Snacking Grignotage

l’étudiant • L’allégé, lui, connaît un fort essoufflement. Point clé de l’analyse de la consommation : – 14% des fromages consommés actuellement par les français le sont en dehors du cadre traditionnel du plateau de fin de repas : apéritif, grignotage et usage culinaire sont en effet devenus des usages courants. On peut également évoquer une niche marketing des fromages à consommer chaud. Synthèse Analyse Externe •· OPPORTUNITES •MENACES • Image globalement positive du produit

perpétuel, et associé à la subtilité et à la convivialité, il procure des moments d’échange, et rappel la tradition familiale de finir un repas autour d’un café. La déstructuration des repas entraine une augmentation des grignotages au cours de la journée, les gouters, les snacking et l’achat de boissons dont le café étant de plus en plus récurant au quotidien. Au delà de cette approche, le développement de l’individualisme pousse les consommateurs à désirer boire un bon café chez eux, plutôt qu’au

barres chocolatée. Puis viennent la gamme des biscuits, biscuits de poche avec le premier modèle TwixTOP. Parallèlement à la déclinaison de la barre sous différents formats et à l’entrée dans le territoire du biscuit, Mars, surfant sur la mode du « snacking », est l’initiateur du marché des barres glacées. Les poudres Les poudres de cacao sont la base des boissons chaudes, elles représentent 14,5% du tonnage de la production de produits finis et sont utilisées pour la préparation de boissons

également qu’il vaut mieux prendre l’escalier. Mais l’emballage précise surtout que la consommation de BN doit être réservée au goûter de 4 heures, en la complétant avec du lait ou des fruits. Et non étalée tout au long de la journée en un dangereux grignotage. « Nous travaillons sur des recettes plus équilibrées, mais si cela se fait au détriment de la gourmandise, on a tout faux », considère Christian Manceau, en charge de la France au sein du service marketing des Brioches Pasquier. C’est ainsi que

incitations à manger plus sainement et l’hédonisme raisonné. La famille enfin, segment heureux qui revendique une hausse généralisée (+3,1% en valeur) grâce à l’alliance entre des produits énergétiques et la pratique de plus en plus fréquente du snacking. La segmentation par cible montre une situation assez contrastée : La segmentation par usages montre que les habitudes de consommation connaissent une fragmentation implacable : si les biscuits restent majoritairement consommés au sein des

des produits lights. Non consommateurs relatifs : adultes qui font attention à leur ligne Non consommateurs absolus : personnes diabétiques. Modification des habitudes de consommation Grandes tendances : - Développement du snacking, grignotage, nomadisme => multiplication des moments de consommation et nouveaux besoins chez le consommateur. Déstructuration des repas. De plus en plus, consommation à l’extérieur des repas (cf schéma ci-dessous) - Baisse de la consommation de boissons

un élément de socialisation sur le lieu de travail ou un péché de gourmandise pour les petites faims, elles sont néanmoins la source d'un déséquilibre alimentaire. La jeune génération, pour ne parler que d'elle, subit les conséquences néfastes du grignotage et des repas déstructurés tant sur le plan nutritionnel que physiologique. L'indicateur de surpoids chez l'enfant est passé de 3% en 1967 à 16,3% en 2000. Chez les adultes, le taux d'obésité était de 6% en 1980 et de 11,3% en 2003. L'obésité touche

principaux consommateurs de céréales avec les enfants, délaissent progressivement les céréales pour les tartines. Pour contrer cette baisse du marché, les producteurs tentent de lancer de nouvelles habitudes de consommation, en jouant sur la vague du « snacking » avec, dans les pays anglo-saxons principalement, le lancement de bols de céréales accompagnés d’une petite cuillère ainsi qu’un réservoir donnée séparément contenant du lait. En France, les fabricants déclinent ces offres, préférant s’adapter

principalement du faible revenu de la majorité de la population brésilienne. Aujourd’hui, les Brésiliens ont tendance à prendre en moyenne trois repas par jour tandis que dans le passé, ils en consommaient quatre. Cela laisse la place pour le concept de « snacking ». Ce changement marqué de la consommation est un signe des temps. On observe en effet une occidentalisation des habitudes de consommation des Brésiliens. Au cours de la dernière décennie, les aliments emballés, comme les produits laitiers, sont

marqué
par
l’essentiel
de
ces
grands
acteurs.
 Les
biscuits
sucrés
sont
un
segment
à
part
entière,
répondant
à
une
demande
 spécifique.
Cependant,
il
existe
certain
produits
de
substitutions
qui
peuvent
répondre
 différemment
au
besoin
exprimé
par
le
consommateur
(grignotage,
gourmandise,
 encas…).
Nous
le
verrons
au
cours
de
ce
dossier.
 2.
Taille
du
marché
et
son
évolution
:
les
chiffres
clés
 Nous
avons
pu
observer
qu’en
2009,
le
chiffre
d’affaires
global
du
marché
 avoisinait
les

1,5
milliard
d’euros.
Les
ventes
ont
augmenté
de
près
d’1%