Soufflerie

Observation et évaluation des moyens * Une soufflerie subsonique à aspiration Deltalab EI400 * Une balance dynamométrique 2 axes * Un jeu de profil de type NACA 0015 et NACA 23012 2- ------------------------------------------------- Mode Opératoire • Préparation du matériel * Effectuer un tour de la soufflerie (criques, câbles dénudé, pièces manquantes etc.) * Vérifier l’état de l’entrée/sortie d’air de la soufflerie. * Vérifier l’état de la sonde Pitot (tordue

permettent elle de voler ? Groupe 1 : Sommaire I Introduction : comment décrire une aile et le rôle de la soufflerie dans ce TPE A. Caractéristiques et structure de la voilure 1) Caractéristiques 2) Structure B. L’intérêt d’une soufflerie 1) Introduction : généralités 2) L’institut Saint-Cyr 3) La construction de notre propre soufflerie II Etude expérimentale des forces qui s’appliquent sur une aile A. Comportement des forces sur deux

testé : Soufflerie Aérodynamique Profil NACA 23012 Sommaire I)But II)Mesure et essais III)Bilan, interprétation et conclusion I)But : Recréer les conditions aérodynamique et météorologiques exercées sur le profil NACA 23012. Être le plus reproductible possible pour évaluer les qualités météorologique de la soufflerie. II) Mesure et essais : Matériel utilisé : -Soufflerie -Un profil NACA 23012 Mode Opératoire : -Placer le profil NACA dans la veine de mesure-Régler la soufflerie à 30m/s-Partir

piles, un translateur pour la mise en place du tablier - La stabilité de l'ouvrage : Des fondations importantes et profondes ont été nécessaires ( 4 puits jusqu'au sol rocheux surmontés d'une semelle de 5 m d'épaisseur), et des essais en soufflerie pour connaître le comportement de l'ouvrage. Carte d'identité de l'ouvrage ( données techniques ) - longueur : 2460 mètres - largeur du tablier métallique : 27,70 mètres - nombre de piles : 7 - nombre de travées haubanées : 8 -longueur

l'aérodynamisme est utilisé pour améliorer la tenue de route d’une formule 1» nous verrons dans un premier temps l'histoire de l’aérodynamisme et les efforts mis en jeux sur un véhicule en mouvement. Nous présenterons par la suite les tests effectués en soufflerie lors de nos recherches. Puis, nous finirons par une analyse des différentes parties aérodynamique de la formule 1. I. Histoire et efforts mis en jeux. A) Un peu d’histoire. Cette étude de la force aérodynamique est tout aussi importante, voir

actuellement le principal poste de dépense pour l’amélioration d’une Formule 1. Avant de se retrouver sur la piste, une formule 1 passe plusieurs milliers d’heures dans une souffleries, sans compter les simulations numériques, de plus en plus utilisées. Certaines voitures sont ainsi « mal nées » à cause d’un mauvais dimensionnement d’une soufflerie, comme par exemple la Honda de la saison 2007. L’étude aérodynamique d’une monoplace conditionne réellement son efficacité sur la piste. La FIA (Fédération Internationale

des constructions à ailes rigides : un appareil volant doté d'une hélice, le précurseur de l'hélicoptère moderne. De Vinci ne s'arrêta pas là et inventa même le parachute, un deltaplane en bambou qui vola avec succès, un planeur ainsi que la Soufflerie aérodynamique. De Vinci et l'hélicoptère Un de ses dessins, daté de 1486, montre une machine volante à aile tournante, la vis aérienne, basée sur le principe de la vis d'Archimède. Ce principe de rotor se retrouve aujourd'hui sur les hélicoptères

monoplace comme nous l'avons vu dans notre expérience. Une fois le problème de l'appui régler, il faut profiler la voiture pour qu'elle soit la plus rapide possible, c'est-à-dire offrir le moins de résistance à l'air possible. Pour cela, des études en soufflerie et numériques sont nécessaires pour des mesures de Cx et Cz. Pour finir, il faut prendre en compte des facteurs importants (circuit, météo, vent,et la conssomation en essence), avant de profiler des pièces qui réduisent au maximum la traînée, tout

effet bien que l'air soit invisible et d'une masse faible (1 litre d'air = 1,3g) la façon dont il rencontre la carrosserie d’ une voiture va nettement influer sur les performances de cette dernière. Les constructeurs réalisent donc des essais en soufflerie et des calculs afin d'améliorer le comportement routier de leurs modèles et de diminuer les phénomènes aéro-acoustique et les turbulences à haute vitesse. On peut donc noter des différences sur la formes des voitures et leurs équipements suivant

------------------------------------------------- L’aérodynamisme de la BMW Williams F1 2004 1. Aileron avant (Museau): * Le museau avait presque disparu, l’aileron était suspendu par deux supports minces, qui perturbaient le moins possible l’écoulement et qui créaient un tunnel canalisant l’air vers l’arrière du véhicule. Ce système qui alourdissait considérablement l’avant de la monoplace et déplaçait quelque peu les masses vers le haut, ce qui pénalisait les qualités dynamiques de