Sommes Nous Libre Ou Le Devenons Nous

quotidien est de plus en plus envahi par les objets techniques, ces derniers s’ils nous facilitent la vie, peuvent aussi contribuer à notre aliénation car nous devenons de plus en plus dépendants de leur présence. En effet grâce au progrès technique, nous sommes devenus plus libres face aux exigences et aux contingences de la nature, nous ne sommes plus soumis de manière aussi totale à ses caprices imprévisibles. Cependant si les premières techniques (la révolution néolithique, la maîtrise de la métallurgie

conscience est apparue chez l’homme, le doute est né. A partir de ce point, les philosophes et scientifiques se sont posés certaines questions sur l’Univers comme par exemple : La Terre est-t-elle ronde ? La Terre est-t-elle au centre de l’univers ? Que devenons-nous après la mort ? A chacun sa réponse et à chacun de croire ou non en ces réponses. Ainsi, on a pu distinguer le doute et la certitude. De plus, il s’est formé une opposition entre les scientifiques et l’Eglise, qui remettait en cause toutes les

jugement d’autrui causé par la honte, nous devenons un « objet ». Je suis donc objectivé par le regard de l’autre, on me colle une sorte d’étiquette par la présence de quelqu’un d’autre. Nous pouvons affirmer que nous avons tout de même besoin des autres pour se construire et se comprendre soi-même. Les qualités et les défauts d’une personne sont révélés que par les autres et pas forcément par nous-même à travers un miroir. Nous pouvons conclure que nous ne sommes rien sans les autres. On ne naît pas Homme

librement, lorsque nous faisons ce que nous voulons : nous sommes devant une situation, nous jugeons de ce que nous pouvons faire (tout n'est pas possible : je ne peux pas courir à la vitesse d'un TGV…) et en fonction de ce pouvoir, nous choisissons et nous agissons. Ainsi se décompose l'auto-détermination. Telle est la liberté d'agir. Du moins, avons-nous le sentiment d'être libre… Nous ne pouvons pas prouver que nous sommes libres, mais nous en avons le sentiment, c’est pour nous une

Pour autant on ne dit pas dans le rituel « tu es maçon de la loge ». Je vois plusieurs explications à cela ; d'abord pour être maçon il faut respecter les principes fondamentaux de notre ordre. Il faut être assidu, il faut payer sa capitation, être libre et de bonnes mœurs. C'est un statut conditionnel pas un titre honorifique et la montée en grade soumise à un examen de passage.D'autres parts le travail n'est jamais fini, il s'agit bien d'un perfectionnement permanent pas d'une quête égotique, qui

nous songeons à des conflits de grande envergure, généralement violents, qui nous dépassent et que nous ne comprenons pas (par exemple un conflit international débouchant sur une guerre entre plusieurs pays). Or, dès notre plus jeune âge, nous sommes confrontés à des conflits qui nous touchent dans notre vie quotidienne. L’enfant de trois ans, qui dans le bac à sable s’empare de la pelle de son petit voisin et refuse de la lui rendre crée un conflit. A l’école, quand des « clans » se créent

facile de faire son devoir que de le connaître » Ainsi, le devoir fait partie des valeurs impliquant un dépaysement de soi-même. MTCF, ce Devoir nous l’avons bien compris, il sera inflexible comme la Fatalité, mais les initiés que nous sommes, sommes-nous vraiment condamnés à la Fatalité ou grâce à l’initiation saurions-nous conduire notre destin ? Notre destin nous ne le connaissons pas, mais nous serons peut-être un jour amenés à aller jusqu’au sacrifice pour accomplir notre Devoir. Cette

Qu’est-ce que l’homme peut faire de lui-même ? S’il est libre, n’a-t-il pas la possibilité de choisir entre la barbarie, le mal absolu ou la construction, difficile mais belle de son humanité ? Conclusion : Nous avons pu observer que l’homme s’est construit une double négation de la nature car la nature a disparu à l’extérieur de l’homme et à l’intérieur de l’homme. Puis que la culture fait office de dénaturation positive et enfin nous nous sommes questionnés avec la phrase de Rousseau « L’homme qui

pas choisir est encore un choix ! Nous l’avons compris : la conscience n’est pas une donnée ; c’est une tâche, la nôtre dans le monde. Elle conduit à la conquête de la liberté grâce à laquelle nous devenons ce que nous sommes, sans lâcheté ni mauvaise foi. L’existentialisme qui affirme que « nous sommes condamnés à être libres » (Sartre) est un hymne à la transcendance : l’homme est obligé de se dépasser, de réagir à une situation contraignante ; il doit orienter son avenir, s’élancer vers le monde

- PLANCHE- bm Le déterminisme génétique et la liberté de choix Est-ce que nous sommes libres de choisir ou de créer notre comportement (ce qui suppose un libre arbitre) ? Ou est-ce que nos comportements sont dictés par les lois de la nature (c’est le déterminisme) ? Tous les êtres vivants possèdent de l’ADN, c’est le support de l’information génétique qui différencie chaque humain. L’homme n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. Ou tel que la