Sitting Bull

kku Early life Sitting Bull was born in a tipi located near the Grand River passing through the Standing Rock Indian Reservation in the Dakota Territory. He was named Slon-He at birth, translated as "Slow" in standard Lakota language. In traditional Lakota fashion, he was given one of his father's names, Tȟatȟaŋka Iyotȟaŋka, translated as "Sitting Bull", due to a leadership role in a battle between the Lakota and Crow people. The event occurred when he was 14 years old, and led a charge and struck

cheval (l’équivalent de l‘actuelle Gendarmerie Royale du Canada) et Sitting Bull chef de la tribu des Lakotas Hunkpapas communément appelé les Sioux. En personnages secondaires nous pouvons trouver des soldats canadiens et des chefs de tribus indiennes. La scène principale se déroule dans une tente qui semble être celle du commandement. L’émissaire étatsunien prend la parole afin d’énoncer l’offre de son président, Sitting Bull le remet cependant à sa place en lui signifiant qu’il n’en croit pas

Sitting Bull est son nom en anglais traduit de son nom en lakota Tĥatĥanka Iyotĥanka ou Tatanka Yotanka qui signifie « bison mâle qui se roule dans la poussière[réf. nécessaire] ». En français, il peut se traduire par « Bison Assis » ou « Bison au repos » et non la mauvaise traduction "Taureau assis". Sitting Bull était cependant initialement nommé Ȟoká-Psíče (« Jumping Badger », blaireau bondissant), qui était un nom temporaire1, et reçut le nom de son père, Sitting Bull, quand il était adolescent

 Lettre au Président des États-Unis par SITTING BULL ( Tatanka Iyotanka ) Poignant plaidoyer du chef lakota (1831-1890) : les terres sont sacrées à tous les hommes, le monde est un car « tout se tient », prophétisant à l’homme blanc que « votre esprit de rapacité vous fera disparaître […et votre ] appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert ». L’homme blanc ne comprend pas nos mœurs : une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui

traité de Fort Laramie. Les Indiens, voyant le traité bafoué par ceux-là même qui l’ont signé, se sentent trahis. Ils se révoltent. Les tribus posent ici et là des actes de résistance, jusqu’à ce que celle-ci s’organise autour des chefs sioux Sitting Bull et Crazy Horse. Ceux-ci conduiront, avec leurs 3 000 frères, la bataille de Little Big Horn en 1876 contre les armées du Général Custer. Malgré leur armement majoritairement rustique (arcs et flèches), les Indiens en sortent victorieux et le

Travaux Pratique PHYSIQUE n°5 SPECTRES et MESSAGE DE LA LUMIERE | | |La rédaction du TP se fera entièrement (sauf si indiqué) sur feuilles annexes | |Attention à la clarté de votre document et au soin apporté aux schémas.

guerre des Black Hills. C'est au cours de cette guerre qu'a lieu, en juin 1876, la bataille de Little Big Horn. Après la défaite des Lakotas et de leurs alliés cheyennes et arapahos en septembre 1877 (mort de Crazy Horse, fuite au Canada de Sitting Bull), les États-Unis prennent possession des Black Hills, en violation du Traité de Fort Laramie de 1868. Aujourd'hui encore, les Lakotas contestent cette voie de fait: le 23 juillet 1980, la Cour suprême des États-Unis a reconnu, dans sa décision

settlers. Big Foot On December 15, an event occurred prior to the Battle at Wounded Knee Creek. Chief Sitting Bull was killed at his cabin on the Standing Rock Reservation by Indian police who were trying to arrest him on government orders. Sitting Bull was one of the Lakota’s tribal leaders, and after his death, refugees from Sitting Bull’s tribe fled in fear. They joined Sitting Bull's half brother, Big Foot, at a reservation at Cheyenne River. Unaware that Big Foot had renounced the Ghost

De 1882 à 1912, il organise et dirige un spectacle populaire : le Buffalo Bill’s Wild West. Une tournée le conduit lui et sa troupe dans toute l’Amérique du Nord et en Europe. En 1896, il passe en France par la capitale Paris et par Dijon. Sitting Bull participe au Wild West Show en 1885 aux États-Unis et au Canada. En 1905, le spectacle connait un important succès à Paris. La cavalerie de sa troupe participe, de façon remarquée, au grand cortège du Carnaval de Paris. Le spectacle sera présenté

organise et dirige un spectacle populaire : le Buffalo Bill’s Wild West. Une tournée le conduit lui et sa troupe dans toute l’Amérique du Nord et en Europe. En 1896, il passe en France par la capitale Paris et par la capitale bourguignonne, Dijon. Sitting Bull participe au Wild West Show en 1885 aux États-Unis et au Canada mais n’est pas autorisé à se rendre en Europe. En 1905, le spectacle connaît un important succès à Paris. La cavalerie de sa troupe participe, de façon remarquée, au grand cortège