Soleil Couchant Victor Hugo Nature

et analytique du texte littéraire. 4 Activité Lecture Contenu -Lecture méthodique. Extrait : De « Cependant, au moment…jusqu'à la fin » -lecture méthodique de deux poèmes romantiques. « Le lac »de : Alphonse De Lamartine. « Soleil couchant »de Victor Hugo. -La valeur des temps verbaux dans le récit. - La phrase complexe : La subordonnée relative. Capacités -Dégager les procédés de la tonalité pathétique. -Assimiler les caractéristiques de la poésie romantique. Langue Activité

bonheur mais ne les trouve pas dans la société. Il se réfugie alors dans la nature et y trouve même Dieu. Ce qu’il chante correspond à un besoin profond et éternel de l’âme humaine. Le lyrisme romantique peut être défini comme « l’expression passionnée et imagée des sentiments individuels sur des thèmes communs ». C’est ce que Lamartine écrit : la joie et la douleur, le doute ou la foi, l’amour … autant de sentiments de la nature humaine. Il souffre, se résigne, il croit, il espère.  À

des anciens horaires ! Que la mémoire est difficile ! Et sans un plan sous les yeux vous ne nous comprendrez plus car tout ceci n’est que jeu et l’oubli d’un temps perdu. (Raymond Queneau, Saint-Glinglin, 1948) Séances 1 et 2 : Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, 1831 (le Paris de 1482)1 Préface Il y a quelques années qu’en visitant, ou, pour mieux dire, en furetant Notre-Dame, l’auteur de ce livre trouva, dans un recoin obscur de l’une des tours, ce mot gravé à la main sur le

La Legende des Siecles Victor Hugo La Legende des Siecles Table of Contents La Legende des Siecles ........................................................................................................................................1 Victor Hugo.............................................................................................................................................1 GENERAL PREFACE.....................................................................................

tout autour d'eux se pose... Ils se croient endormis dans un paradis rose... Au foyer plein d'éclairs chante gaiement le feu... Par la fenêtre on voit là-bas un beau ciel bleu ; La nature s'éveille et de rayons s'enivre... La terre, demie-nue, heureuse de revivre,  A des frissons de joie aux baisers du soleil... Et dans le vieux logis tout est tiède et vermeil : Les sombres vêtements ne jonchent plus la terre, La bise sous le seuil a fini par se taire... On dirait qu'une fée a passé dans

Victor HUGO (France) (1802-1885) Né à Besançon, le 26 février 1802, il fut élevé à Paris, loin de son père, Léopold-Sigisbert qui, issu d'une lignée de cultivateurs et d'artisans lorrains, était officier dans l’armée napoléonienne où il allait s'élever par degrés au grade de général. La gloire militaire, avec ses accents d'épopée sous l'Empire, marqua son enfance. Sa mère, d'origine vendéenne et d'esprit voltairien, unissait à un déisme émancipé des convictions royalistes. La « blonde enfance»

saturniens : en soulignant son affiliation étroite à la sphère de la mélancolie moderne, il met également en lumière les enjeux et les valeurs du poème, conçu comme élaboration formelle, mode spécifique du dire, foyer d’énonciation lyrique. Par sa nature rhématique, le titre invite ainsi à explorer en profondeur un appareil poétique dont les constituants majeurs ne manquent pas d’être désignés et parfois même thématisés. Sur une toile de fond métapoétique, le recueil s’ordonne dès lors en une

132 = 66 x 2 : nombre doublement diabolique) organisés en 6 parties : « Spleen et Idéal » : 85 poèmes (moins 3 des 6 poèmes supprimés, moins des poèmes déplacés, comme « Le Soleil », plus de nouveaux poèmes, comme « Duellum »)« Tableaux parisiens » : 18 poèmes (dont 8 figuraient en 1857 dans « Spleen et Idéal » : « Le Soleil », « Le Jeu », « Brumes et pluies », « Le Crépuscule du matin », « La Servante au grand cœur dont vous étiez jalouse », « Je n’ai pas oublié, voisine de la ville », « Le Revenant »

les ombres myrteux je prendrai mon repos : Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. ELLE ETAIT DECHAUSSEE (Victor Hugo, Les Contemplations, 1856) Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard

Enfin le poème « L’isolement » de Lamartine est très représentatif du thème de la solitude, par son titre d’une part qui est évidemment très explicite mais aussi par le contenu de ce poème. Au début nous avons le poète seul, qui contemple la nature. Mais au fil du poème, il insiste sur son désespoir et rejoint le poème de Baudelaire où des idées de mort apparaissent. Lamartine nous montre alors un homme qui n’a plus d’intérêt pour cette terre, qui veut mourir. Il exprime son désintérêt pour