europe du principe des nationalités 1.2.2.2 Première extension du « principe des nationalités » en dehors de l'Europe, par le sionisme 1.3 Au XXe siècle 1.3.1 Le premier ébranlement de la suprématie militaire européenne 1.3.2 La décolonisation soviétique 1.3.3 La politique panarabe du Royaume-Uni 2 Modalités de la décolonisation 2.1 L'assimilation 2.2 L'autonomie interne

ce discours dans Totalité et Infini et dans Autrement qu'être... Rappelons au moins ce signe en quelques mots: les « Lectures et dis1. P. 114. 134 cours talmudiques » réunis en 1982 à la fin de L'Au-delà du verset (sous le titre au pluriel « Sionismes « et « L'État de César et l'État de David », 1971, puis «Politique après!», 1979, multiplient les propositions de forme, je dis bien de forme, délibérément contradictoire, aporétique, voire dialectique, au sens de la dialectique transcendantale:

colonies juives et un État juif. Les religieux se contentaient d’espérer la venue du Messie, le salut dans l’au-delà, et dans les pays où l’antisémitisme était virulent, prêchaient en attendant la résignation devant les pogroms. Le père fondateur du sionisme, Théodore Hertzl, se méfiait des religieux, et écrivait dans son livre : « Nous n’admettrons pas le développement des velléités théocratiques de nos ecclésiastiques, nous saurons les maintenir dans leurs temples ». Les générations de militants sionistes

post-marxiste. • L'anarcho-sionisme est un courant politique qui naît après le sentiment d'échec de l'action révolutionnaire des juifs à l'issue des grands pogroms des années 1890, les anarchistes comme les socialistes viennent à penser que la question juive ne peut faire l'économie d'un projet de société séparée en attendant la révolution mondiale. Pour les anarcho-sionistes, il s'agit de fonder un foyer national sans État. Ce courant n'adhèrera pas au sionisme de Théodore Herzl (auteurs français :