Sorption

On peut expliquer la diminution de dioxyde de carbone de la boisson gazeuse conditionnée dans les bouteilles en PET., ou en effet dans n'importe quel autre récipient en plastique, par la combinaison de quatre mécanismes distincts [58]: ▪ La sorption à travers les parois : Sur l'échelle moléculaire tous les polymères sont poreux, c’est-à-dire qu’ils sont capables d'absorber et de maintenir une quantité spécifique de gaz ou de fluide ▪ L’augmentation de volume lié au fluage : l’augmentation

s’accumulent dans le filtre ; cette augmentation des particules dans le filtrat suit une courbe dite « courbe de percée ». La perte de charge est quasi linéaire lorsque le filtre est correctement conçu. Filtration lente sur sable But : extraction et sorption de particules, biodégradation Ce procédé (figure 10) permet l’extraction extensive des particules par passage de l’eau sur un lit de sable fin (~0.1 - 1 mm) à la vitesse de 0.06 - 0.3 m/h (typiquement 0.1 - 0.2 m/h). Il s’agit souvent de la dernière

de la temp´rature sur la masse volumique ρl sont pris en compte. Lorsque la pression relative redese cend ` z´ro, la d´sorption de l’azote est telle que des bulles apparaissent dans la cuve, rendant a e e toute mesure impossible sur l’´chantillon pendant plusieurs heures. Ceci met en ´vidence, comme e e il est bien connu des physiciens et des plongeurs, que la d´sorption d’une quantit´ de gaz dans e e un liquide est bien plus lente que son absorption. On remarque que l’augmentation de

(capillaire ou vanne de laminage). Mais la compression des vapeurs entre la BP et la HP s’effectue en utilisant le phénomène physique de la sorption. Le 231 5 • Cycles thermodynamiques 5.8 Le cycle frigorifique à compression thermique de vapeur fluide frigorigène est absorbé (s’il s’agit d’un cycle à absorption liquide) ou adsorbé (s’il s’agit d’un cycle à sorption solide). Le sorbant (liquide ou solide) est alors mis en contact thermique avec une source chaude et une source froide ce qui permet

l— ssion spont—ne fut d™ouvert en IWRH p—r qF xF plerov et uF eF e e e e €etrz—k en tr—v—ill—nt sur des noy—ux d9ur—nium PQVF yn p—rle de ssion nu™l—ire e spont—ne lorsque le noy—u d9un —tome se dsintgre en plusieurs fr—gments s—ns e e e —˜sorption pr—l—˜le d9un ™orpus™ule @p—rti™uleAF ge type de ssion n9est possi˜le e que pour les noy—ux extr”mement lourdsD ™—r l9nergie de li—ison p—r nu™lon est e e e —lors plus petite que pour les noy—ux moyennement lourds nouvellement formsF e g9est

trachéides et vaisseaux, et l’eau « liée » présente dans les parois cellulaires. Pour évaporer l’eau libre, il suffit de fournir la chaleur latente d’évaporation normale. Pour évaporer l’eau liée, il faut fournir une énergie additionnelle ou énergie de sorption pour rompre les liaisons avec les constituants chimiques du bois. venant bloquer le déplacement selon R expliquent cette différence. La figure 9 illustre l’interaction eau-bois et l’anisotropie de retrait. Le tableau 16 rassemble les valeurs de

microporeux par une solution organique constituée d’un extractant dissous dans un diluant. Le processus de transfert est du type Réaction-Diffusion. et la force motrice est un gradient de potentiel chimique. Le transport se déroule en quatre étapes : 1. Sorption de l’espèce à transporter à l’interface amont. 2. Formation d’un complexe au voisinage de l’interface amont. 3. Diffusion simultanée du complexe et du transporteur à travers la membrane sous 4. Dissociation du complexe au voisinage de l’interface

et al., 1997). La solubilit€ des hydroxydes d’aluminium est faible, surtout dans une gamme de pH entre 5 et 8 (Kabata-Pendias et Pendias, 1992). La pr€sence d’argiles peut contrŽler la mobilit€ de l’aluminium par les r€actions d’adsorption ou de d€sorption de cet €l€ment ‚ la surface des particules. Le degr€ de saturation de la surface argileuse d€termine si l’argile joue le rŽle d’un r€cepteur ou d’une source d’aluminium mobile (ATSDR, 1999). 2.2.3 Dans l'air L’aluminium est transport• dans l’atmosphƒre

effets des métaux lourds. En effet le cadmium est très bien supporté par les bactéries, mais le problème réside au danger où représentent les bactéries pour les consommateurs. La durée de vie généralement courte des bactéries illustre clairement leur sorption* et désorption* par la faune souterraine. Migrant plus facilement que certains métaux lourds, les bactéries leur servent donc de moyen de transport et de migration (Hébrard-Labit, 1998). V.7. Alimentation et additifs De nombreuses voies d'exposition

température absorbe la chaleur du milieu froid. La différence réside dans la façon dont on retransforme le gaz en liquide : là où le réfrigérateur à compression utilise une compression mécanique , le réfrigérateur à ab/adsorption utilise un procédé de sorption, donc sans moteur. Ainsi, la source principale d’énergie du système n’est pas l’électricité, mais la chaleur. Ces systèmes sont particulièrement adaptés dans les cas où de la chaleur est produite en excès, par exemple dans un process industriel ou