Sonnerie Decole

pour caresser les globes doux et fermes de ses seins adorables. Nous ondulons ensemble – un rythme parfait, c’est comme si nous étions faits l’un pour l’autre. Je suis si près, si près… Oh, bon Dieu ! *** Ce moment magnifique est interrompu par une sonnerie stridente et répétitive. C’est quoi ce bordel ? Ah… mon réveil vient de se déclencher. Quand je me réveille, je suis seul dans mon lit. Seul et… merde ! Tout collant. Après un putain de rêve érotique ? Je n’arrive pas à y croire. Bordel, je n’ai

Méthode expérimentale Méthodes comportementales conditionnement répondant (Pavlov) conditionnement opérant (Skinner) apprentissage social. Conditionnement répondant : on éduque un chien à saliver avec de la viande et une sonnerie. Au bout d’un moment il salive même avec la sonnerie seule. Méthodes des tests psychologiques. Test mental : situation expérimentale standardisée servant de stimulus à un comportement. Ce comportement est évalué par une comparaison statistique avec d’autres sujets placés

(«se libérer sexuellement») : «quand je vais me débarrer, y a pas personne dans l’État du Québec qui pourra dire qu’il a pas passé sur moi !» (page 242). - «décoller» («partir au plus vite») : «Quand c’est l’heure du lunch ou du coffee-break, on ramasse nos petits puis on décolle» (page 62) - «Si t’es pas venu ici pour avoir du fonne, décolle, laisse la place aux autres.» (page 63). - «de fou» («exagéré») : «des prix de fou» (page 19). - «dégêner» («mettre à l’aise») : page 139. - «de quoi» («quelque

Chapitre 2 – SP20 © Cned – Académie en ligne Ultrasons P h ysiq u e B Propagation des sons Chapitre 2 1. Nécessité d’un milieu matériel On fait l’expérience suivante : on place un réveil sous une cloche. Si on fait sonner le réveil, la sonnerie est entendue par une salle de classe. Lorsque l’on fait le vide dans la cloche, on n’entend plus le réveil sonner. La propagation de l’onde sonore nécessite un milieu matériel : gaz, liquide, solide. 2. Modification du milieu Dans l’air, nous entendons

une catastrophe. Je m’arrête devant une devanture de magasin et regarde à travers la vitre. Les chaussures en vitrine sont probablement très chères. Je ne devrais pas les regarder, et je ne parle même pas d’entrer dans la boutique. Heureusement, la sonnerie de mon téléphone m’empêche de tenter quelque chose d’aussi audacieux. — Dis-moi que tout va bien, réponds-je. — Tout va bien, réplique Owen. Au son de sa voix, j’ai l’impression de voir le sourire suffisant sur son visage. — Tu ne devrais pas être

faire attendre. — Tu es là depuis longtemps ? — Je n'en ai pas la moindre idée. Qu'est-ce que tu es jolie ! Assieds-toi. Elle sourit et regarde sa montre. — Je décolle dans une heure. — Je vais tout faire pour que tu le rates, pour que tu ne le prennes jamais ! — Alors je décolle d'ici dans deux minutes ! dit-elle en s'asseyant. — Bon, c'est promis, j'arrête. Je t'ai apporté quelque chose. Il dépose une pochette en plastique noir qu'il pousse vers

grossier comme un boucher, espèce de gros bœuf. - C'est toi qui a commencé, eh bêta. Et d'abord, tu me tutoies pas, ma p'tite biquette. - Bisque bisque rage, je bidonne qui je veux. Bois ça en bonus : bêche ton ventre, bûcheron. L'un des deux décolle une beigne à la veuve bourrée qui, elle-même lui décoche une baffe. Borg (ou Bill), après cet échange de bons procédés et d'amabilités, fait, arbitraire : - Vous êtes bien beurrée, nous prenons la môme en ballade (geste). Fais-moi une bise. - Arrêtez

années précédentes. Elle ralluma sa lampe de chevet et s’installa à sa table de travail. Elle saisit trois mouillettes qu’elle plongea dans autant de flacons et, jusque tard dans la nuit, elle recopia sur son cahier les notes qu’elle obtenait. * La sonnerie du réveil tira Alice de son sommeil, elle lança son oreiller pour le faire taire. Un soleil voilé par la brume matinale éclairait son visage. — Fichue verrière ! grommela-t-elle. Puis le souvenir d’un rendez-vous sur un quai de gare eut raison de

le téléphone. Mon estomac se tord. — Appelle Grey. Maintenant ! Je lui lance un regard noir et tire la carte de visite de Grey de ma poche. J'inspire profondément pour me calmer et compose son numéro les doigts tremblants. Il répond à la deuxième sonnerie. Sa voix est tranchante, calme et froide. — Grey. — Euh... monsieur Grey ? C'est Anastasia Steele. 26 Cinquante Nuances de Grey Je ne reconnais pas ma propre voix tant je suis nerveuse. Il y a un petit silence. Je tremble à l'intérieur. — Mademoiselle

sentie autant en communion avec un seul être humain de toute son existence. Elle souhaitait que ce moment ne s'arrête jamais. Elle prolongea l'étreinte avec urgence. Après quelques longues secondes, comme suspendues dans le temps, il finit par se décoller lentement, et prit quelques centimètres de recul pour observer la jeune femme. Ce qu'il lut dans son regard acheva de le rassurer. Alors contre toute attente, il se retourna et murmura simplement : -Je le savais. Bonne nuit Beckett. Et sur