Sommes Nous Ce Que Nous Pensons être

se trouver dans l'embarras du choix et choisir quelque chose sans être sûr que ce sera la meilleure option, c'est cela être confus. Et ce sentiment nous agace souvent car nous n'arrivons pas à savoir ce que nous voulons, ce que nous cherchons. Le sujet parle également de buts ; ce sont ceux que nous avons dans la vie et qui sont propres à chaque être humain. Cependant nos buts ont tous une direction commune, celle de parvenir à être heureux, comblé, d'être satisfait de notre vie, d'avoir trouvé le

nature il se doit de se forger sa propre discipline et que seul l’instruction nous conduit à la liberté, donc nous pouvons dire que selon les points de vue soit nous naissons libre soit nous le devenons, la question serait alors à partir de quel moment sommes-nous libre ? Pour répondre à cette question nous étudierons premièrement que l’on ne naît pas libre mais que nous le devenons, c'est-à-dire qu’il est impossible de naître libre ,il n’y pas plus dépendant qu’un nourrisson et qu’en effet comme

dernière solution chez l'homme ou la femme est l'adoption;nous pensons que c'est la meilleure solution car il n'y a aucun risque . Les dons de gamètes: Aspect medical: L’utilisation de gamètes ou d'embryons de donneurs est limitée en France à des raisons médicales: Lorsque les ovaires de la femme ne contiennent pas d’ovocyte ou lorsque les testicules ne produisent pas de spermatozoïdes et donc que les techniques d’AMP ne peuvent être réalisées avec les gamètes du couple. Dans ces cas, la seule

à vivre ? Apprendre à vivre. Vivre et supposer l’existence. Mais, qu’est-ce que vivre ? Ce n’est pas respirer, s’alimenter, non. L’Homme vit parce qu’il existe, il existe parce qu’il est, et il est car, par sa volonté il est ce qu’il veut être. Pourtant, peut-on réellement prétendre accéder au sens de la vie ? Et par le fait, peut-on réellement prétendre enseigner la vie, alors qu’on en ignore jusqu’au sens ? « Pourquoi achètes-tu ce paquet de Barilla ? Mais pour manger bien sûr ! Mais

manque on été satisfait. Bien souvent alors que nous devrions être heureux, nous nous ennuyons. Une vie de complète satisfaction serait ennuyeuse. Ennuie : l'état lorsque l'on n'a pas de désir / état d'absence du désir ce qui signifie que l'absence du désir n'est pas le bonheur ! ==> cela révèle que le pire manque que l'on peut avoir est le manque de désir Quel est l'objet du désir ? L'objet du désir pourrait être la satisfaction , Tout ce passe comme si l'objet de notre désir

peine?? Nous pensons que le redoublement d´une 4éme dans les condition actuelles n´est pas à conseiller. L´effort mis en place cette année n´a pas encore donné ses fruits et nous pensons que cette décision , vu le caractère de notre fils, ne servira pas pour l´ encourager à continuer ses efforts. S´il est admis par la Commission d´Appel en troisième , nous pensons qu´Alvaro réagira favorablement car il est plus sensible aux encouragement qu´aux reproches et nous sommes sûrs que la prochaine

à toutes ces personnes âgées qui passeront seules et peut-être même malades ces fêtes de Noel et de Nouvel An.Pensons à ces familles détruites par la pauvreté pour qui il est impossible de payer un festin digne de Noel .Ou encore à ces personnes ,exclues de la socitété, qui passeront à nouveau des nuits d'hiver dehors au lieu de les passer dans un foyer chaud et convivial. -Nous avons remarqué aussi que c'est nous les jeunes qui sommes de plus en plus touchés par la précarité.En effet, combien

constamment. J’admets que certains jeunes sont la cause de ces problèmes mais le reste cherche à les résoudre. De plus notre jeunesse est une jeunesse qui se révolte, qui travaille. Nous sommes jeunes, nous pensons que le monde est ouvert, grand, beau, nous avons un regard émerveillé sur ce qui nous entoure. Nous pensons que tout nous concerne, que nous pouvons laisser une empreinte. Nous avons de l’espoir ! Tout nous interpelle ! Les faits qui nous enragent nous donnent envie de les changer. Cette façon

le dernier, l’inévitable moment vient enfin nous presser : et cette vie que nous n’avions pas vue marcher, nous sentons qu’elle, est passée. Voilà la vérité : nous n’avons point reçu une vie courte, c’est nous qui l’avons rendue telle : nous ne sommes pas indigents, mais prodigues. D’immenses, de royales richesses, échues à un maître vicieux, sont dissipées en un instant, tandis qu’une fortune modique, confiée à un gardien économe s’accroît par l’usage qu’il en fait : ainsi notre vie a beaucoup

se connaître soi même ? Et pourquoi mettre en place ce paradoxe ? Il est vrai que si nous y pensons à deux fois, si nous y réfléchissons, nous pouvons nous apercevoir que nous avons des opinions sur nous mêmes. Par exemple nous nous croyons courageux et lorsque la vie nous met face au danger : nous fuyons. Nous sommes peureux. Il peut y avoir une contradiction entre ce que nous pensons que nous sommes et nos actions. Se connaître soi même est difficile. Mais lorsqu’il arrive que nous soyons confirmés