Sommes Nous Libre Ou Le Devenons Nous

Annexes : 9 Méthodologie 9 I- Choix du sujet 9 II- La problématique et les recherches 9 III- L’entretien 9 Choix du suport 10 Interview 10 Introduction Apres avoir étudié la distribution durant deux semestres, nous nous sommes interrogés sur une technologie en pleine expansion, la RFID. Les nouvelles technologies et plus particulièrement les RFID sont en train de modifier le paysage de la distribution. Ces derniers temps tous les français ont été témoins de l’apparition

avancer le fait qu’effectivement toutes les opinions se valent, car elles sont toutes équivalentes puisqu’elles sont toutes incertaines. Affirmer que toutes les opinions se valent, c'est aussi dire qu'aucune n'est préférable à une autre. Pourtant, nous sommes sans cesse amenés à faire des choix. Et faire un choix, c'est privilégier une opinion au détriment des autres, c'est accorder à l'opinion choisie plus de valeur qu'à celles que nous avons exclues. Les opinions n'ont donc pas toutes à nos yeux la même

l’humanité. Un de ces questions agite les esprits il y a déjà très longtemps; est-ce que l’homme est un être libre dans sa nature? Cette question nous intéresse parce qu’il est lié directement à la question du bonheur. Bien sûr, seule la liberté ne permet pas atteindre le bonheur, mais un prisonnier n’est certainement pas heureux. C’est pourquoi nous voulons tant apprendre si l’on est libre ou non. Dans le texte qui suit, on va tenter de répondre à cette question importante à l’aide de deux

ne nous disons pas « J’ai conscience de voir un arbre ». Nous nous contentons de sentir, de percevoir le monde, de vivre sans y réfléchir. L’Homme n’est pas toujours conscient et accompagné de savoir. Si, nous sommes conscients, car nous pouvons nous demander « Où suis-je ». Nous sommes donc conscients au sens de la conscience spontanée qui accompagne toute notre vie. Nous pouvons toujours nous poser la question « Que suis-je en train de vivre » ? La conscience spontanée nous accompagne tout le

même quand elle semble le faire... Dans le monde relationnel, même les meilleures idées ne sont plus qu'idéologies... et causent des problèmes. Même quand ce qui est échangé est dérisoire, l'intégrité de l'autre y est quand même perturbée. II) Sommes nous déjà à l'ère de la communication? Aujourd'hui (et même depuis plus de 15 ans) il est de bon ton de parler de communication. Mais en y regardant de plus près, il y a beaucoup de confusion! La communication c'est autre chose que de la technologie

corps. Celui qui me définit par mon corps, par mes apparences, est finalement prisonnier de préjugés, car ce qui fait de moi un homme, ce n’est pas d’être grand, petit, noir, jaune ou blanc, c’est le fait de penser. Dans l’ordre des raisons, nous sommes avant tout une pensée, puis une âme, avant d’être un corps. Un renversement essentiel vient d’être opéré : il ne s’agit plus de régler notre connaissance sur l’extérieur mais de la faire reposer sur l’unité d’un sujet qui pense. Voilà accompli le

Chaque jour, plus de 200 000 fois sur notre petite terre, grain de poussière voguant dans l'espace silencieux et inachevé, le miracle se reproduit magique et terrifiant, de ces minuscules graines semées dans des ventres, qui viennent éclore à l'air libre, petits monstres fragiles qui deviendront victimes, esclaves, petits gavés, voyous, saints ou prédateurs. Ce processus fantastique et merveilleux, je l'observe chaque jour avec une gourmandise et une jubilation croissantes. Car, tout en se décomposant

à la vie. De plus « Le droit garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie »[1]. De faite, les libertés publiques se définissent comme les droits de l’homme intimement liés à sa liberté. On est libre dès notre naissance, car c’est à ce moment la que nous devenons une personne juridique. Cette convention explique aussi que l’homme ne doit ni être soumis à la torture ou peine de traitements inhumains ni d’être tenu en esclavage. Ces trois exemples sont ce qui représente les libertés

autres, nous devenons égoïstes et entravons la liberté des autres. Car oui, même la liberté a ses limites et une fois que nous dépassons sur celle des autres, nous sommes allés trop loin.En effet, une erreur assez répandue mondialement est que la liberté est la toute-puissance de la volonté, autrement dit, faire ce que l’on veut. Ce qui peut amener à bien des méfaits.Si l’on y réfléchit plus longuement, on peut se rendre compte que la liberté n’est rien d’autre que l’action d’être libre d’agir conformément

qu’elle prodiguera tout au long du repas au père Bru. Las ! pour le lecteur attentif, il saura que ce point précis est annonciateur de la place qu’il libèrera sous la cage d’escalier et qu’elle utilisera à son tour en fin de vie. Très vite, nous sommes conduits à penser que « est-ce que l’oie avait jamais fait du mal à quelqu’un ? » est la métaphore pour Gervaise. Cette phrase, proférée par son ancienne rivale Virginie, lors de la scène mémorable du lavoir où l’ouvrière a reçu une raclée de Gervaise