Soleils Couchants Hugo

roseau qui soupire,  Que les parfums légers de ton air embaumé,  Que tout ce qu’on entend, l’on voit et l’on respire,  Tout dise : « Ils ont aimé ! » L’Ennemi Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage,  Traversé çà et là par de brillants soleils ;  Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,  Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.  Voilà que j’ai touché l’automne des idées,  Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux  Pour rassembler à neuf les terres inondées

un homme et Le dormeur du val.» Dans la deuxième partie j'ai décidé de traiter le problème de racisme autour de trois poèmes qui sont «L’homme de couleur, le sang rouge et Celui qui a tout perdu.» L'anthologie se termine par Mélancholia de Victor Hugo, qui n'est classé dans aucune des deux parties car ils ne se rattache pas au deux sujets cités. J'ai tout de même choisi de vous le présenter car c'est un thème qui me tiens à cœur parce que c'est encore un problème d'actualité dans les pays en voie

poètes sont habités par un passé idéaliste, ils se plaignent sans cesse de ne pas avoir vécu à la glorieuse époque précédente : celle de la révolution et de l’empire. Ensuite le thème de la nuit permet à ces poètes révoltés comme Lamartine, Victor Hugo de s’évader, d’oublier ce présent, cette époque qui est sans aucun doute la chose qu’ils haïssent le plus au monde car comme nous pouvons le voir avec le dialogue avec la nature l’esprit des auteurs est tourmenté ce qui explique les orages ou autres

laissant aucune trace de son passage. Le cinquième poème est un nouveau poème de Baudelaire intitulé « Parfum Exotique » dans lequel il nous explique sa relation à l’amour à travers un voyage de sensations. Nous verrons ensuite le célèbre poème de Victor Hugo « demain dès l’Aube » qui est un voyage personnel effectué par l’auteur dans l’espoir de retrouver sa défunte fille. Ensuite nous avons un calligramme d’Apollinaire nommé « Voyage » invitant le lecteur à choisir son itinéraire de lecture, il décrit

Les tours de Notre-Dame, symbole de la liberté et du romantisme comme chez Victor Hugo, situent l’action à Paris. Leur orientation sur la rive gauche de la Seine est inexacte. Les maisons entre la cathédrale et la Seine sont imaginaires.  Les barricades, symboles du combat, différencient les niveaux du premier plan à droite. La cathédrale paraît loin et petite par rapport aux figures. La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée des canons. Révélant le mouvement baroque des corps, elle éclate

l'horizon aux collines brunies, Le soleil, cette fleur des splendeurs infinies, Se penchait sur la terre à l'heure du couchant ; Une humble marguerite, éclose au bord d'un champ, Sur un mur gris, croulant parmi l'avoine folle, Blanche épanouissait sa candide auréole ; Et la petite fleur, par-dessus le vieux mur, Regardait fixement, dans l'éternel azur, Le grand astre épanchant sa lumière immortelle. «Et, moi, j'ai des rayons aussi !» lui disait-elle. Victor Hugo XIXes ChansonLe printemps n'a point

Les tours de Notre-Dame, symbole de la liberté et du romantisme comme chez Victor Hugo, situent l’action à Paris. Leur orientation sur la rive gauche de la Seine est inexacte. Les maisons entre la cathédrale et la Seine sont imaginaires. Les barricades, symboles du combat, différencient les niveaux du premier plan à droite. La cathédrale paraît loin et petite par rapport aux figures. La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée des canons. Révélant le mouvement baroque des corps, elle éclate

Corneille 7. « Je disais l’autre jour… » de Marbeuf 8. «  la ballade des dames du temps jadis » de Villon 9. « Quand je suis vingt ou trente mois... » de Ronsard 10. « Le Pont Mirabeau » d’Apollinaire 11. « Soleils Couchants » de Hugo 12. « le Front Couvert » d’Eluard 13. « Adieux à la jeunesse » de Chateaubriand 14. « L'onde ne chante plus » de Régnier 15. « L'hiver qui vient » de Laforgue I) « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine Ainsi, toujours

Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles BAUDELAIRE   (1821-1867) L'invitation au voyage Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans,

XIX eme siècle » dans la première partie sur les poèmes romantiques , j'ai décidé d éliminé le poème « La mort du Loup » de Alfred de Vigny car il est trop descriptif et n'a pas des alexandrins réguliers . Les poèmes aussi de Victor Hugo «  l'Enfant » , « Soleil couchant » et « la tristesse d'Olympio » ne représente pas assez la nature , avec le coté refuge , seulement attacher aux sentiments . Enfin les poèmes « la Nuit de mai » et « la Nuit de décembre » de Alfred de Musset qui eux sont souvent trop