Solipsisme

partager son travail avec autrui, susciter l'intérêt et l'émotion, obligation de respecter des codes obligeants. Joli : plaît parce-que l'on s'y reconnaît. Beau : dérangé, on perçoit autrui (l'artiste), on est obligé à aller dans le sens de l'artiste. Solipsisme : attitude du sujet pour qui sa conscience propre est l'unique réalité, les autres consciences et le monde extérieur n'étant que des représentations. Dans la vie courante, tout le monde porte un masque, œuvre permet de percevoir l'intérieur de l'artiste

corps n’existent pas. Je me retrouve donc dans la capacité de dire « tu », « nous » « ils » etc.. Je ne peux plus que « je ». Or le « je » n’est pas seul au monde puisqu’il n’y a plus de miracle, donc plus d’univers. Cette position s’appelle le solipsisme (du lat. solus « seul » & ipse « soi même » ) Pour l’instant il existe encore des connaissances qui résistent à l’argument du rêve, c’est-à-dire des connaissances qui ne sont pas sensibles et qui ne s’appuient pas sur la réalité extérieure : par

Cette extériorité peut être quantitative (la différence s'oppose alors à l'identité : un homme est différent d'un autre homme) ou qualitative (lorsque deux êtres diffèrent par leur essence ou leur nature : un homme est différent d'une femme). Solipsisme : Appellation qui désigne ce qui semble être une conséquence d'idéalisme subjectif: celle qui conduirait le sujet pensant à n'affirmer aucune autre réalité que lui-même. Voir : Percevoir quelqu'un ou quelque chose par les yeux. Regarder :

Autrui Introduction 1 I. Le problème de la connaissance 2 A. Le problème du solipsisme 2 1. Le solipsisme 2 2. Autrui ne m’apparaît pas directement (Pascal) 2 3. Inférence et empathie (Descartes) 3 4. Logique des concepts mentaux (Strawson) 3 B. Autrui, médiateur indispensable pour accéder à soi-même 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance d’autrui (Hegel) 4 2. Autrui me permet de me connaître moi-même (Sartre) 4 3. Autrui est la condition

la nature humaine (pessimiste) et de négliger ses qualités. p.22 (l.5-18) autres critiques : -manque de solidarité humaine –considère l’homme comme isolé (communistes) car nous partons de la subjectivité pure (cogito). La subjectivité mène au solipsisme (=plus d’interaction avec l’extérieur) (l.19-29) chrétiens : critiquent la perte de valeurs morales s’il n’y a pas de Dieu, il n’y a rien. Il n’y a aucune morale, c’est l’anarchie la stricte gratuité p.23 (l.8-15) définition de l’existentialisme :

Conscience Psychologique: Perception de la vie « vie intérieure» et de l'environnement extérieur. Sujet: Être capable de dire ou de penser « je» et «moi». Objet: Chose existante mais incapable de dire ou de penser «je». Solipsisme: Quand le moi conscient se considère comme la seule réalité existante: ''L'univers existe pour pour que j'existe'' Méditation: Pure expression de la conscience comme « dialogue de l'âme avec elle-même» Scepticisme: Tout ce qu'on

temps, et surtout partie d’un égoïsme conscient (j’ai pitié de l’autre, car je m’imagine dans la même situation, et c’est cela qui me fait mal.). La pitié est davantage une compassion nourrie par la contagion des consciences, qui déborde le solipsisme, la solitude métaphysique héritée du cogito, pour participer littéralement à la douleur de l’autre. De même la sympathie est cette capacité à reconnaître dans l’autre un semblable qui ressent, qui pense, qui s’émeut tout comme moi. Le

c'est être perçu); donc la matière n'est qu'une perception de l'esprit, n'existe pas en dehors de lui, et la vérité des perceptions de l'esprit est garantie par Dieu. L'inconvénient de cette conception est que, si l'on croit en Dieu, elle conduit au solipsisme (existence solitaire de l'esprit) et au caractère illusoire de toute nos connaissances. Plus modestement, on peut objecter que nous connaissons des corps et des objets particuliers, jamais la matière en générale. e fait, même les sciences "de la

l’expérience. Se qui s’offre a la perception. Le sujet «je « de la cs # réalité empirique. Déf. Substance : pour Descartes être une substance c’est d’avoir pas besoin d’autre chose que de soi-même pour exister. Idée de substance, idée de cs. Le solipsisme : je peux me construire par moi-même pour me constituer comme un Sujet.

- hyperbolique (élargie au maximum) - métaphysique (approfondi au maximum) Doute sceptique : est une fin (opposé au doute cartésien). Solipsisme cartésien : situation d'extrême solitude du cogito. Solitude physique et métaphysique. Il ne reste plus que l'objet comme objet de pensée. Réel (le) : Il agit comme miroir de l'homme. Quand le sujet agit, il modifie le réel en