Sommes Nous Toujours Conscients

pensée, il existe d’autres types de contraintes à la liberté de la pensée : l’endoctrinement, la manipulation, l’éducation même sont autant de marques de l’influence d’autrui sur nos pensées. Est-il donc si facile de penser librement ? N’est-ce pas toujours prendre un risque ? Quels sont au juste ces obstacles qui nous empêchent de penser librement, puisqu’ils ne sont pas de nature physique, et comment les surmonter ? En somme, toute la question consiste à se demander ce qu'est une pensée libre, et

encore fait l'objet d'une élaboration psychanalytique et que je suis obligé de m'occuper de certaines théories qui ont été formulées par des auteurs nonpsychnalystes, ou par des psychanalystes ayant rompu avec la psychanalyse. Tout en étant disposé à toujours reconnaître ce que je dois à d'autres travailleurs, je dois cependant déclarer que, dans le cas particulier, je ne me sens redevable à personne de quoi que ce soit. Sil est des questions dont la psychanalyse ne s'est pas encore occupée, il faut en

D'où le problème : chacun peut, semble t-il, s'acharner sur lui même ou faire preuve de mauvaise foi et cependant la chose est impensable. Comment peut-on en effet être victime d'une manipulation dont on est soi même l'auteur, comment ne pas être conscient d'une vérité qu'en même temps qu'on l'a connaît ? I. Oui, on peut se mentir à soi même A. Tout préjugé relève du mensonge à soi Le mensonge à soi est présenter deux formes : soit on fait passer pour vrai ce que l'on sait être faux

capacités qui lui ont permis de façonner le monde qui l'entoure et de le dominer. La capacité de raisonnement conscient et de pensée abstraite nous permet de comprendre le monde d'une manière qui dépasse les capacités de toute autre espèce. Les humains possèdent également une capacité inégalée de communication et d'échange de connaissances, permettant à notre société de progresser à un niveau toujours plus élevé. Nous avons créé des outils et adapté notre environnement pour mieux répondre à nos besoins

pour le dire autrement, écarter la question des faits au profit de celle de leurs interprétations. D’autre part, et par un contraste avec la vérité qui est unique, la découverte qu’il y a toujours pluralité de significations (conscientes et inconscientes, manifestes et latentes, apparentes et cachées) et donc toujours risque d’un « conflit des interprétations ». Paradoxalement, le surréalisme largement influencé par les découvertes de Freud débouchera après la seconde guerre mondiale sur la littérature

conscience ,son pouvoir et sa porté sont préservé on ne sait que faiblement sur un mode conscients pour arrivé a une plaine conscience il insiste sur 2 occurrence sur le fait qu’il soit pleinement possible de prendre conscience. Il pousse ainsi à se poser des questions plus globales sur la possibilité de nous penser comme des êtres conscients .Dans se texte Schopenhauer cherche a démontre que l’on sent toujours ce que l’on désire,sans le connaître d’abord, bien que cette connaissance soit possible

la liberté de penser n’a pas vraiment de limite, sachant qu’elle est déterminée par celui qui pense. Les capacités à le faire sont donc les mêmes pour chacun normalement, et selon Descartes, la volonté serait infinie, contrairement aux facultés. Sommes nous si peu maîtres de notre conscience que nous aurions besoin de nous imposer une éthique mentale? D'accord on ne dit pas la plus part de ses pensées en public, mais pouquoi donc s'empècher de les penser? Car penser ne veut pas forcément dire agir

mensonge est l'intermédiaire entre l'erreur et la vérité. Il est définit à la fois par le vrai et par le faux. se mentir à soi-même équivaut à mentir à son être conscient, le soi. Le verbe pouvoir exprime la possibilité. Répondre à ce sujet équivaut à répondre à la question suivante : l'homme a t-il la possibilité de prouver le faux à son soi conscient alors que ce dernier a déjà discerné le vrai ? Nous allons donc essayer de voir dans un premier temps quelques arguments qui nous permettrai de formuler la

nous sommes plongés dans le devenir, tout ce qui est autour de nous s'écoule de la même façon que notre existence : « Nous ne pouvons descendre deux fois dans le même fleuve. » Nous ne sommes donc jamais les mêmes : « je » n'étais pas le même à cinq ans qu'à vingt ans... Il s'avère donc que ce « Je » peut très bien se référer à des personnes différentes selon le moment où il est prononcé. Pourtant, même si « je » peut changer en fonction du moment où il est employé, « Je » désigne toujours la même

t-elle pas d'influence sur ce que nous sommes? Le sujet se fait-il lui-même comme le prétend Sartre? (II. Liberté ou déterminisme?) D'autre part, nous pouvons nous demander si la conscience permet au sujet de se connaître vraiment lui-même. Qui parle alors quand je dis « je »? (III. L’inconscient) I. La conscience, fondement de la liberté du sujet 1. Qu'est-ce que la conscience? Conscient Inconscient - Lumière - Savoir - Lucidité