Soubrette

dʼun point de vue littéraire, désigne un personnage représentatif qui incarne une certaine catégorie de gens. Il a donc un emploi, un caractère, des traits physiques et des conditions bien définis (exemples : un avare sera toujours mince ; une soubrette sera toujours une jeune fille pas très distinguée, pimpante, ...) qui, par la suite, donneront des rôles dʼacteurs bien définis également. Nos représentations des choses sont donc bien déterminées et, par conséquent, prévisibles. Au 20ème siècle

comique de la servante de la maison : Toinette. Pour Molière, la servante représente une figure traditionnelle d’un jeu de scène. Les servantes sont des personnes familières pour les spectateurs de l’époque comme les suivantes, les valets ou les soubrettes. Leurs rôles sont de s’occuper du ménage et de l’entretien des maisons bourgeoises. Seulement les fonctions de Toinette ne se limitent pas qu’à cela et vont bien au-delà des simples tâches domestiques. Bien que très comique, celle-ci joue un rôle

combats de catch, aux lanceurs de couteaux. Les spectacles proposés au Colosseum à Metz sont à cet égard révélateur de la grande variété des contenus au début du XXe siècle. Le programme de la 1ère quinzaine d’avril, on représentera, une soubrette, des jongleurs, des danses et chants bohémiens, une improvisation comique, un clown musicien, des acrobates excentriques américains et des duettistes parisiens. Sans en avoir fait une étude exhaustive, mais au regard des programmes annoncés par

ayant fait naufrage, débarquent sur une île fondée, il y a une centaine d’années, par des esclaves révoltés. Dans cette île, les maîtres deviennent des valets et les valets des maîtres. Ainsi, Iphicrate et son laquais Arlequin, Euphrosine et sa soubrette Cléanthis échangent leur condition, leurs vêtements et aussi leurs noms. Ce monde crée de toute pièce est une utopie : à travers cette pièce Marivaux cherche à critiquer la société hiérarchisée de son temps. Néanmoins, le propos ne se fait pas sentencieux :

allusion est présente c'est quand SC cherche à consoler ses filles terrifiées la nuit par des cauchemars en leur chantant une « berceuse ». Toinette Elle est lié à la vie donc a la lumière, son prénom est léger et fait penser au prénom d'une soubrette dans une pièce de Molière. L'actrice jouant son rôle est rousse, vive et sensuelle, ses vêtements sont dans les teintes chaudes. Son attitude joviale séduit MM, c'est pendant l'été qu'ils sont attirés. Le narrateur insiste sur ses rondeurs, sa

personnel s’active pour le recevoir. Bobinet demande aux domestiques d’emprunter les tenues de leurs maîtres et maîtresses et de les imiter ; il se déguise lui même en Amiral suisse. On doit s'efforcer de garder le baron tard à la fête : Pauline, une soubrette déguisée en madame l'Amirale, entame une scène de séduction, d'autres femmes de chambre lui font tourner la tête en révélant leurs froufrous, chacun s'emploie à le faire boire et le baron finit complètement gris. Acte 4 Un restaurant parisien

n’aurait plus gout à la vie, plus rien ne l’intéresserait si Dorante la laissait, après avoir profité d’elle.On a une accumulation de questions rhétoriques traduisant la montée en émotion.Elle esquisse la description pathétique de la future pauvre soubrette trompée et délaissée, tout comme dans la scène 1 de l’acte 1.Jugez donc de l'état où je resterais, ayez la générosité de me cacher votre amour : moi qui vous parle, je me ferais un scrupule de vous dire que je vous aime, dans les Aveu paradoxal de

 (1778)     A   l’aube   de   la   Révolution   Française,   dans   Le   Mariage   de   Figaro,   Beaumarchais   dénonce   le   statut  injuste  des  valets  et  des  servantes.  Suzanne  la  soubrette  qui  doit  épouser  Figaro  est   en  proie  à  un  chantage  de  la  part  du  comte  Almaviva.  Celui-­‐ci  la  menace  de  ne  pas  lui  donner   son  accord  si  elle  ne  cède  pas

jeune fille est inquiète à l'idée de se marier à un homme qu'elle ne connaît pas. Elle imagine alors un subterfuge : céder son identité à sa femme de chambre, Lisette, et revêtir de son côté le tablier de cette dernière. Sous son déguisement de soubrette, Silvia espère pouvoir observer à loisir son promis. ...Le hasard ... Mais voilà que Dorante a eu la même idée. Il a troqué ses habits contre ceux de son valet, Arlequin. S'engage alors un jeu de masques sous les regards complices d'Orgon et

champ d'étude à une catégorie sociale spécifique : la société aristocratique parisienne du XVIII° siècle. Ainsi, seule la noblesse sera présente dans ce roman et fera l'objet d'une étude minutieuse. La bourgeoisie et le peuple représenté par les soubrettes ou les valets par exemple en seront totalement exclus. En effet, la condition oisive des personnages est un critère essentiel pour l'étude de Crébillon, il tentera de discerner ce que fait l'homme quand il n'a aucune obligation, quand il mène une