Sonnet Du Trou Du Cul

...21 LE SONNET DU TROU DU CUL...................................................22 XIV....................................................................................................23 i Hombres Auteur : Paul Verlaine Catégorie : Poésie Licence : Domaine public 1 I I O ne blasphème pas, poète, et souviens-toi. Certes la femme est bien, elle vaut qu'on la baise, Son cul lui fait honneur, encor qu'un brin obèse Et je l'ai savouré maintes fois, quant à moi. Ce cul (et les tétons)

bienheureux pertuis Qui rend ma vie heureusement contente ! C’est toi qui fait que plus me tourmente L’archer violent qui causait mes ennuis ; T’ayant tenu seulement quatre nuits, Je sens sa force en moi déjà plus lente. O petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil follet mollement crespelu, Qui à ton gré domptes les plus rebelles ; Tous verts galants devraient pour t’honorer, A tes beaux genoux venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles ! Ce poème

Mais Rimbaud est aussi provocateur, et fait passer ses idées révolutionnaires dans ses poèmes en y mêlant tradition et modernité poétique. Il provoque aussi par le langage familier dans des poèmes comme Au Cabaret-Vert (1870) ou L’idole, sonnet du Trou du Cul (1871). Photographie d’Arthur Rimbaud en 1872 prise par Étienne Carjat Un jeune prodige de la littérature En 1865, Rimbaud entre au collège de Charleville, où il se montre un brillant élève. En effet, il rédige en latin des poèmes et

proses, Mercure de France, préface de Paul Claudel, notes de Paterne Berrichon, 1912. Les Mains de Jeanne-Marie, dans la revue surréaliste, Littérature, n° de juin 1919. Stupra : Ange ou Pource, Nos fesses ne sont pas les leurs, L'Idole - Sonnet du Trou du Cul, dans la revue Littérature, n° de mai 1922. Un cœur sous une soutane, préfaces de Louis Aragon et André Breton, dans la revue Littérature, n° de juin 1924. Dernières éditions des poèmes et correspondance : Rimbaud - Œuvres complètes

effet, Rimbaud « s’encrapule le plus possible » Lettre du Voyant. Il faut savoir qu’une « crapule » est une personne malhonnête. D’ailleurs le mot « encrapuler » est un mot inventé par Arthur Rimbaud. Dans le poème Vénus Anadyomène, Rimbaud par son sonnet, détruit l’idéale de la beauté de Vénus. Celle-ci a un corps laid, elle sent mauvais, elle va donc à l’encontre de l’harmonie de Vénus traditionnelle : « La graisse sous la peau paraît en feuilles plates ; L’échine est un peu rouge, et le tout sent

tous le regardaient et les femmes le dévisageaient en se disant : « comme il a l’air parisien ! » En effet, le prince Vibescu marchait comme on croit à Bucarest que marchent les Parisiens, c’est à dire à tout petits pas pressés et en tortillant le cul. C’est charmant ! et lorsqu’un homme marche ainsi à Bucarest, pas une femme ne lui résiste, fût-elle l’épouse du Premier ministre. Arrivé devant la porte du vice consulat de Serbie, Mony pissa longuement contre la façade, puis il sonna. Un Albanais

Parade Phrases Promontoire Royauté Scènes Soir historique Solde Vagabonds Veillées Vies Ville Villes (Ce sont des villes !) Villes (L’acropole officielle) Recueil : 'Les Stupra' L’Idole – Sonnet du Trou du Cul Les anciens animaux saillissaient Nos fesses ne sont pas les leurs Recueil : 'Poésies' A la musique Accroupissements Au cabaret-vert Bal des pendus Ce qui retient Nina Chant de guerre parisien Comédie en

biologique de Momo était une prostituée. Madame Rosa était une prostitué, les femmes qu’il côtoie dans les rues et aux Halles en sont aussi, à l’exception de Nadine. Il ne dégrade pas l’image de la femme, car il dit qu’elles se défendent avec leur cul et le fond pour survivre et pour se défendre cela prend du courage. Les femmes sont très gentilles avec Momo, car elles se soucient de lui en lui demandant d’où il vient, où sont ses parents, pourquoi est-il seul, etc. Dans le cartier où il vie, la

forme d’un poème sont sa construction, et les règles qui l’entourent. Ainsi, suivre des règles déjà définies n’est plus ressenti comme une contrainte par le poète. Nous pouvons par exemple citer le sonnet de Tristan Corbière « Avec la manière de s’en servir » qui utilise toutes les règles inhérentes au sonnet selon les poètes classiques (Boileau, Ronsard…) pour les tourner en dérision, pour démontrer que ces dernières sont obsolètes, comme un frein à la créativité et à la liberté du poète. Les règles

qu'il faut « être absolument moderne », renonce subitement à l’écriture malgré la reconnaissance de ses pairs. Il mourut à l'âge de 37 ans. A noter, ses relations amicales puis houleuses avec Verlaine. Les deux auteurs ont écrit ensemble le Sonnet du trou du cul dans le cadre de L'Album Zutique. J’ai choisit ce poème car on peut trouver un climat de sensualité de part les couleurs, l’odeur et les images. De plus on peut trouver que cette serveuse est une aguicheuse car elle faits des gestes de séduction