Sola gratia

de la pensée luthérienne et de l'ensemble de la réforme. A sa mort, l'essentiel de l'Allemagne, une partie de la Hongrie et de la Bohême, la Prusse, la Suède, le Danemark, la Norvège, l'Islande sont acquises à la Réforme luthérienne. "Sola gratis, sola fide, sola scriptura. solus Chnstus" : la devise de Luther qui résume sa théologie et la différencie des positions catholiques : le salut par la foi seule, sans les œuvres. L'Ecriture est l'autorité suprême, au-dessus du pape. Seul Christ est le

tend à supplanter. Martin Luther un des pères du protestantisme voit dans l'aristotélisme la matrice de la justification par les œuvres où l'homme peut se sauver par son seul effort, par ses réalisations au quel il oppose la très augustinienne sola gratia (salut par la grâce seule). Notons, néanmoins que le luthéranisme reprend en la transformant l'éthique aristotélicienne tout comme le fait aussi à la même époque le républicanisme. Au xviie siècle, la condamnation de Galilée, la montée de l'astronomie

la rupture est à cause des erreurs de l’Eglise et des déviations qui ont été accumulé depuis des décennies. A contrario, la démarche de Luther s’inscrit dans un retour du fondement du christianisme. L’essentiel peut se résumer : « sola scriptura, sola gratia, sola fide » = l’écriture, la grâce, la foi. Ce qui compte c’est la bible, les écritures saintes = c’est l’idée majeure que dieu se réveille aux hommes dans l’écriture sainte alors que les catholiques ont rajouté dans l’écriture sainte

protestants partagent ces points fondamentaux (les deux premiers concernent le salut) : • Sola gratia (« par la grâce seule ») L'homme ne peut pas mériter son salut auprès de Dieu, mais Dieu le lui offre gratuitement par amour. Ce qui rend l'homme capable d'aimer lui aussi. Ainsi, la valeur d'une personne ne dépend que de l'amour de Dieu, et non de ses qualités, ni de son mérite, ni de son statut social. • Sola fide (« Seule la foi compte ») Ce don se fait à l'occasion d'une rencontre personnelle

caractérise par sa complexité, est souvent résumée par les quatre Sola/Solus : sola scriptura: la "sainte Écriture seule" représente la source de toute foi et de toute connaissance que l'homme peut avoir de Dieu : c'est elle, par conséquent, qui constitue la norme critique de tout discours et de toute action chrétienne ; sola gratia: la "grâce seule" compte sans qu'interviennent les tentatives de l'homme pour atteindre son propre salut ; sola fide: c'est par la "foi seule", uniquement si l'homme croit

• « SOLA SCRIPTURA », « Seulement les écritures ». La foi est contenu dans les écritures seulement, pas dans la tradition. Il importe pour Luther de décaper tout ce qui a été rajouté : culte de la Vierge par exemple. • « SOLA FIDE », « Seulement par la foi ». Ce ne sont pas les actions humaines qui sauvent, c’est Dieu qui sauve seul. Le jugement de Dieu est extérieur aux actions de l’œuvre. Le salut est un don gratuit de Dieu. La position de l’Homme est seulement d’avoir la foi. • « SOLA GRATIA

Cette doctrine est basée sur les enseignements de Martin Luther et repose sur quatre piliers. «Sola gratia, "par la grâce seule" : l'homme n'est pas sauvé par ses œuvres, mais par le don gratuit de Dieu. Sola fide, "par la foi seule" : ce don se fait par une rencontre personnelle avec Dieu ; la foi n'est ni une doctrine, ni une œuvre humaine ; elle peut naître par la médiation d'un pasteur. Sola scriptura, "par l'écriture seule" : d'où l'importance de la Bible, et de la prédication qui permet

une erreur et pourquoi il doit revenir. Recours à l’argument de l’incertain, pourquoi quitter ce qui est sûr, c’est l’intérêt de Carthage, D présente l’installation d’E à Carthage comme la réalisation du désir divin. VII, 151-156 Revendication de la gratia et rappel des promesses M oppose à l’abandon dont elle est la victime la dot qu’elle a apporté à Jason et ses pouvoirs magiques. Souligne l’injustice des accusations portées contre elle par le roi, parce qu’elles ont été subordonnées au salut d’Argo

faire preuve d’invention : Neque parum illi quidem multarum rerum notitia copiosi litterati ad historiae compositionem pulchre constituendam iuuabunt, quae laus praesertim in inuentione consistit. Atqui ea quidem hanc habet uim ut etiam sola inuentio sine pictura delectet. Et ils seront d’un grand secours ces lettrés qui fournissent à foison des connaissances sur quantité de choses pour bien organiser la composition de l’histoire représentée dont l’invention fait le principal

protestants partagent ces points fondamentaux (les deux premiers concernent le salut) : Sola gratia (« par la grâce seule ») L'homme ne peut pas mériter son salut auprès de Dieu, mais Dieu le lui offre gratuitement par amour. Ce qui rend l'homme capable d'aimer lui aussi. Ainsi, la valeur d'une personne ne dépend que de l'amour de Dieu, et non de ses qualités, ni de son mérite, ni de son statut social. Sola fide (« Seule la foi compte ») Ce don se fait à l'occasion d'une rencontre personnelle