Sommes Nous Prisonniers Des Préjugés De Notre Culture

nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. » Pascal, Pensées. D’autre part, cette pensée comprend, toujours selon la définition cartésienne, « tout ce qui est tellement en nous que nous en sommes immédiatement connaissants.» Cela signifie que la pensée n’est rien autre chose que la conscience que l’homme prend de lui-même, autrement dit la conscience de soi. En effet, il n’est de pensée véritable que consciente d’elle-même. Sans ce retour

à répudier toutes les manifestations culturelles et les comportements éloignés de ceux auxquels nous nous identifions. Claude Lévi-Strauss précise que cette attitude de rejet est ancrée au plus profond de nous et réapparaît chaque fois que nous sommes placés dans des situations dérangeantes de perte de repères. Cette attitude individuelle est de tout temps et Lévi- Strauss souligne qu’elle a eu des traductions historiques dramatiques : Pour l’antiquité grecque, tout ce qui n’est pas grec

condition est métaphoriquement celle d’un prisonnier d’une caverne. Dans ce temps (mais les hommes peuvent fort bien en rester là), nous tenons pour vrai, pour normal, ce dont nous avons l’habitude et qu’on nous a toujours répété. Et nous en parlons entre nous, nous échangeons nos opinions, nous émettons constamment des avis sur la base de ces conversations, des sensations immédiates de notre corps, des certitudes ou évidences immédiates dont nous ne sommes pas en mesure, le plus souvent, de questionner

pour atteindre un point plus haut grâce à l’éducation. On retrouve une notion de « culture agricole » tout simplement : on grandit, on élève, on cultive telle une plante afin qu’elle grandisse. Cicéron a écrit : « Un champ, si fertile soit-il, ne peut-être productif sans culture, et c’est la même chose pour l’âme sans l’enseignement ». On peut parler d’analogie ( égalité de rapports. - Exemples : ½ = 3/6 ou champ/culture = âme/enseignement (Faire croître) L’emploi du mot « maître » : L’éducation relève

Aristote, un philosophe est une personne qui s’étonne de la vie, et surtout qui admet son ignorance pour ensuite comprendre pourquoi ce qui l’étonne, l’étonne. S’étonner est une source de progrès d’où son importance. En effet, c’est lorsque nous sommes enfants que nous nous étonnons le plus. Nous découvrons le monde, qui adulte n’est plus qu’une simple banalité. Par le biais de l’éducation les enfants n’apprennent quasiment que ce qui est essentiel à la vie, ce que l’on appelle le savoir utilitaire

Diomar Emilie 716 Devoir de philosophie 1) Dans son texte Bertrand Russel nous montre la valeur de la philosophie. Il nous fait comprendre que sans philosophie, l'être humain restera prisonnier des préjugés des autres sans même réfléchir. La philosophie peut rendre complexe même les choses s les plus ordinaire de la vie, Russel nous dit qu'il faut y réfléchir et non pas rejeté ses réflexions avec mépris. La philosophie ce repose sur son incertitude et non

siècle. Employé au singulier, il permet d’opposer le civilisé au barbare. En quoi le fait d’évoquer la vie des peuples « barbares » nous amène-t-il à réfléchir sur nous, peuples « civilisés » ? Par conséquent, dans quelles mesures les récits des cultures étrangères nous font réagir sur notre propre civilisation ? Existe-il des limites sur la remise en question de l’humanité liée aux rencontres avec le sauvage ? Nous montrerons dans un premier temps les conséquences de la rencontre avec d’autres peuples

sont rapportés par son élève Platon. Platon nous apprends que nous sommes des prisonniers, d’une demeure obscure, close et souterraine : la caverne. La caverne est la métaphore de l’ignorance, de la servitude. Elle symbolise l’aliénation de l’esprit qui fait prendre pour vérité ce qui n’est que de la croyance. Dans cette allégorie, Platon nous donne une certaine idée de la philosophie, elle se veut ici libératrice (pour le prisonnier). Pratiquer la philosophie, c’est accorder à la connaissance de ce

l'homme sur le monde dans lequel il vit . Autre exemple, si l'homme autrefois ne s'était pas étonné il n'y aurait pas eu de développement de culture or la culture est l'un des outils qui séparent l'homme de l'animal, et donc qui est strictement nécessaire dans la vie. Ainsi l'étonnement est nécessaire et propre à l'homme, afin de développer les connaissances, la culture, le monde . Justement les connaissances d'aujourd'hui mènent par exemple à l'évolution technologique qui change complètement le monde et

de prix. J-P Sartre a toujours été pour cette liberté, a lutté contre les préjugés, les clichés, les stéréotypes.. Pour lui, l’homme est condamné à être libre et ce n’est pas facile puisque ça implique que nous sommes responsables de notre vie, et pour Sartre de manière plus générale, responsables de l’humanité toute entière. Par exemple se marier, faire partie d’un syndicat.. tous ces choix sont importants et nous en sommes responsables. Pourquoi ? Car nos choix peuvent avoir une incidence sur les