Socialisation

jeunes ont plus de pratiques culturelles car ils découvrent de nouvelles activités avec leur groupe de pair; C'est un mode de vie différent que celui des 75 ans et plus par exemple. L'effet de génération montre donc l'influence de la période de socialisation (que l'on peut associer ici à l'adolescence et le début de l'age adulte) sur les comportements sociaux et culturels. Chaque génération possèdent des références communes et conservent des pratiques toute la vie. La personne âgée qui aujourd'hui

compétition scolaire », la méritocratie n’a plus sa place : c’est la socialisation et encore plus l’habitus de l’enfant qui vont s’avérer décisif. En réalité, ce sont les parents qui, de part leur mode et leur niveau de vie, vont transmettre à l’enfant, dès son plus jeune âge, et même au cours de la période intra-utérine, une manière de vivre et de se comporter. Le sociologue Pierre Bourdieu nomme cette caractéristique l’habitus. La socialisation, ce processus au cours duquel l’individu intériorise des normes

travaux très variés, il analyse les différents domaines de la société en s'appuyant sur des concepts comme : • le champ, l'espace social avec ses luttes pour l'appropriation de biens ou la domination ; • l'habitus, dispositions acquises par socialisation c'est-à-dire l'histoire intériorisée du corps avec son système de perceptions et d'actions ; • le capital, qu'il soit économique, culturel, social ou symbolique ; • la légitimité. L'oeuvre sociologique de Pierre Bourdieu est dominée par une

familles transmettent à leurs enfants un capital culturel que l’école valorise alors que les enfants de la classe dominée connaissent des problèmes d'acculturation (difficultés pour assimiler une autre culture). ⇒ La socialisation de la famille est complémentaire de la socialisation scolaire pour la CLASSE DOMINANTE et opposée pour la CLASSE DOMINEE ! ex : les étudiants sont en fait « des héritiers » de la classe dominante. De plus, le système RUSE ! Il donne l’impression de l’égalité des chances

voler ou commettre un autre acte de délinquance est le seul moyen qu’il a pour s’en sortir, il pense en fait au présent, et ne réfléchit pas aux conséquences que ces actes peuvent avoir, tel des sanctions. Enfin, l’absence de règles durant la socialisation primaire peut engendré une mauvaise connaissance de ce qu’il faut faire ou non chez l’individu, Par exemple il peut trouver ca normal d’enfreindre la loi car personne ne lui a jamais dit qu’il ne fallait pas le faire. L’individu se socialise alors

Plusieurs concepts : L’institutionnalisation Normes, légitimité, socialisation, rite,… I. Qu’est-ce qu’une institution ? Les institutions s’imposent, encadrent les individus. Comment font-elles pour durer, quelles sont leurs mécaniques ? A. Définition et approche du phénomène institutionnel Le terme institution est ambigu car il est polycémique (il a plusieurs sens) et parce qu’il a plusieurs approche (sens commun ≠ sens scientifique, savant). L’approche ordinaire correspond par exemple au café

cette adéquation entre son sexe biologique et le stéréotype qui lui correspond, on n’est pas un « vrai » homme ou une « vraie femme », et l’on s’expose à des coûts sociaux. L’apprentissage et la conformité à ces stéréotypes seraient dus à une socialisation différenciée qui s’applique aux enfants dès leur naissance et les guide peu à peu vers les rôles dévolus à leur genre. Une éducation différenciée Les parents traitent leurs enfants différemment selon qu’ils sont garçons ou filles. Dès qu’on

une fiction théorique. Nul ne l’a jamais observé réellement. Bien au contraire, l’ethnologie montre que les tribus les plus primitives vivent en petit groupes. La société : familles, tribus, communautés, villages… est indispensable à la socialisation primaire et secondaire. Les individus ne sont pas hommes en naissant mais le deviennent par l’éducation au sein d’un milieu d’hommes (famille, école, milieu professionnel etc.…) L’homme ne peut se reconnaître comme être pensant et

horizontale. On étudiera différents déterminants de la mobilité et de la reproduction sociale : l’évolution de la structure socioprofessionnelle, le rôle de l’école et de la famille. Acquis de première : Groupe d’appartenance, groupe de référence, Socialisation anticipatrice, Capital social Notions au programme : Mobilité intergénérationnelle intragénérationnelle, mobilité observée, fluidité sociale, déclassement, capital culturel, paradoxe d’Anderson / Notions complémentaires : Position sociale /

On étudiera différents déterminants de la mobilité et de la reproduction sociale : l’évolution de la structure socioprofessionnelle, le rôle de l’école et de la famille (III). Acquis de première : Groupe d’appartenance, groupe de référence, socialisation anticipatrice, capital social Notions au programme : Mobilité intergénérationnelle / intragénérationnelle, mobilité observée, fluidité sociale, déclassement, capital culturel, paradoxe d’Anderson Notions complémentaires : Position sociale / origine