Sofonisba Anguissola

Sofonisba Anguissola Née à Crémone aux alentours de 1532, Sofonisba Anguissola fut la première des six filles d'un noble italien nommé Amilcare Anguissola, sénateur de la ville. Comme ses soeurs elle bénéficia d'une excellente éducation et étudia le latin, la musique, la peinture. Quatre d'entre elles : Elena, Europa, Lucia et Anna Maria, étudièrent également la peinture. Toutefois, Lucia fut la seule à faire également de la peinture une profession( meure dans la 20ene). Elena entra dans les

début du 1er siècle av JC. Ils se vendaient même plus chers que ceux de ses collègues masculins. Sa renommée est telle qu’elle est encore citée au 14ème siècle par l’écrivain Boccace dans sa série de biographies de femmes illustres. Sofonisba Anguissola (1532-1625). A la fin de la renaissance, elle est une des premières femmes à faire une véritable carrière de peintre, ce qui est rare puisqu’elle n’est pas née dans une famille d’artiste mais appartient à la petite noblesse de

il s'impose avec Rubens, Rembrandt, puis Largillière ; il est repris beaucoup plus tard par Hans von Marées, F. von Lenbach. Pour des raisons faciles à comprendre, l'image de l'artiste au travail a spécialement retenu les femmes peintres : Sofonisba Anguissola, Artemisia Gentileschi, Rosalba Carriera, A. Kauffmann, É. Vigée-Lebrun et enfin S. Valadon, K. Köllwitz, Marie Laurencin. La représentation du peintre au travail est presque toujours associée, au XVIIe s., à une mise en scène " noble

chargeront modifier le texte de Pie V. Grégoire XIII en supprime une partie, Sixte V rajoute des interdits, et Clément VIII modifie le texte en 1596, en sorte qu'il n'interdit plus grand chose. Philippe II d'Espagne par Sofonisba Anguissola. Le peuple de matadors à pied, ceux qui courent les taureaux dans les boucheries ou qui pratiquent les capeas, va bientôt intéresser la noblesse à cheval. Elle commence commence à utiliser ses valets pour distraire le taureau lorsque

encore que l’accession au métier de peintre, fut longtemps refusée aux femmes. Il existe cependant des exceptions notables : Levina Teerlinc (1520-1576) fut une miniaturiste appréciée des monarques Tudor; à la fin de la Renaissance, la gênoise Sofonisba Anguissola devint peintre officiel de la cour d’Espagne. XVIIe et XVIIIe siècles Artemisia Gentileschi (1593-1652). Au début du XVIIe siècle en Italie, Artemisia Gentileschi, fille du peintre Orazio Gentileschi chez qui elle commence son apprentissage

Pierre-Auguste Renoir (1910) Egon Schiele (1912) Rémy Cogghe (1913) Henri Richelet (2000) Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Autoportrait. Autoportraits de femmes [modifier] Catarina van Hemessen, 1548 Sofonisba Anguissola (~1532 Artemisia Gentileschi, - 1625) (~1630) Judith Leyster Angelica Kauffmann Adélaïde Labille-Guiard, 1785 Élisabeth Vigée-Lebrun Marie-Denise Villers 
 Marie Ellenrieder, Mary Cassatt Marie Bashkirtseff 
 Autoportait

considèrent nécessaire à leur accomplissement. Ces femmes artistes sont très peu nombreuses et doivent s’entourer d’une aura de respectabilité et de chasteté : Sofonisba Anguissola1, peintre et suivante de la reine Isabelle d’Espagne, signe « Sofonisba, virgo ». On trouve aussi : « Lavinia, demoiselle, fille de 1 ANGUISSOLA Sofonisba, 1532, Crémone. Ses cinq soeurs étaient toutes peintres. 37 La place des femmes dans les arts visuels contemporains : invisibilité de l’invisibilité, l’exemple