Socrate Platon Réfutation

LA PHILO EST UN DESIR DE SAVOIR Philo née à Athènes au 5° av. J.C avec Socrate et Platon. Pt commun Philo & Politique : Langage (savoir s’exprimer). Philo : Amour de la sagesse Sophisme : ce qui a l’apparence de logique, un faux raisonnement/preuve. Sophistes (ou démagogues) sont donc ceux qui manipulent par le langage, le bien-parler, la rhétorique. Mort Socrate : 399 av. J.C, condamné à mort par la démocratie : accusé de perversion de la jeunesse. Imp : Pas posséder le savoir mais le désirer

méthodologique. • l’incertitude et la certitude : la dialectique est un examen détaillé des opinions généralement reçues pour remonter jusqu’au principe (Aristote). Elle est la voie qui se fait jour à travers des arguments adverses (Platon). Elle appartient à l’opinion (elle n’est pas science) mais elle est une rhétorique supérieure qui procède par hypothèse, par justification, par argumentation mais qui n’évite pas les impasses ou apories (ces dernières sont toujours susceptibles d’être

l'ignore. Cette alternative schématique est d'ailleurs exploitée par les sophistes contre l'entreprise philosophique de Socrate (Saint Augustin reviendra d'ailleurs sur ce problème dans son De Magistro) . D'après les sophistes, on ne peut rien apprendre que l'on ne puisse reconnaître comme vrai. Or, comme l'on est d'abord ignorant, toute science est dès l'abord impossible. A cela, Socrate répond (dans le Ménon ) que le savoir est possible comme réminiscence, réappropriation d'un savoir oublié. L'ignorance

|Marqueur de relation | | | | |ARGUMENT no 03//RÉFUTATION | | |Par opposition à cette dernière idée, il est faux de dire que l'Homme se doit de craindre la mort, c'est ce qui|Marqueur

Enfin, 3ème, il s’agit de s’interroger sur la possibilité de s’en passer, quand on recherche ce qui est vrai. Nota : Il est bien évident qu’on ne connaît pas le vrai puisqu’on le cherche. Et quand on l’a, on n’a pas à le chercher. Dans le Ménon, Socrate montre qu’il faut partir d’une pré-compréhension de la vérité, d’un moyen terme au lieu d’opposer, comme les Sophistes, 2 termes : savoir & ignorer. Il n’y a rien de plus simple que « le vrai » au sens courant. Chacun a pu éprouver aussi, bien des

cette dernière repose sur des preuves. Qui veut s’assurer de la connaissance examine ce qui est en jeu et donc remet en cause ce qui va de soi. C’est ainsi que Socrate, lorsque son ami Chéréphon lui apprend que l’oracle de Delphes l’a désigné comme l’homme le plus sage, il y voit une énigme comme nous l’apprend Platon dans son Apologie de Socrate. Comment lui qui pense ne pas être un sage pourrait être sage ? Comment pourrait-il ne pas l’être puisqu’un dieu ne peut mentir ? Aussi se lance-t-il dans une

par moments vers des idées relativistes? Avez-vous justifié en quoi votre texte fait ce qui est spécifiquement philosophique? , Vérification de l’utilisation des philosophes et sophistes Grecs : Avez-vous présenté les conceptions de Socrate ou de Platon? Avez-vous expliqué en quoi la pensée des penseurs de la Grèce antique contribue au raisonnement? , Vérification des contributions de penseurs dans l’argumentation (argument, objection ou réplique): Sont-elles toujours identifiées

une chose ? Dans Le Cratyle de Platon, Cratyle et Hermogène vont à la rencontre de Socrate, afin de résoudre un différend qui les opposent. Cratyle soutient une théorie naturaliste : pour chaques choses un nom serait naturellement approprié. Donc, la thèse de Cratyle repose sur l'ambition de l'universalité. Les noms sont justes par nature, c'est-à-dire: "qu'il y a par nature une faon correcte de nommer les choses , la même par tous, Grecs et Barbares". Socrate démontre qu'il y a forcemment de l'ambition

Fiche de lecture : Gorgias, (Platon) Mouvement du texte Citations Remarques, notes, etc. Première partie : la définition de la rhétorique Socrate demande ce qu’est la rhétorique. Gorgias lui répond tout d’abord que c’est la science des discours. Socrate demande des précisions ; Gorgias lui déclare que ce sont des discours ne se rapportant à aucune activité manuelle et visant à convaincre. Socrate veut savoir de quelle conviction il s’agit ; Gorgias lui réplique que c’est celle qui

1. Les anciens accusateurs de Socrate étaient; Anytos, Mélétos et Lycon. → Il est tout d’abord accusé de corrompre la jeunesse. Mais fini pas prouver qu’il ne fait que répondre aux questions que ceux-ci lui posent. Il ne leur a jamais imposé quoique ce soit, s’il est dans la rue, suivit par des jeunes, c’est seulement pour donne des conseils, puisqu’il ne demande rien en retour. → Puis il est accusé d’être un « philosophe de la nature », un athée qui nie les explications mythologiques des phénomènes