Smurf

cette époque qu’il découvre les drogues dure et la délinquance. Il découvre également les graffitis et se met à les pratiquer, c’est une façon pour lui de s’exprimer. Passionnés par la culture hip hop importée des Etats-Unis, Joey Starr decouvre le smurf, une danse de rue, qu’il apprécie avec son ami Bruno Lopes plus connu sous le nom de Kool Shen avec qui il a grandit et est allé à l’école. Les deux amis montent un groupe nommé Actuel force et remporte de nombreux concours de break dance en France

musique phare du mouvement.· Le Beatbox : qui est l’art du bruitage avec la bouche· Le Djing : basé sur la manipulation de 2 platines de disques et d’une table de mixage.· La Dance hip-hop : classé en deux Univers précis -> la dance debout (ex : smurf, lock, pop) et la dance au sol (ex : break danse)· Le Graff : réalisation de fresques murales à partir de bombes de peintures, qui a donné naissance au « street art »· Le Street Wear : mode du pantalon large, tenue ample, casquette, basket…Toutefois

III) Les 3 catégories du hip-hop 1) La danse -la danse hip hop apparaît avec le break dance, une danse au sol caractérisée par son aspect acrobatique et ses figures et qui s'inspire en partie des funk styles (Locking, Popping et Boogaloo). - smurf : danse d'ondulation ne comprenant pas de passages  au sol, appelé la plupart du temps « electric bougie". Elle puise dans la richesse du mime. C'est une danse à l’origine individuelle. Le mot veut dire littéralement "schtroumpfs", les danseurs portant

débuté aux Etats-Unis à la fin des années soixante. Mais le Graffiti ne s'est imposé en France qu'à partir de 1984 (le tag en 198Le graffiti est l'une des trois disciplines du mouvement hip Hop. Parmi l'expression corporelle imagée par la danse (du smurf a break...), l'expression musicale par le rap ou le raggamuffin (en autres...), l'expression graphique ou la plastique s'illustrent comme un art des bas fonds (underground) car il a ni besoin de support ni besoin d'être supporté pour exister. Même

(rap engagé) aux Beasties Boy (Rap & Roll) que rejoindra Run DMC, pionnier dans le  son  avant  le  succès  planétaire  de  leur  album  Raising  Hell  et  la  rencontre  avec  Aerosmith.    Cependant les jeunes français se portent alors plus vers la danse, appelée à l'époque  le « smurf ». Richy (Nec Plus Ultra) et Lionel D, que l'on présente souvent comme les  tout  premiers  rappeurs  français,  sont  totalement  inconnus.  Le  premier  album  de  Dee  Nasty,  Panam'  city  rappin,  auto  produit,  passe  inaperçu  et  pourtant 

rock indépendante comme Les Bérurier Noir, La Mano Negra, Les Négresses Vertes, Elmer Food Beat, Ludwig von 88, Parabellum, Les Garçons Bouchers. Apparition du Freestyle et du smurf (en 1982, avec le morceau Street Dance de Break Machine), proche de l'electro et mouvements précurseurs des musiques hip-hop. Le mot "smurf" deviendra plus tard le nom désignant le Break Dance ( ⇒ Films : Break Street 84 et Beat Street. Arrivée et explosion du Rap et de la culture hip-hop né dans le quartier du Bronx

des arts originaires du ghetto. Ce mode de vie est vu comme une sorte de mouvement de conscience d’une culture populaire urbaine composées de trois disciplines distinctes : - MUSICAL : Rap, Raegee, R&B et le Beat-Box. - CORPOREL : Break-danse, Smurf, Hype, Double-dutch - GRAPHIQUE : Tag & Graph. Les fondateurs de cette culture Hip-Hop seraient des jeunes immigrants. Les pratiques culturelles de cet art regroupent ces adeptes qui finissent par partager des même valeurs, un même mode de vie

rock, le punk, la pop, le grunge, le metal, le rap et l’électro («  entre 2 jeunes dont l’un écoute du hard trash et l’autre de la techno Goa » L‘école des parents janvier 1998). Et c’est ainsi qu’on différentie les jeunes des banlieues qui danse le smurf au pieds des bars au rythme de NTM, MC Solaar (…) avec en arrière plan des mur couvert de graffitis. De plus, les styles musicaux comme le rap et le hip-hop défendent souvent la causes de banlieusards, c’est pourquoi tous les jeunes ne s’identifient

qu’offre cette culture, les jeunes se l’ont approprié pour en faire un mouvement engagé. Ils ont démontré que ceux qui avaient prédit la mort prématurée du hip hop, considéré alors comme une mode puérile, éphémère, soit une fad (il y a eu notamment le smurf) qui allait vite disparaître, se sont lourdement trompés. Face au malaise, à l’anomie sociaux, les bboys et bgirls ou fly-girls (adeptes, respectivement filles et garçons, du hip hop) ont réagi en développant une culture à la fois contestataire et

disques qu'il veut pour son émission et comme son émission est populaire, les gens viennent acheter les disques. Il va également adopter la tendance qui consiste à rapper pour annoncer les morceaux et les modèles des animateurs radio américains. Et je smurfe – Annie Cordy, presque plus proche de Planet Rock, musicalement on est plus proche de l'electro-funk que du disco, visiblement influencé par l'émission de Sidney. Dee Nasty, référence du rap français, collectionneur de disques des années 70, qui dépensent