Sismondi

ses Principes d’Economie Politique de 1820 il montre que l’épargne n’est pas forcément un avantage pour la collectivité. L’excès d’épargne peut engendrer un excès de production qui ne peut s’écouler faute de demande. Idée qui était présente chez Sismondi et qu’on retrouvera plus tard chez Marx et Keynes. C) L’évolution à long terme du capitalisme : Les classiques sont plutôt pessimistes, c’est à dire qu’ils ne croient pas à la possibilité d’une croissance indéfinie. Evolution vers un état stationnaire

tâcher de lier le capitalisme à l’histoire du monde.BRAUDEL propose tout d’abord de distinguer deux expressions, économie mondiale et économie-monde. L’économie mondiale désigne l’économie du monde, en d’autres termes “le marché de tout univers” selon SISMONDI. L’économie-monde est “l’économie d’une portion de la planète , dans la mesure où elle forme un tout économique” (p.76). Elle peut se définir comme une triple réalité. Tout d’abord, elle est une réalité géographique, elle a des limites, bien que

notamment transformé sa manufacture en usine modèle avec des jardins particuliers, une durée du travail réduite, une école et un jardin d'enfants et, pour les adultes, des cours du soir. Historien et économiste suisse, Jean-Charles Léonard Sismonde de Sismondi (1773-1842) est un disciple de Smith, mais il stigmatise les dysfonctionnements de l'économie de marché qui peuvent nuire au bonheur humain et entraver l'essor de la richesse des nations. Il explique en effet dans Nouveaux principes d'économie politique

Décade Philosophique, l’auteur dit à un jeune romancier : « Tout est épuisé : les actions de l’homme ont été recueillies ou devinées par les romanciers, ils ont raconté de leurs héros tout ce que vous raconterez des vôtres 27. » Aux alentours de 1820, Sismondi écrit à Madame de Souza : Il me semble […] que le genre même du roman commence à s’épuiser et en effet on doit s’étonner d’en voir si peu paraître aujourd’hui ; non seulement de bons, mais même de médiocres ou de mauvais. […] Chaque nouvel écrivain

il faut augmenter les rentes grâce au maintient des lois sur le blé car ainsi ils pourront employer des domestiques qui sont des travailleurs improductifs ce qui permet de soutenir la demande sans augmenter la production. Jean Claude Sismonde de Sismondi (1773-1842) remet lui aussi en cause la loi des débouchés. En effet, une surproduction sectorielle peut entraîner des déséquilibres économiques sociaux pouvant s’étendre à l’ensemble de l’économie et conduisant ainsi à une dépression généralisée

s’Aquin) * Le courant inauguré par Platon, dit « utopisme », va se perpétuer au moyen âge avec Tomas MORE et CAMPANELLA, puis au 19e siècle, en Angleterre avec Robert OWEN et en France avec les socialistes utopistes (Charles FOURIER, SAINT-SIMON, SISMONDI et Joseph PROUDHON * Le mercantilisme (fondé par Keynes) quant à lui, loin d’avoir disparu, affleure fréquemment dans les discours et les pratiques économiques contemporaine. * A partir du 18e siècle, on voit se développer l’idée que l’économie

charité ; mais celle-ci doit demeurer privée. L'aumône, parce qu'elle est aléatoire, est alors efficace et moralisante. Il est vrai qu'un économiste marginal comme Sismondi milite, lui, en faveur d'une redistribution sociale. Il se fait également l'écho des thèses luddites, anti-machinistes. Ainsi, et à l'exception notable de Sismondi, le paupérisme pose un défi majeur au libéralisme : ce ne sont plus les marges seulement de la société qui sont contaminées, mais son coeur même. Comment concilier

idée, la rechercher des intérêts individuels conduisant à l’intérêt général, le capitalisme est un système intrinsèquement stable à condition de laisser faire et de laisser passer. SISMONDE DE SISMONDI (1773 – 1842) Opposé à JB SAY et injustement méconnu, le suisse Jean-Charles SISMONDE de SISMONDI, insiste sur la répétition des crises de surproduction, l’accumulation du capital est la promotion du progrès technique doivent trouver une contrepartie dans la progression de la consommation. L’extrême

réformistes Ils sont face à la misère et à l'exploitation ouvrière. John Stuart Mill (1806-1873) il défend la propriété privée et l'éco concurentielle. Il est conscient des inégalités sociales de son époque. Jean Charles Léonard Simonde de Sismondi (1773-1842) est un réformiste Friedrich List (1789-1846)

constitueraient des régularités du système économique. * Il y a 5 catégories d’explications des cycles : théories monétaires pures (Cassel, Hawtrey), théories du surinvestissement (Marx, Hayek, Aftalion), théories de la sous-consommation (Malthus, Sismondi), théories psychologiques (Keynes avant la Théorie générale) et les théories des cycles agricoles (Jevons) * Pour BOCCARA (marxiste) les cycles KONDRATIEV correspondent à un processus d’accumulation/dévalorisation du capital selon la loi de