Sophisme Rhetorique

à la religion civique. Donc le pouvoir est détenu par les plus riches car ils possèdent plus de temps libre. La démagogie, attitude qui cherche à flatter le plus grand nombre pour gagner en popularité et obtenir le pouvoir, le sophisme, qui est un professeur de rhétorique caractérisent une professionnalité de la politique aux quels s'ajoutent les liturgies qui contribuent à mettre en avant les plus riches. Alors le pouvoir est accaparé par quelques personnes, c'est à dire une oligarchie et sur les

L'ARGUMENTATION Argumenter  -  Persuader  -  Convaincre               Au sens premier du terme, la rhétorique désigne l'ensemble des outils et des procédés de l'orateur. Plus largement, elle désigne la réflexion menée sur l'art de persuader par la parole (discours, art oratoire) ou par l'écriture, et elle enseigne les moyens de convaincre un auditeur ou un lecteur.            DÉFINITIONS            Argumenter, ou convaincre, c'est utiliser des moyens rationnels et logiques pour démontrer la

extrait, reformule la position de Tiberge). 1. C’est un long chemin de douleurs qui mène au « bonheur de la vertu »…  Des Grieux reprend l’expression de Tiberge : « ce que vous appelez le bonheur de la vertu » (l.3)  Une accumulation de questions rhétoriques (l.2-6) oblige Tiberge à admettre la conclusion de Des Grieux : « Ce bonheur, que vous relevez tant, est donc mêlé de mille peines, ou pour parler plus juste, ce n’est qu’un tissu de malheurs au travers desquels on tend à la félicité. » (l.7-9)

p. 45. Notez l’éthos de l’orateur, c’est-à-dire l’image de Las Casas, contruite par les didascalies et par le ton de son discours : c’est un homme passionné, révolté, animé par des sentiments violents : la pitié, la colère, l’indignation. Sa rhétorique est enflammée, ardente, véhémente. Le registre de sa plaidoirie est donc très clairement pathétique, mais son discours repose sur des arguments qu’il articule avec logique et précision : il cherche autant à nous persuader qu’à nous convaincre.

I - LA LOGIQUE La Logique se compose, comme le précise Diogène Laërce, de la Rhétorique et de la Dialectique; la première, "science du bien parler", concerne les discours délibératifs (discuter pour prendre les meilleures décisions), judiciaires (savoir plaidoyer) et les éloges; mais, dans la mesure où elle ne traite pas directement du vrai et du faux, comme la dialectique, qui procède par questions et réponses, c'est principalement vers cette dernière qu'il faut se tourner pour cheminer

langage est compris comme un instrument de persuasion. Il y a une différence entre la rhétorique (=art de convaincre l’autre par une série d’arguments rationnels) et la démagogie (= la persuasion de l’autre en recourant à des éléments qui ne sont pas rationnels, stratégie qui est mise en place pour acquérir l’adhésion de l’autre). Les sophistes enseignent l’art de la démagogie. Ils mettent donc au point les sophismes (= technique pour manipuler l’autre, de tromper, présenter un raisonnement qui n’a

solidaire du mode de pensée défini dans la civilisation grecque classique. 
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 I - La grammaire antique : Les Grecs analysent pour la première fois le langage comme une organisation spécifique. Pourquoi ? 1- Le système politique et la rhétorique : La constitution de la démocratie grecque a fait passer au premier plan le souci de la persuasion politique et rend nécessaire l’apparition des techniciens de la parole. Dans leur volonté de fournir à leurs élèves les moyens de maîtriser le

avec lui et donc manifester sa propre présence (1er personne, marques de subjectivité). Il faut que le destinataire se sente directement concerné (2e personne). On peut également recourir aux procédés de la sollicitation (apostrophe, question rhétorique) On peut réaliser la complicité entre le locuteur et le destinataire en associant ce dernier à l’énonciation (1er personne du pluriel, « on ») 2-      Insister, faire naître des émotions et surprendre La répétition d’un ou plusieurs mots provoque

en recourant a un calcul, nous n'aurions pas vite fait, sur les de ce genre, de mettre fin au dissentiment ?... Oui, questions de France, (1) La dialectique, Presses Universitaires 1969, 300 p. et exigence (2) Dans un interessant article Rhetorique, dialectique premiere, de Vargumentation, Louvain, 20-21. Nauwelaerts, 1963, pp. This content downloaded from 146.96.128.36 on Fri, 24 Jan 2014 16:20:27 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions inLa thiorie C. PERELMAN

chronique parue dans Le Gaulois, 8 novembre 1881. Le candidat traitera au choix l’un des deux sujets suivants. SUJET I Questions-résumé-discussion A) Questions / 6 1 – Analysez le système d’énonciation du texte. 2 – Relevez et nommez la figure de rhétorique située dans les paragraphes 4 et 5, et dîtes quel intérêt argumentatif elle présente. 3 – Quelle est la thèse exprimée par l’auteur ? B) Résumé /7 Résumez ce texte, à partir de la deuxième ligne, en 180 mots (+ ou – 10%) C) Discussion/ 7