Sonnet 32 Du Bellay

choquer, provoquer une émotion / réaction (à préciser), créer le suspense… Exemple de travail à conduire sur un vers de Du Bellay « Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin » Observations Analyses Figure de style Antithèse entre la Loire (masculin au 16ème siècle) et le Tibre Chaque fleuve représente par synecdoque un pays. La Loire est le fleuve du pays natal de Du Bellay ; le Tibre, le fleuve de Rome Syntaxe Parallélisme de la structure de chaque hémistiche : conjonction (plus que) + déterminant

Pléiade Its aesthetic The hierarchy of genres Its themes Love and the court Nature The impact of the Pléiade 32 32 34 34 35 36 36 37 37 38 39 39 40 41 42 42 43 43 44 44 45 45 46 47 50 50 51 51 52 52 53 54 54 54 55 55 56 56 57 CONTENTS vii 57 58 59 61 61 61 62 63 63 64 65 65 66 66 67 67 67 68 68 68 69 70 71 71 72 72 73 74 77 79 80 80 81 82 82 83 84 84 Pléiade poets Du Bellay Ronsard Theatre The Hôtel de Bourgogne Humanist drama Growth of tragedy Neo-classical tragedy Garnier Comedy Literature

Moodle. Mme Karagiannis (gr. 2) : Arts et lettres à la Renaissance : le renouveau des genres Le renouveau des genres et de l’esthétique dans les lettres et les arts à la Renaissance. Deux cours sont prévus dans les musées de Strasbourg. Œuvres : Du Bellay, Les Antiquitez de Rome ; Le Songe ; Les Regrets dans les Œuvres poétiques, Garnier, t. II. Références : Des compléments bibliographiques seront indiqués au cours. Mme Luzel (gr. 3) : Analyses littéraires Explications et commentaires composée de textes

On se mit à sa recherche, mais on n’en trouvait que des grands, des avaleurs de soupe à faire frémir. L’épicier de Rolleville en avait bien un, tout petit ; mais il exigeait qu’on le lui payât deux francs, pour couvrir ses frais d’élevage. Mme 32 CNED SECONDE – FRANÇAIS SÉQUENCE 1 Lefèvre déclara qu’elle voulait bien nourrir un « quin », mais qu’elle n’en achèterait pas. Or, le boulanger, qui savait les événements, apporta, un matin, dans sa voiture, un étrange petit animal

les plus sauvages - soient les plus attirantes. On le sait, l'imagination des auteurs de la Renaissance et du siècle classique s'est particulièrement attachée à l'antiquité grecque et romaine. C'est en s'appuyant sur le prestige du latin que du Bellay a défendu la langue française et c'est chez Euripide, Eschyle ou Sophocle que les tragédiens du Grand Siècle puisaient leurs sujets. Au début du 19ème siècle, les références changent. Désormais, les références à l'antiquité apparaissent désincarnées

s’appelle avoir pignon sur rue ! » 27) Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? 28) Nanain ! 29) C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! » 30) Militaire : « Pointez contre cavalerie ! » 31) Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ? 32) Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! » 33) Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot : 34) « Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître A détruit l’harmonie ! 35) Il en rougit, le traître ! » 36) – Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez

Ho plasas (le façonneur), êphanisev (a disparu, a fait disparaître) Queneau, Zazie dans le métro Déroulé de séquence et activités prévues - sur 4 mois 1/2, 5 mois (environ 32 heures) I En amont (possible en AP) 1. les textes officiels 2. méthodologie des deux questions 3. faire un exposé à plusieurs à partir d'une question sur un de leurs films de prédilection 4. atelier d'écriture OULIPO II Lancer la séquence 1. étude d'images : comparer couvertures et éditions 2

Chapitre 14. Chapitre 15. Chapitre 16. Chapitre 17. Chapitre 18. Chapitre 19. Chapitre 20. Chapitre 21. Chapitre 22. Chapitre 23. Chapitre 24. Chapitre 25. Chapitre 26. Chapitre 27.Chapitre 28. Chapitre 29. Chapitre 30. Partie II Chapitre 31. Chapitre 32. Chapitre 33. Chapitre 34. Chapitre 35. Chapitre 36. Chapitre 37. Chapitre 38. Chapitre 39. Chapitre 40. Chapitre 41. Chapitre 42. Chapitre 43.Chapitre 44. Chapitre 45. Chapitre 46. Chapitre 47. Chapitre 48. Chapitre 49. Chapitre 50. Chapitre 51. Chapitre

Narr Verlag, 1982 (2) Encyclopédie Encarta, (c) ®, 1993- 2002, Microsoft corporation.(3) Marie-Hélène Tesnière (interviewée par Florence Groshens), « Le bestiaire médiéval, un monde symbolique », in. Chronique de la Bibliothèque nationale de France, N° 32, Paris, Automne 2005, p. 10.(4) Op. cit., Encyclopédie Encarta.(5) G. Durand, Les structures anthropologiques de l'imaginaire, Paris, Bordas, 1969, p. 73.(6) En passant par Platon, Apulée, A. Dante, A. d'Aubigné, W. Shakespeare, W. Blake, E A. Poe,

éperdu, fait de la passion amoureuse une épreuve bouleversante mais douloureuse, souvent vouée à l’échec. Ce courant trouve un nouvel élan à la fin du siècle, auprès de Desportes, d’Aubigné, de Sponde, mais il a suscité très vite, dès 1553 pour du Bellay, un contre-courant qui a pris au début du siècle la forme de poésies gaillardes ou burlesques qui désacralisaient sans façon la femme et l’amour. Si la poésie amoureuse de Malherbe recourt parfois à quelque formules pétrarquistes, on y entend souvent