Sou

un Dieu qui rit aux nappes damasséesDes autels, à l'encens, aux grands calices d'or ;Qui dans le bercement des hosannah s'endort,Et se réveille, quand des mères, ramasséesDans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir,Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Arthur Rimbaud - Poésies | Le mal (Cahiers de Douai) IntroductionExtrait de poésie en 1870. Le Mal est un sonnet classique composé de deux parties : deux quatrains et deux tercets en alexandrins et avec des rime ABAB

bientôt député puis ministre. En somme l’amitié lui a ouvert les portes du journalisme et l’amour celles de l’argent et de la gloire. C/ Les personnages Georges Duroy, le personnage central du roman, n’est qu’un petit sous-officier de 25ans sans le sou mais il possède quelques atouts maîtres qui vont lui permettre de réussir. C’est un homme de grande taille, bien fait, aux cheveux frisés blond châtain, à la moustache retroussée et aux yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite. Duroy est

vivant dans le luxe. « nappes damassées »; « encens »; « or »; « gros sou » Ce Dieu est indifférent au massacre, cette indifférence est appuyée par l'expression impersonnelle « il est un Dieu... », ce Dieu ne se « réveille » que lorsqu'il a un intérêt, plus précisément financier, ce qui le rend d'autant plus méprisable. « qui dans le bercement des hosannah s'endort, et se réveille, quand les mères [...] lui donnent un gros sou... » Il est mis vis à vis des mères des morts à la guerre, la population

d’avoir accès à la conscience de Denise, à la réalité de ses pensées : « Que pouvait-elle faire sur les trottoirs, sans un sou, avec sa sauvagerie, et toujours inquiétée par … du magasin ? ». La présentation de Denise souligne une fois de plus ses faiblesses : sa timidité, « sa sauvagerie », mais aussi sa solitude (« Denise n’avait pas d’amies ») ou encore sa misère (« sans un sou »). 2. Des conditions de vie dégradantes. Le lieu décrit fait l’objet de deux métaphores. D’une part, une comparaison

domicile. Lorsque les enfants interviennent, le rapprochement entr e vieux parents et enfants est bien accueilli par les personnes âgées. Lorsque l'aide provient de personnes étrangères à la famille, telles que des aides ménagères, il faut vaincre sou - vent la réticence de la personne qui considère comme une gène, voire un danger, cette intervention extérieure. n Abandon du domicile : Ailleurs, la dépendance provoque l'abandon du domicile au profit de structures institu - tionnelles.

qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Poésies, 1870 | | Introduction Extrait de poésie en 1870. Le Mal est un sonnet classique composé de deux parties : deux quatrains et deux tercets. o Alexandrin o Rime ABAB dans les quatrains, rime

qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Rimbaud, Poésie, 1870 Annonce des axes Dans ce texte, nous aurons 3 axes : peinture de la guerre et de la dénonciation de la guerre La satire de dieu et de la religion la nature Etude méthodique I) Peinture

situ e à  Sai nt­ De nis  don t la  pré sid ent e  est  Mm e  DO MM AN GE  PA PIN  et  l'eff ecti f de  cett e  soc iété  est  de  3  sal arié .    Pré sen tati on  du  cad re  de  l'act ivit é  (Lia iso ns  fon ctio nne lles ,  con trai nte s,  res sou rce s  hu mai nes  et  mat érie lles )    Les liais ons fon ctio nne lles son t co mm e suit es : • • • je disp osai s d'u n pos te info rma tiqu e et d'u ne con nexi on d'in tern et et je part age ais le bur eau de la secr étai re Pré sen tati

s'être mariées, ont commencé par chasser leur père de chez elles puis elles ont fini par ne plus le voir. Mais, lui, continuant à se dépouiller pour faire leur bonheur voyait sa fortune décroitre et son état se détériorer; au point de ne plus avoir un sou à lui. Entre temps, Eugène de Rastignac entre en jeu, veut à tout prix entrer dans le grand monde et suit les conseils de sa cousine, Madame de Beauséant, afin d'y parvenir après maintes hésitations passées à se demander s'il aller écouter Vautrin qui

l’Empire fit régresser la puissance de sa monnaie. L’Empereur Constantin tenta une ultime fois, au IVème siècle ap. J.C., de raffermir cette puissance en créant une monnaie d’or, qu’il souhaitait solide : le «solidus» fut un succès. Il devint «sol», puis «sou». 4. Les sous et les deniers de l’ancienne monnaie romaine restèrent en usage jusqu’à vers la fin du haut Moyen-Âge. Son sort fut scellé par Charlemagne en 781, lorsqu’il créa une nouvelle monnaie d’argent, dont l’unité restait le denier, mais dont