Soufrière

surtout l’Ivoirien Bernard Binlin Dadié avec Climbié (1956). 5 LE RENOUVEAU Dans la lignée des précurseurs de la négritude s’inscrivent des auteurs tels le poète et romancier guadeloupéen Daniel Maximin (1947- ) avec l’Isolé Soleil (1981) et Soufrières (1987), le Guyanais Bertène Juminer (1927- ; les Bâtards, Au seuil d’un nouveau cri), ou encore le Martiniquais Xavier Orville (1932-2001 ; Délice et Fromager, l’Homme aux sept noms et des poussières, Cœur à vie).

ouvertes aux cyclones, aux vents et aux pluies Façades plus sèches donc plus attractives 3) Les contraintes de ces territoires Tout d’abord, les catastrophes naturelles avec un volcanisme important (comme la montagne Pelée en Martinique, ou bien La Soufrière en Guadeloupe), ou encore avec des cyclones, des ouragans et des alizés représentent de véritables contraintes. Il y a également des pluies torrentielles et des glissements de terrains. Ensuite, au Groenland par exemple, il y a un climat vraiment

central domine l’espace régional •  La Guadeloupe proprement dite se compose de deux îles : Grande-Terre et Basse-Terre reliées par deux ponts au-dessus de la Rivière salée. Basse-Terre, située à l’Ouest, est montagneuse (massif volcanique de la Soufrière), ce qui génère de nettes coupures dans l’occupation de l’espace et en particulier dans l’urbanisation. •  L’agglomération pointoise située à la charnière entre Grande-Terre et Basse-Terre représente le véritable centre de la Guadeloupe. Les infrastructures

éruptions volcaniques ? Activité 4 : Volcanisme et risques associés. Les volcans explosifs ont des éruptions avec des nuées ardentes, et un panache de cendre. Les risques associés sont la destruction des villes par les nuées ardentes comme à la Soufrière de Montserrat, aux Antilles. Les volcans effusifs ont des éruptions avec des coulées de lave, et émission de bombes, de cendres et de scories. Les risques associés sont la destruction des maisons par des coulées de lave, comme à Goma, en République

explosion du volcan Krakatoa en Indonésie et considéré comme le plus grand phénomène terrestre observer : éruption suivi d’un tsunami don les vague ont fait le tour du monde. La catastrophe a fait plus de 36 000 morts. * 1997, le volcan la Soufrière entre en éruption et raye de la carte la ville de Plymouth la capitale de la petite colonie britannique de Montserrat (il y eu 20 morts car la ville avait été en partie évacué suite aux signes annonciateurs) IV. Conclusion L’homme ne peut

Japon, en janvier 1995 et le séisme d’Izmit en Turquie, en août 1999.  – Les tsunamis. Exemple : voir l’étude de cas sur le tsunami du 26 décembre 2004.  – Les éruptions volcaniques, de type effusif ou explosif. Exemple : l’éruption du volcan La Soufrière sur l’île de Montferrat aux Caraïbes en août 1997.  – Les mouvements de terrain : écroulement ou chute soudaine d’une énorme quantité de matériaux, effondrement ou affaissement brutal d’un terrain sur lui-même, glissement de terrain.  – Liés aux

ultra-périphériques » (RUP). Ce territoire est caractérisé par son éloignement avec la métropole (7h de vol), son insularité renforçant son isolement, par sa fragmentation territoriale (c’est un archipel) et par des aléas naturels que sont le volcanisme (la Soufrière) et les cyclones. La population Guadeloupéenne est jeune, pauvre ainsi que féconde. Avec plus de 450 000 habitants, la densité moyenne est de 265 habs/km² soit 2 fois plus qu’en France métropolitaine. La Guadeloupe compte deux villes principales :

cyclones tropicaux. Les éruptions volcaniques C'est une émission de laves par un volcan. On distingue trois types d'éruptions : éffusive, explosive et en présence d'eau. Seul la Réunion avec le Piton de la fournaise et la Guadeloupe avec la Soufrière sont victime d'éruptions. Les tempêtes Une tempête est un phénomène météorologique comportant des vents violent, et de fortes précipitations. Tout les territoire français peuvent être victimes de tempêtes. Certains littoraux sont

et de gaz volcaniques, du fait de la mise en surpression des nappes phréatiques. En fonction de leur puissance et de leurs effets, on distingue des éruptions phréatiques majeures et mineures : Les éruptions phréatiques mineures (exemples pour la Soufrière en 1680, 1836-1837 et 1956). Elles se caractérisent par : • un centre d’émission situé au niveau du dôme actuel (cas le plus probable), mais éventuellement déplacé vers le sud ou le nord de quelques kilomètres ; • des projections de blocs dans

affichés par l'oscilloscope : http://www.youtube.com/watch?v=Zs-JjeL3CCI A l'heure actuelle, la seule référence française en matière de géothermie haute température se situe à Bouillante (illustration 3), non loin du volcan guadeloupéen de la Soufrière. La centrale de Bouillante, située en pleine agglomération, a déjà une longue histoire qui a débuté dans les années 1960 par des sondages et des forages d'exploration sous l'égide du BRGM. Mais dans le fossé rhénan, dans un contexte bien différent