Sommes Nous Prisonniers De Nos Croyances

fascistes sont persuadées que les droits de la personne peuvent être ignorés dans certain cas, par nécessité. Les gens ont tendance à regarder ailleurs ou même à approuver la torture, les exécutions, les assassinats, les longues incarcérations de prisonniers, ect. Tout comme dans V pour Vendetta, l’état à torturé, incarcéré pour utilisé plusieurs être humain innocent afin de faire des tests pour un projet en arme biologique qui a fait des morts et des morts et dont V à été victime. De plus, l’État n’hésite

vaste sentiment de puissance et, comme dirais-je, d’achèvement, qui dilatait mon cœur. » (p. 42). Nous pouvons noter que Clamence parle d’Amsterdam comme une ville au cœur des choses. Il dit ceci : « *…+ cette ville est au cœur des choses ! Car nous sommes au cœur des choses »(p. 18). Amsterdam serait alors le centre de tout ce que l’on recherche, et ce serait ici, dans ce leu, que les réponses à toutes les questions se trouveraient ! Aussi, lorsqu’on lit au fur et à mesure, nous comprenons que cette

collective Concernant le chapitre Participation : c’est un défaut de répéter le mot «  participation » Concernant les droits créance : c’est ce que le citoyen est en droit d’exiger de l’Etat . ce sont des droits d’exigences. Culturellement nous sommes en France encore dans l’héritage du 1789 qui consiste à l’affirmation du « moi » «  exigence des droits » en donnant le moins possible. C’est le thème de la redistribution. C’est une redistribution sociale et non privée car elle passe obligatoirement

la société. Il apprend à jouer des rôles. → identité pas donnée d'entrée, elle se crée à travers la reconnaissance sociale. L'identité ne se maintient que dans un contexte social dans lequel les autres ns reconnaissent comme tel Ex: qn devenant prisonnier: sans personne autour de lui pour lui rappeler son ancienne identité, il lui sera presque impossible de la maintenir dans sa propre conscience. → Identité livrée avec le comportement et le comportement est produit en réaction à des situations sociales

penser au monde des ombres dans lequel vivent les prisonniers de la caverne décrite par Platon au livre VII de sa République. Sans la science, les données des sens ne sont en effet que des apparences de la réalité, des manifestations subjectives, particulières et changeantes. Toutefois ces « redoutables ombres » peuvent aussi être les opinions, c’est-à-dire des idées auxquelles on adhère sans y avoir beaucoup réfléchi, des préjugés ou des croyances. Mais elles peuvent être encore les théories scientifiques

sur les citoyens mais il essaie de comprendre leur opinion. Il pose des questions afin de voir si ce qui est dit est vrai. Si la personne est cohérente, elle soutient ce qu’elle affirme. Socrate amène ainsi les gens à réfléchir sur leurs propres croyances et remettre en question ce qu’ils affirmaient sans s’être jamais demandé pourquoi. Socrate justifie sa démarche par le temps. Platon l’exprime dans « Apologie de Socrate ». A l’origine, Socrate aurait vu un oracle, cause de sa démarche, Socrate

ma conscience ne veut pas dire qu’elle me contraint. Cf. Texte Rousseau + commentaire Ferry (Apprendre à vivre, 124 sqq.) 1) L’instinct animal et la liberté humaine a) L’instinct animal = code intangible, « logiciel » => l’animal est prisonnier de son « programme ». b) La liberté humaine = le pouvoir de s’écarter de toutes les règles ; indétermination. • à son avantage : - il peut se nourrir de tout (16) ; - il peut créer une culture qui s’oppose à la nature, comme la culture

les croyances hébraïques, islamiques, chrétiennes il est le MAL, être de feu qui règne dans l'Enfer et s'oppose à Dieu, au Bien, revient tenter les hommes et essayer de s'emparer d'eux. b) Sa naissance dans l'univers judéo-chrétien : Au cours des siècles Satan sera présent essentiellement dans le monde chrétien qui en donnera une image d'abord un peu floue et pas forcément terrifiante puis arrivera la crainte puis une terreur collective du 15è siècle au 17è siècle. Ensuite la croyance en Satan

nous n’en disposerions pas b : la culture, en un premier sens, relève de ces acquis, et se distingue donc très nettement de ce qui est vraiment naturel. Nous ne sommes donc pas cultivés par nos dons, qui, au sens strict du terme, correspondent à ce qui nous est donné génétiquement par la nature, mais par ces acquis que nous nous sommes efforcés d’assimiler. c : La culture est donc, conformément à cette première approche, très nettement du côté de l’éducation. Elle s’oppose à la transmission héréditaire

témoin de la décomposition des corps qui véhicule les miasmes responsables des maladies. Les épidémies de peste qui frappent l’Europe pendant tout le moyen âge avec leur cortège de victimes dans un contexte ou l’hygiène est absente vont ancrer la croyance que l’odeur « pestilentielle » émanant des malades est la cause de la pathologie. On parlait à l’époque de corruption meurtrière de l’air. Les traitements consistaient en des fumigations aromatiques de toutes natures, afin de débarrasser l’air des