Sonnet 14 Louise Labe

vision préexistante de l’homme mais à la construire ou à l’inventer. Comme l’écrit Jacques Leenhardt : « Cet homme n’est pas en avant, comme connu d’avance, il n’est pas encore avant que le roman ne soit écrit, mais il naît du processus même de création »14. Il était tentant – et juste – de rapprocher cette pratique littéraire des entreprises philosophiques de déconstruction de l’humanisme – de Michel Foucauld à Jacques Derrida. Mais le discours philosophique ne saurait se substituer à l’analyse littéraire

d’impliquer la cible dans le message.........................................................................13 2. Les registres de langue ....................................................................................................................14 D. LE RÔLE DE L’ÉNONCIATION DANS UN COMMUNIQUÉ DE PRESSE ...............................15 III. LA STYLISTIQUE..................................................................................................................... 18 A. LES FIGURES

Einbildungskraft des Dichters. Untersuchungen zu Gedichten von Brentano, Goethe und Keller. Verlag Artemis/Patmos, Düsseldorf 1963WEITERE 2 POULET Georges Etudes sur le temps humain, I,II,III,IV, Monaco, Editions du Rocher, 1976. 3 Saint Augustin, Confessions, XI, 14, 17, La Pléiade Gallimard, Paris, 1988, page 743 Au XXème siècle, le temps devient même le sujet du roman : il suffit de penser à Marcel Proust et à sa longue Recherche du Temps perdu, ou à La Montagne Magique de Thomas Mann, un Zeitroman dont la