Sonnet 25 Du Bellay

paragraphe propose une image négative (péjorative) de la nature qui est décrite comme un lieu horrible. Les mots que tu devais souligner en vert sont : « brûler » (l. 23), « poussière » (l. 23), « nue » (l. 25), « sale » (l. 25), « puante » (l. 25), « lèpre » (l. 25), « ravagée » (l. 25), « rongeait » (l. 26), « squelettes » (l. 26), « défoncés » (l. 26), « abandonnés » (l. 26) et « inachevées » (l. 27). b) Dans ce paragraphe, le paysage et les personnages sont décrits du point de vue du

réalité. Comment analyser l'oeuvre gigantesque d'un Hugo : uniquement par son appartenance au romantisme ? À quelle école appartiendrait Baudelaire ? Un mouvement littéraire et culturel, français et européen Entre une statue et un tableau, entre un sonnet et une amphore, entre une cathédrale et une symphonie, jusqu'où peuvent aller les ressemblances, les affinités, les lois communes ; et quelles sont aussi les différences qu'on pourrait appeler congénitales ? Tel est notre problème. Étienne Souriau

rêvé de toi » in « A la mystérieuse », Corps et Biens - Eluard, « La dame de carreau », Les Dessous d’une vie - Roy, « Tant », Le Voyage d’automne HACHETTE Annales Bac 2007 HATIER Annabac 2006 Poèmes d’amour (L – juin 2009) - Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène - Musset, « A George Sand », Poésies posthumes - Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles - Desnos, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens NATHAN Annales 2010 Verlaine (corpus 5, p. 318) - Verlaine,

rêvé de toi » in « A la mystérieuse », Corps et Biens - Eluard, « La dame de carreau », Les Dessous d’une vie - Roy, « Tant », Le Voyage d’automne HACHETTE Annales Bac 2007 HATIER Annabac 2006 Poèmes d’amour (L – juin 2009) - Ronsard, « Madrigal », Sonnets pour Hélène - Musset, « A George Sand », Poésies posthumes - Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles - Desnos, « Non, l’amour n’est pas mort », Corps et Biens NATHAN Annales 2010 Verlaine (corpus 5, p. 318) - Verlaine,

économiques: Montaigne: « On ne se marie pas pour soi: on se marie autant ou plus pour sa postérité » Face à une crise type Peste Noire, on se remarie très vite. Les mariages sont tardifs: Homme: vers 28 ans (moyenne générale au XVIIe siècle) Femme: vers 25-26 ans Homogamie: concordance des âges et des fortunes au mariage Endogamie: concordance de l’origine géographique au mariage (moyenne de 10 kms) Notables: 1670: 7,5 enfants / femme en moyenne 1720: 4,5 1790: 3 Artisans: 1670: 7 enfants/femme

l’enseignement, des collèges, qui jouent un rôle clef dans la diffusion des idées, car les traducteurs de textes, les éditeurs sont aussi des professeurs. Ce sont eux qui vont donner le gout pour les textes latins, grecs. Le collège de Coqueret (Ronsard, Du Bellay). C’est à travers cet enseignement qui vont trouver des modèles et renouvelé la poésie française. Beaucoup de texte où l’on innove ne sont que des exercices de collèges (on traduit des tragédies grecques…). La tragédie va devenir le genre à succès

l’image de la neige permet de les illustrer de façon particulièrement poétique. Georges Brassens mit en musique une version modernisée du poème et contribua à sa connaissance par le grand public. Ava nt le XVIe siè c le © Groupe Eyrolles 25 « Autant en emporte le vent. » François Villon, Testament, « Ballade en vieil françois », 1461 Citations littéraires expliquées Sur le modèle de la « Ballade des dames du temps jadis », Villon propose dans le Testament une « Ballade des seigneurs

« Discours » (1555-1564), que l’épopee avec « La Franciade » (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils3 des « Les Odes » (1550-1552) et des « Amours » (Les Amours de Cassandre(1552), Les Amours de Marie(1555) ; Sonnets pour Hélène(1578) ). Fondateur avec Joachim du Bellay, du mouvement de la Pléiade( ou Brigade, comme elle s’appelait à ses débuts), le poète est le précurseur d’une langue modernisée et vivifiée, en nette rupture avec ce qui existait precédémment. Stoïcisme a été

à ton fou de Catulle de baisers de ta bouche pour en avoir assez et plus qu'assez. Ah ! puisse leur nombre échapper au calcul des curieux et aux charmes de la méchante langue ! CATULLE, Carmina 7. … et la poétesse du XVIe siècle, Louise Labé –Sonnets XVIII (édités en1555) XVIII Baise m'encor, rebaise moy et baise : Donne m'en un de tes plus savoureus, Donne m'en un de tes plus amoureus : Je t'en rendray quatre plus chaus que braise. Las, te pleins tu ? ça que ce mal j'apaise, En t'en donnant

resplendir pour l’âme D’une merveilleuse clarté. Il inonde de sa lumière Ville et désert, Louvre et chaumière, Et les plaines et les hauteurs ; A tous d’en haut il la dévoile ; Car la poésie est l’étoile Qui mène à Dieu rois et pasteurs ! Victor Hugo, 25 mars-1er avril 1839. Poème 1, partie II, vers 277 à 306 Questions de lecture analytique 1 À qui s’adresse le poème ? Pourquoi ? 2 Quelles remarques pouvez-vous faire sur la ponctuation ? 3 Relevez et analysez le réseau lexical de la lumière