Soie

foires, l'activité lyonnaise se centre principalement autour de l'industrie du textile et notamment l'industrie de la soie. En effet, plusieurs négociants font travailler des milliers d'ouvrier en soie dans un cadre social hiérarchisé. Cette activité introduite à Lyon en 1536 ne prendra son essor seulement 1605 avec l'invention du métier à la grande tire permettant de travailler la soie avec des fils d'or et d'argent. De ce fait, la soierie de Lyon se définit comme la « Grande Fabrique », autrement dit

et leur formes (architectures) L’araignée possède plusieurs glandes de fabrication de la soie. Elles sont généralement au nombre de 6 et permettent de donner au fil de soie différentes fonctions. La plus connues de toute est bien sur la création de la toile, véritable piège qui nécessite à lui seul l’utilisation de deux types de fil. Le fil de traine qui forme la trame de la toile et une soie plus visqueuse qui forme la spirale de la toile. Avec un de ses fils, l’araignée emmaillotera ses

L’histoire de la soierie à Lyon comprend l'étude de l'ensemble des acteurs de l'industrie de la soie à Lyon. Le secteur soyeux lyonnais tout au long de son histoire comprend toutes les étapes de la fabrication et de la vente d'un tissu en soie à partir de la soie grège : filature, création d'un motif, tissage, apprêt, commercialisation. L'ensemble du secteur est dénommé la « Fabrique ». S'étendant sur cinq siècles, cette histoire commence sur les bords de Saône à la Renaissance, grâce aux foires

broderie Introduction. La broderie c'est une technique d'ornementation qui consiste à ajouté sur un fond généralement sur du tissu ou du cuire un décors à plat ou en relief. L'élément de base en est le point c'est a dire la parti du fil ( souvent en soie , laine , coton ou metal ). Qui demeure à la surface de l'étoffe. Il est difficile de parler d'une évolution de la broderie parce que des ouvrages ancien peuvent montrer une plus grand élaboration que des ouvrages récents. On note toute fois une

vêtements, maintenir la doublure tout autour des emmanchures de costumes, coudre des boutons, de la doublure sur des bustiers, effectuer des ourlets invisibles. J’ai tracé le patron d’un top et d’un pantalon qui formaient un ensemble en mousseline de soie, pour le styliste travaillant en collaboration avec l’atelier et qui préparait un défilé à St Tropes. J’ai du aussi modifier puis contrôler, un patron d’un bustier noir avec des incrustations de dentelle pour une Magistrate de Nouvelle Calédonie

Réalisation d’une mini montgolfière Matériel - crayon (éviter le bic, on en met partout !) - latte - ciseaux - papier collant - carton fin (genre boîte de céréales) - papier de soie - colle (après avoir tester trois colles différentes, c’est finalement la Pritt Stylo à Colle qui sort grand vainqueur !) - beaucoup d’espace Remarque : fort difficile à réaliser avec des enfants ( age minimum 10 ans !!! |

masculin, la haute coiffure à la Fontange répondant par sa grandeur aux volumineuses perruques des hommes. C'est à la fin du XVIIème siècle que les premières mouches firent leur apparition sur la figure des dames de la cour. Ces mouches étaient faites de soie noire et imprégnées d'une substance adhésive. Elles avaient différentes formes : étoile, lune ou demi-lune, coeur, triangle, fleur, animal... Elles étaient destinées à modifier l'expression du visage. On les plaçait aussi bien sur la figure que dans

« géante » et même de « Titan ». L’aspect de puissance est aussi exprimé avec des hyperboles : « colossale », « éternelle ». Ensuite, une métaphore filée vient comparer la Seine à une femme avec les termes : « belles robes », « robes changeantes », « soie », « rubans ». Cette comparaison se confirme avec le champ lexical du vêtement et du tissu : « ruches de satin », « velours noirs », « étoffe », « gaze », « tuniques » et celui de la couleur : « bleu », « vert », « or », « couleur du soleil ». Ces

châle de Manille d’un vert vif et d’un jeune chrome. Sous les franges endormis, comme les branches d’un saule, elle apparaissait ; se découvrait avec la grâce rigide d’une corole de lys inversé, une jupe en soie d’un blanc mat, décorée avec des perles de verres. Les bas, très délicats, en soie blanche, laissaient entrevoir la chair qui prenait la couleur pâle d’un iris rose. Les chaussures, en satin blanc (…) Son manque d’aisance et sa désinvolture montraient qu’elle était novice dans les figures

kapok. - Textiles de tige : lin, chanvre, jute, ramie. - Textiles de feuille : raphia, sisal, chanvre de Manille. - Textiles de sève : caoutchouc. 2 . Origine animale : - Poils : Laine (mouton, chèvre, lapin, chameau, lama, vigogne) - Soie (ver à soie) 3. Origine minérale : - Métaux (or, argent, cuivre, amiante) TEXTILES D’ORIGINE CHIMIQUE : 1. Textiles artificiels : Ils sont fabriqués à partir de produits naturels, en particulier la cellulose. Après de multiples transformations, la