Souffrances Morales

voir dépérir (« mon âme chez les morts descendra la première »). Aussi, si Phèdre souffre d’une passion destructrice, le dévouement d’Oenone pour sa maîtresse est également dévastateur. On retrouve dans ses répliques le champ lexical de la souffrance : « morts », « ma juste douleur », « l’horreur », « au nom des pleurs que pour vous j’ai versés », mais aussi de la passion : « Cruelle, quand ma foi vous a-t-elle déçue ? », « ma fidélité », « au nom des pleurs que pour vous j’ai versés ». L’amour

L’euthanasie L’euthanasie, du grec ancien « eu » (bon) et « thanatos » (mort), désigne l’acte médical consistant à provoquer intentionnellement la mort d’un patient afin de soulager ses souffrances physiques ou morales considérées comme insupportables, soit en agissant à cette fin, soit en s’abstenant d’agir. On distingue communément à cet égard l’ « euthanasie active » de l’ « euthanasie passive ». L’euthanasie doit être distinguée du « suicide médicalement assisté » qui consiste, pour le corps

résister à la souffrance - Elle ne permet m^ pas d’accéder à la vérité Phrase 2 parallélisme qi met sur le m^ plan ceux qui peuvent résister à la souffrance et ce qui ne peuvent pas, ds les 2 cas on n’obtient pas la vérité Pourquoi la torture existe-t-elle ? Les partisans de la torture Face à l’absurdité torture, M s’interroge sur les raisons de son utilisation, M adopte le pt de vue des partisans de la torture. Pour eux la torture est justifié car l’ê humain à une conscience morale : capacité à

plaisante, convenable » (page 37). C'est une vie très réglée et très mondaine. Jusqu'au jour où une douleur qu'Ivan ILITCH ne peut contrôler, vient remettre en cause sa vie idéale. Il comprend que cette blessure anodine au départ est la cause de cette souffrance. L'auteur décrit un personnage satisfait de sa vie. Le personnage meurt à la suite de cette blessure. L'auteur aborde par la suite la réflexion sur la réussite d'une vie. Seconde partie : C'est la partie la plus intéressante de l'ouvrage

jugé désespéré par Rieux. Entouré de tous les personnages importants – Castel, Tarrou, Paneloux, Grand, Rambert et Rieux – l’enfant se livre à une lutte pathétique contre le mal qui l’assaille. Cette scène poignante est l’occasion d’une réflexion morale sur le sens de la condition humaine. LECTURE TEXTE : Le docteur serrait avec force la barre du lit où gémissait l'enfant. Il ne quittait pas des yeux le petit malade qui se raidit brusquement et, les dents de nouveau serrées, se creusa un

maternité et plus intimement de Jeanne, personnage central, et pour répondre à la question « en quoi cette scène d’accouchement est-elle réaliste ? » on procédera à la modélisation de la construction détaillé du passage de la manière suivante ; les souffrance endurée et la transformation qu’elle engendre, des sentiment changeant et éprouvés envers son entourage, une haine profonde pour un mari insoucieux et un être inconnu, puis la révélation et l’apport psychologique du rôle de mère. Jeanne en plus

tous malheureusement un point commun, un bien triste point commun qui est le combat pour l'euthanasie. Tous, ont été victimes, si je peux me permettre, de notre système législatif. Ils ont dû mener 2 combats de front, le 1er contre la maladie, la souffrance ou la paralysie, le second contre la loi, notre loi qui condamne l'euthanasie comme un acte passible des Assises. Ces personnes savaient que leur 1er combat était perdu, qu'elles étaient condamnées, mais pour le second, elles avaient encore de

destin mortuaire. Cela produit tout le long de la pièce un effet cathartique, c'est à dire que le spectateur s'identifie au héros tragique et entraîne chez lui une purgation ou une purification des passions. Registre pathétique: état de mort, de souffrance profonde qui maintient l'outragé en vie malgré ses stigmates. Du grec "pathos" qui veut dire souffrir avec. Le registre pathétique crée de l'empathie chez le lecteur. L’expression de la douleur : Dans le registre tragique, l’expression de la

moment, n’est exprimé, ni dit de la même manière. La douleur est une signification, elle n’est pas sans souffrance, elle n ‘est jamais cantonné à une fonction ni un organe. Aucun sens de du dualisme, douleur physique et souffrance morale. Elle n’écrase pas le corps mais la personne à part entier. La souffrance : degré de pénibilité de la douleur. Il y a des douleurs qui induisent des souffrances vivent, d’autres font mal sans plus considéré qu’il font parti de l’expérience. Imprégné de sens, de signification

tristes ») et du poème(« Chanson d’automne ») donne le ton élégiaque. b) par la souffrance physique - arrivée du poète sous forme de métonymie « mon cœur » après le verbe « blessent » - état physique de Verlaine --) introduit par : (citations) qui symbolisent la souffrance et la maladie - Champ lexical de la mort - Champ lexical de la douleur avec « sanglots » accentué par « long » ce qui prolonge la souffrance. II) La passivité du poète a) Par la « forme » du poème - Allitération