Socialisme à visage humain

bloc après 1945 II. L'impossible passage à un nouveau type de croissance : l'échec de la réforme khroutchevienne III. La stagnation brejnévienne consacre la faillite du modèle de croissance soviétique I. La reprise des pratiques staliniennes en URSS et l'extension internationale du modèle déterminent la formation d'un bloc après 1945 A Un bilan matériel et humain désastreux qui peut obérer la croissance alors qu'émerge une superpuissance Bilan humain * URSS : 25 millions de morts, dont 1/6è

sous Staline cherche à disposer d’un « glacis défensif ». D’où l’importance du rôle des démocraties populaires. Ils sont théoriquement indépendants, mais leur indépendance est relative. Il y a des liens forts avec l’URSS, et leur marge de man' uvre est très réduite. Brejnev parle de « souveraineté limitée ». « pays satellites ». L’union soviétique est le « grand frère ». Ces pays sont en effet dominés par l’URSS. Ces pays reproduisent le modèle soviétique : pays « du socialisme réel ». Sur le plan

L’Europe de 1945 à nos jours Le temps des démocraties populaires : 1948-1989 SUJET 3 SÉRIES L, ES – France métropolitaine – Sujet non retenu – Juin 2005 COMPOSITION Les démocraties populaires de 1948 à 1989. CHRONOLOGIE INDICATIVE 1948 : rupture entre l’URSS et la Yougoslavie 1949 : naissance de la RDA et du CAEM (ou COMECON) 1953 : émeutes à Berlin-Est 1956 : insurrection à Budapest 1961 : édification du mur de Berlin 1968 : « printemps de Prague » 1975 : acte final de la conférence

d’extermination nazis rend l’opinion internationale sensible à la revendication des sionistes (création d’un état juif en Palestine). * 1946 : antagonisme entre occidentaux et soviétiques renaît Staline impose le modèle soviétique aux pays d’Europe centrale jusqu’en 1949 Création du Kominform, résurgence de la IIIème internationale, pour coordonner les partis communistes. * Mars 1946 : discours de Fulton : un rideau de fer est descendu à travers le continent * 1947 : signatures de traités

agissent comme des humains. ce sont des silhouettes schématiques, même si elles prennent une personnalité. Il s'agit là de ce qui caractérise l'aspect « fable » du récit, sa composante irrationnelle, acceptable par un enfant parce qu'elle relève du merveilleux des contes et fables traditionnelles. - humour et ironie le lecteur éprouve un plaisir à constater la naïveté des animaux facilement trompés par Napoléon, de même qu'un certain plaisir à retrouver les traits humains sous les comportements

sont que les symboles, qui sont à l’origine des conflits entre les hommes. Les frontières, quelles que soient leurs natures, alimenteraient donc les guerres et les racismes en tous genres. La légitimité du dessein d’un monde humain sans frontière ne poserait dès lors plus de difficulté. Mais ne nous y trompons pas : si la République universelle — pour lui donner l’un de ses noms les plus usités — est, sinon théoriquement impossible, du moins concrètement difficile à envisager dans un délai quelconque

(soviétiques) | | | | |conflit armé direct |- 1958 : 2e crise de Berlin : depuis 1945 ≈3.106 d’allemands sont partis à | | | | | |l’ouest |

(Steinbeck) John Steinbeck est né en 1902, à Salinas, en Californie et a vécu jusqu’en 1968. Célèbre écrivain, il a grandi dans une famille irlandaise. Il a été étudiant à l’université de Stanford située juste à côté de San Francisco. Par la suite, de retour à Salinas, il a exercé de nombreuses professions comme maçon ou encore bûcheron et aussi ouvrier agricole. Ce sont toutes ces expériences qui ont nourrit aussi l’œuvre de John Steinbeck. Le premier livre qu’il a rédigé, en 1929, s’intitule La Coupe

(1947-1991). A-La naissance de la guerre froide. Elle se fait tout d’abord par la fin de la gde alliance en 1945. Il subsiste néanmoins des points de tension entre les occidentaux et l’Europe de l’est. L’armée rouge va donc reprendre des terres de l’Allemagne de l’est (Pologne, Roumanie…). Sur ces territoires, Staline va mettre en place des démocraties populaires. Il souhaite « satelliser » les pays de l’Europe de l’est pour constituer un glacier protecteur. Par nature le communisme a une visée internationale

Un enterrement a Ornans Date de création : 1849 Date représentée : 1849 Dimensions : Hauteur 315 cm - Largeur 668 cm Technique et autres indications : peinture à l'huile sur toile Lieu de Conservation : Musée d'Orsay (Paris) Contexte historique : Singulier destin que celui de cet enterrement de campagne ! Symbole de l’ordure moderne pour les contemporains, chef-d’œuvre révéré aujourd’hui, brûlot socialiste pour les uns, manifeste réaliste pour les autres, allégorie politique pour les historiens